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25/06/2013

POSTES : RIEN NE VA PLUS !

poste.jpgPour répondre aux directives européennes et à l’ouverture de la concurrence la Poste a décidé de supprimer des dizaines de milliers d’emplois et de services dans le pays, et de remettre en cause le statut social des salariés.

Dans l’Essonne la fermeture du centre de tri de Bondoufle, et la suppression de nombreux points d’accueil et de milliers d’emplois va malheureusement dans ce sens.

La Direction a décidé dans l’Essonne d’accélérer ce mouvement qui dégrade sensiblement le service public annonçant des réorganisations qui concernent plus de la moitié des sites avec une diminution des moyens humains et des heures d’ouverture et la fermeture de plusieurs locaux dont ceux situés à Saint-Germain-les-Corbeil, Soisy-sur-Seine, Saintry-sur-Seine....

Dans l’immédiat aussi 13 réorganisations réduisant des horaires d’ouverture de 70 heures par semaine sont mises en place.

poste,essonne,emplois,service public,accueilLes Syndicats CGT, Sud, FO, CFDT s’opposent à ce projet et ont appelé les salariés à agir par la grève.

Le Parti communistes, ses élus, partagent cette juste colère et s’opposent à ces propositions de la Direction qui contribuent à dégrader à nouveau le service public et la situation de l’emploi dans l’Essonne et notre pays.

23/06/2013

LES METROPOLES DE TOUS LES DANGERS !

métropole,paris,élus communistesModernisation de l’action publique territoriale » : Pourquoi une telle insistance à affirmer les METROPOLES ?

Le succès de la grande marche du 5 mai 2013 à la Bastille pour une alternative à l’austérité et une VIème République, a été un révélateur. Des dizaines de milliers de nos concitoyens étaient fiers de se rassembler à nouveau et de se mobiliser avec le Front de gauche.

Pour ne pas laisser le pavé à la droite et à l’extrême droite qui profitent de ce climat délétère et pour dire clairement qu’il faut changer de cap à gauche. Le gouvernement poursuit une orientation d’austérité qui ne rompt en rien avec les exigences des marchés financiers et nourrit la récession.

Dans cette crise politique amplifiée par l’affaire Cahuzac, va-t-il continuer à s’enfermer dans ce que certains appellent désormais le « social-défaitisme » ? A prétendre encore que le « sérieux budgétaire » d’aujourd’hui donnera plus tard de la croissance, contre toute logique ?

Si les mots d’ordre des manifestants ont donné tant de place à la VIe République, c’est que la conscience grandit qu’il faut que l’action publique soit libérée des carcans imposés par les experts favorables à la finance, que la parole revienne au peuple !

Une exigence démocratique profonde et bien embarrassante au moment où le gouvernement a engagé en catimini un projet de loi essentiel « de modernisation de l’action publique territoriale et d’affirmation des métropoles »...

LE GRAND PARIS METROPOLE

metropole2.jpgDans le cas de « Grand Paris Métropole » par exemple, le nouvel EPCI prévu dans le projet de loi du gouvernement serait administré par une sorte de G 20 de présidents d’intercommunalités, et quelques représentants de la ville de Paris.

Les 8 Départements et la Région Ile de France ne feraient l’objet que d’une participation à un organisme consultatif.

Afin que la banlieue ne pèse pas de tout son poids au sein de cette gouvernance, le gouvernement pèse fortement dans le sens d’un le nombre limité des intercommunalités nouvelles, avec un seuil obligatoire prévu à l’origine dans le projet de loi à 300 000 habitants minimum. Les communes, quant à elles, vidées de leurs prérogatives, ne seraient réunies par la métropole que pour avis et une fois l’an, a minima.

Il faut noter que le Sénat a rejeté en première lecture au mois de juin la totalité de ces dispositions, c’est-à-dire les articles créant la métropole du Grand Paris et instituant ces intercommunalités de taille géante. Mais le dernier mot reviendra à l’Assemblée Nationale.

On a le vertige  devant une telle construction anti-démocratique  qui éloignerait 8 millions d’habitants de toute possibilité de décider comme citoyens des politiques urbaines, d’emploi, de santé, de formation, de logement, de transport collectif, de culture qui les concernent au quotidien.

L’orientation sous tendue par cette construction est d’ailleurs dévoilée sans retenue par des déclarations publiques comme celle de Jean-Marc Ayrault qui s’est déclaré favorable à l’élection en 2020 par le suffrage universel direct d’un maire du Grand Paris…, ou de Luc Carvounas, sénateur du Val-de-Marne, qui jette carrément le masque en écrivant dans son journal de compte rendu de mandat : « Ces futures agglomérations vont dans le sens de l’histoire, celui où les villes auront, à terme, le rôle des mairies d’arrondissement à Paris ». Cela se passe de commentaires…

En région parisienne où les élus de toutes tendances travaillent depuis plusieurs années au sein d’un syndicat mixte d’étude nommé « Paris Métropole »  regroupant 200 maires ou présidents d’intercommunalités de toutes tendances, le projet de loi a fait l’effet d’une douche froide, tant il est éloigné des principes de coopération qui, malgré des difficultés objectives à trouver des consensus, avaient néanmoins fait émerger des objectifs partagés dans le travail commun.

A Lyon, il s’agit carrément d’un coup de force puisque le président de la métropole en formation décide de phagocyter le département du Rhône avec le seul accord du Président du Conseil Général.

Dans le cas de « Grand Paris Métropole » par exemple, le nouvel EPCI prévu dans le projet de loi du gouvernement serait administré par une sorte de G 20 de présidents d’intercommunalités, et quelques représentants de la ville de Paris.

Les 8 Départements et la Région Ile de France ne feraient l’objet que d’une participation à un organisme consultatif.

Afin que la banlieue ne pèse pas de tout son poids au sein de cette gouvernance, le gouvernement pèse fortement dans le sens d’un le nombre limité des intercommunalités nouvelles, avec un seuil obligatoire prévu à l’origine dans le projet de loi à 300 000 habitants minimum. Les communes, quant à elles, vidées de leurs prérogatives, ne seraient réunies par la métropole que pour avis et une fois l’an, a minima.

Il faut noter que le Sénat a rejeté en première lecture au mois de juin la totalité de ces dispositions, c’est-à-dire les articles créant la métropole du Grand Paris et instituant ces intercommunalités de taille géante. Mais le dernier mot reviendra à l’Assemblée Nationale.

En région parisienne où les élus de toutes tendances travaillent depuis plusieurs années au sein d’un syndicat mixte d’étude nommé « Paris Métropole »  regroupant 200 maires ou présidents d’intercommunalités de toutes tendances, le projet de loi a fait l’effet d’une douche froide, tant il est éloigné des principes de coopération qui, malgré des difficultés objectives à trouver des consensus, avaient néanmoins fait émerger des objectifs partagés dans le travail commun....

 adenot.jpgContribution de Dominique Adenot Maire de Champigny-sur-Marne, Président de l’ANECR

 


ACTE lll DE LA DECENTRALISATION : MANIFESTATION... par E-Mosaique

20/06/2013

RETRAITES : LA COLERE DE PIERRE LAURENT !

plaurentlcp.jpgLe secrétaire national du Parti communiste s’insurge après la publication des pistes préconisées par le rapport Moreau.

La réforme des retraites est le nouveau sujet de division entre le gouvernement et le Parti communiste. Invité vendredi de Parlement’air, Pierre Laurent a estimé qu’il ne fallait "rien reprendre de ce rapport".

"Je suis très en colère après la publication de ce rapport", a insisté le secrétaire national du PCF. "Ce sont les mêmes arguments, exactement la même recette que celle employée pour la réforme de 2008" (par Nicolas Sarkozy, NDLR). "Jean-Marc Ayrault ne comprend rien à la colère que va susciter ce rapport", lance-t-il. "Le problème, c’est le fossé entre les Français qui ont élu la gauche pour changer de politique et les politiques qui sont menées", dit Pierre Laurent.

REACTION DE PIERRE LAURENT SUR LES PROPOSITION DE FRANCOIS HOLLANDE

pierre laurent,pcf,retraites"Pour le président (de la République), allonger la durée de cotisations est la mesure la plus "juste". Rien de plus faux. Il n'y a aucune justice, aucune égalité, dans la poursuite du démantèlement du droit à la retraite à 60 ans, conquête historique de la gauche", écrit le secrétaire national du PCF ce jeudi.

François Hollande a ouvert la deuxième conférence sociale du quinquennat en affirmant que, s'agissant de la réforme des retraites, "prolonger la durée de cotisation (était) la mesure la plus juste à condition qu'elle soit appliquée à tous et à tous les régimes".

Pour Pierre Laurent, il s'agit d'"une erreur stratégique de calendrier et de méthode. Le rapport Moreau ne peut être une base sérieuse de négociation pour assurer l'avenir de la retraite par répartition, tant il ne prend pas en compte une dimension pourtant indispensable : l'emploi. C'est là que le bât blesse (...) dans ce défaitisme face au chômage, et dans le refus idéologique d'augmenter les salaires et de mettre à contribution les revenus financiers", a poursuivi le secrétaire national. Le co-animateur du Front de gauche appelle à "la plus large mobilisation" à l'encontre du choix de François Hollande "d'une réforme à la hussarde, en plein trêve estivale"


Rapport Moreau : Pierre Laurent (PCF) charge... par LCP

18/06/2013

TURQUIE : SILENCE ON TUE !

istambul3.jpgLe Groupe communiste d’Évry condamne avec une extrême fermeté l'usage excessif de la force contre les manifestants et l’inertie du gouvernement turc de Tayyip Erdogan, qui se sont déjà soldées par plusieurs décès par balles et de nombreux blessés à Istanbul, Ankara et dans 48 provinces.

La protestation avait commencé par l’opposition au bétonnage de la ville, notamment de Gezi Park à Taksim, poumon vert de la ville.

 Le gouvernement souhaite transformer la place historique de Taksim en un nœud de tunnels pour faciliter la circulation, et le Parc Gezi en la réplique exacte d’une caserne de l’armée ottomane avec un grand centre commercial et un centre culturel. Nous voulons souligner que cette opération serait un vrai désastre écologique dans cette ville qui est déjà encline à une grande pollution, mais aussi une atteinte à son caractère historique.

Nous voulons souligner que cette opération serait un vrai désastre écologique dans cette ville déjà touchée par une grande pollution, mais aussi une atteinte à son caractère historique.

L’opposition à ce projet s’est vite transformée en mouvement de protestation populaire contre un gouvernement devenu progressivement liberticide (emprisonnements de journalistes, d'intellectuels, d'élus, réglementation sévère de la vente et de la consommation d’alcool, fermeture de bars, de cabarets, attaques contre l’avortement et la pilule, interdiction du baiser dans la rue…).

Autres dérives, les Alévis, minorité progressiste chiite, ne cessent d’être harcelés dans leur quotidien, tandis que la condition des femmes se dégrade sous l’effet des violences conjugales et « crimes d’honneur ». Dernier bastion de la laïcité, l’armée a été décapitée, et les corps d’Etat infiltrés.

Les démocrates turcs manifestent pour exiger un meilleur fonctionnement de la démocratie, le respect des libertés individuelles et des droits de l’homme.

turquieliberté.jpgLes manifestations se sont transformées, actuellement, en une véritable crise politique. La police a dispersé à jets de grenades lacrymogènes, de gaz les manifestants sur la place Taksim. Le gaz qu’ils ont utilisé étant bien loin des lacrymogènes habituels, visiblement le Premier Ministre a les mêmes méthodes que ses voisins syriens !

Le groupe des élus PCF-FG d’Évry exprime sa solidarité avec ce mouvement et à toute la communauté turque en France qui le soutient, et ce au nom des valeurs de la démocratie.

Il demande au gouvernement français d’intervenir auprès du Premier Ministre Tayyip Erdogan pour l’arrêt des violences policières et la mise en place de mesures nécessaires visant à satisfaire les demandes légitimes des manifestants, à commencer par la levée de la censure imposée aux médias pour les empêcher de rendre compte de ce qui se passe.

Nous rappelons qu’être au pouvoir implique des droits, cela implique également des devoirs, à commencer par le respect des libertés fondamentales.

Communiqué de presse du Groupe des élus communistes au Conseil Municipal d’Évry

D.DIAZ – C.PIGAGLIO – E.YAGMUR
elus@evry91.pcf.fr 

14/06/2013

Pierre Laurent, secrétaire national du Parti communiste français, président du Parti de la gauche européenne et sénateur de Paris

Pierre-Laurentrfi.jpg«L'hémorragie d'emplois et l'hémorragie industrielle continuent, il faut une mobilisation générale du pays pour lutter contre la situation actuelle. Nous allons réunir des assises auxquelles vont venir beaucoup de forces sociales, syndicales, les forces du Front de gauche, les écologistes qui sont au gouvernement, la gauche du parti socialiste, pour créer un sursaut, un élan nouveau.»

Pierre Laurent, secrétaire national du Parti communiste français, président du Parti de la gauche européenne et sénateur de Paris est l'invité matin de RFI. Suppressions d'emplois, plans sociaux, la réforme des retraites, sont des thèmes qu'il aborde au micro de Frédéric Rivière.

01/06/2013

TURQUIE : VIOLENTE REPRESSION CONTRE LES MANIFESTANTS A ISTANBUL

turquie,istambul,répression,manifestation,elise yagmurDe violents affrontements viennent d’opposer les forces de l'ordre à des manifestants dans le centre d'Istanbul, faisant des dizaines de blessés, à la suite d'un rassemblement dirigé contre un projet d'urbanisation.

Les incidents ont débuté dès l'aube, lorsque des policiers ont délogé à grand renfort de canons à eaux et de gaz lacrymogènes quelques turquie,istambul,répression,manifestation,elise yagmurcentaines de personnes qui campaient dans un parc de la place Taksim, au coeur de la mégapole turque, pour empêcher le déracinement de 600 arbres dans le cadre d'un projet d'aménagement urbain.

turquie,istambul,répression,manifestation,elise yagmurViolente, l'intervention a fait de nombreux blessés, victimes de fractures ou de détresse respiratoire, certains gisant inconscients de longues minutes avant d'être secourus. Deux personnes, dont un journaliste, ont été sérieusement blessées à la tête, a constaté un photographe de l'AFP.

Amnesty International a critiqué "le recours excessif à la force contre des manifestants pacifistes", pendant que Reporters sans frontières (RSF) dénonçait les "attaques ciblées" des forces de l'ordre contre des journalistes.

A l'origine de la contestation

istambul2.jpgA l'origine de la contestation, le réaménagement de la place Taksim prévoit la suppression du parc Gezi au profit d'un centre culturel, d'un centre commercial et de la reconstitution d'une caserne militaire de l'époque ottomane.

Le projet de la municipalité, tenue par le parti islamo-conservateur au pouvoir, est dénoncé par de nombreux urbanistes, architectes et écologistes. Ils ont remporté une première victoire avec la décision d'un tribunal administratif d'Istanbul de suspendre le projet de reconstruction de la caserne.

 

LA REACTION D’ELISE YAGMUR, CONSEILLERE MUNICIPALE COMMUNISTE D’EVRY

eliseportrait.jpgistambul1.jpgElise Yagmur, conseillère municipale communiste d’Evry, déléguée à la lutte contre les discriminations, d’origine Turque a réagi avec grande colère contre ces faits : « …La situation est grave car des milliers de personnes se font gazer, emprisonner … Car au fond cette histoire de parc à Istanbul à l'image de tous les lieux investi par le business dans le monde entier, est aussi celle du capitalisme qui ne respecte plus rien ni même l'environnement, ni des arbres centenaires etc... »

turquie,istambul,répression,manifestation,elise yagmurPour signer la pétition de soutien cliquez sur cette ligne....

 

 

A Paris manifestation de solidarité aux manifestants d'Istanbul

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30/05/2013

MANIFESTATIONS : PROJET ACTE III DE LA DECENTRALISATION ET DEMOCRATIE

100_9743.JPGPlusieurs centaines d’élus communistes et républicains ont manifesté devant le Sénat contre le projet sur la décentralisation qui se traduirait en cas de vote par une atteinte à la démocratie municipale et citoyenne et la perte de moyens financiers considérables pour les collectivités.

Plusieurs maires et sénateurs ont rappelé les enjeux de cette loi, dont André Chassaigne président des députés Front de Gauche (voir vidéo) et Dominique Adenot, maire de Champigny et président de l’Association Nationale des Elus communistes et républicains.

deccgt.jpgPlusieurs milliers de salariés ont ensuite manifesté à l’appel de la CGT et FO pour s’opposer également à ce projet.

CE PROJET

Les collectivités jouent un rôle essentiel pour développer les droits de tous à se former, à se loger, à se déplacer, à se soigner, à se cultiver. Elles contribuent à relever les défis économiques, industriels, ceux de la transition énergétique. Il faut une réforme qui permette de combattre les fractures territoriales béantes, les inégalités sociales, une réforme qui réponde aux besoins humains, sociaux, écologiques d’aujourd’hui, tant dans les grandes agglomérations que dans le secteur rural. Il faut une réforme qui permette aux citoyens d’être enfin au centre des enjeux et des décisions.

Les regroupements forcés en grandes intercommunalités se poursuivent sous la houlette des préfets. L’« acte III de décentralisation » ne rompt pas avec cette logique. Aux cotés de mesures d’intégration spécifiques pour Paris, Lyon et Marseille, il crée d’autres métropoles dans des territoires si nombreux que cela impacte près de 40% de la population …

décentralisation,loi,andré chassaigne,dominique adenot,pcf,sénat,cgtLe gouvernement programme une réduction des dotations d’État aux collectivités pour les trois ans à venir de 4 milliards et demi : du jamais vu ! A cela s’ajoute deux milliards de charges imposées : relèvement du taux de TVA, réforme du temps scolaire, hausse des cotisations à la CNRACL, cofinancement des politiques nationales, …

Une nouvelle RGPP se met en place avec un autre nom : la Modernisation de l’Action Publique… Les collectivités deviendraient des variables d’ajustement au nom du remboursement de la dette publique, alors qu’elles n’en sont pas responsables. L’acte III prévoit l’encadrement et le contrôle de la dépense publique, mettant en œuvre la baisse des investissements publics des collectivités. C’est leur capacité à contribuer à une relance de l’activité économique en répondant aux besoins des habitants qui est mise en cause. Il n’y aura pourtant pas de sortie de crise sans les collectivités territoriales qui génèrent 70% de l’investissement public.

 

Pour un renouveau démocratique dans une république unie et solidaire !

La réponse aux défis d’aujourd’hui passe par un renouveau démocratique profond de nos institutions, à 100_9734.JPGcontrario de tous les processus qui, à tous les niveaux, ont organisé la mise à la marge des citoyens, le dessaisissement progressif de leur pouvoir. C’est pourquoi, l’instauration de la proportionnelle, la citoyenneté de résidence avec le droit de vote des étrangers aux élections locales, et l’institutionnalisation de la démocratie participative à tous les niveaux, sont des changements à décider sans délais.

Un État qui s’engage et joue son rôle !

Les Services Publics nationaux doivent se décliner dans une gestion partagée avec les collectivités territoriales, ces coopérations se menant ainsi avec des garanties nationales d’accès égal pour tous. Toute leur place aux coopérations volontaires !

Indissociablement, la réforme doit se hisser à la hauteur du niveau de coopération volontaire aujourd’hui rendu nécessaire entre les différentes institutions de notre République.

Vidéos, photos exclusifs E-Mosaïque, CP.


ACTE lll DE LA DECENTRALISATION : MANIFESTATION... par E-Mosaique