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10/10/2015

L'oeuvrier de la chanson nous a laissé

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On a du mal à le croire, on a du mal à s'y faire, il était si discret et si présent dans nos coeurs. L'ami Lény Escudéro est décédé. L'ouvrier devenu chanteur, l'artiste-oeuvrier titulaire du prix de l'académie Charles Gros en 1971, le poète berçant nos soirées avec sa "ballade à Sylvie" ou "pour une amourette", le citoyen du monde, réfugié de la guerre civile Espagnole, qui chantait " Le siècle des réfugiés" ou "le bohémien", l'enfant de La Mayenne puis de Belleville, le militant de la solidarité, le communiste dans l'âme comme il disait, l'ami de l'Humanité va nous manquer terriblement.

Lény l'authentique ne goutait pas aux systèmes du business, il aimait le public, les concerts. Il terminait une biographie en plusieurs tomes, il appellait cela " le début... la suite... et la fin..."
Il nous laisse là, la gorge nouée, les yeux mouillés.

Nous ne t'oublierons pas Lény... Ta voix si émouvante est en nous. Ton oeuvre vivra.

Patrick Le Hyaric, directeur de l'Humanité

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25/07/2015

LENINE+RENAUD : VIVE LA REVOLUTION VERBALE !

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Des musiciens du Nord Pas de Calais ? « Ils ont dans le cœur la chaleur qu’ils n‘ont pas dehors »… Vérifié. Et pas que la chaleur, le swing et l’autodérision.

Je les ai découverts à l’Européen à Paris le 20 mai dernier. Chemise sans coupe, cheveux courts, look banal, plus norm-core, tu meurs ! Ils sont quatre musiciens et deux chanteurs (une boule d'énergie qui ne tient pas en place, un grand maigre imperturbable), ils doivent avoir la quarantaine, et vous balancent leurs musiques pleines de verve, de poésie et de sacrées vérités sur notre monde.

L‘air de rien, joyeux drilles, piliers de bar (qu’ils disent), ils passent d’un tempo gipsy à une valse lente ou à un tango, d’une mélodie obsédante à un folk un peu seventie’s ou… du cajun… C’est extraordinairement diversifié. Franck, le trapu, vous parle entre chaque chanson, noue un lien immédiat, sympa, juste, balance une courte explication à tel morceau, on les a compris.

Ce sont des  artistes engagés à gauche, et plus que cela : des cerveaux vifs et lucides ; en empathie avec la souffrance mais qui, bravaches, en font une gueulante ricaneuse. Ils rigolent, se charrient, chambrent leur public,  nous mettent dans leur poche.

Et tout cela avec un tempo et une énergie qui  secoue et donne envie d’aller les embrasser. Une  putain de séduction !

Par Catherine Schwaab, rédactrice en chef à Paris Match

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10/07/2015

JEAN FERRAT FETE LE 14 JUILLET

Ferrat-Banquet-1997-(1)-filtered.jpgCet été à Antraigues, samedi 16 août 1997, au cours du premier « banquet républicain » organisé sur la place, après d'autres orateurs, Jean Ferrat prenait la parole dans un discours très applaudi. En voici le texte intégral.

    Bonsoir,

    Les organisateurs de cette soirée et mon ami Jean Saussac m'ont demandé très gentiment de dire quelques mots. Je leur ai d'abord répondu « Oh non ! » Et puis, ça avait l'air de leur faire vraiment plaisir et je me suis dit que j'avais presque le devoir de le faire car voilà 33 ans que j'ai été accueilli dans ce pays et que j'ai trouvé dans la vallée du Mas, là-bas, des racines et des ailes.

    Me voilà donc devant vous avec d'abord l'envie de me réjouir du grand succès de ce banquet républicain parce que je pense que c'est un signe. C'est le signe que nous avons besoin de nous retrouver, de nous rassembler en cette fin de siècle incertaine autour de quelques idées essentielles sans lesquelles il ne fait jamais bon vivre.

    Permettez-moi, à propos de ces idées essentielles, de revenir quelques années en arrière, à une époque où je parcourais le Mexique, avec mon ami Gérard Meys, ici présent.

C'était l'été et nous allions un peu au hasard des routes, dans la chaleur et la poussière. Un jour, nous arrivons dans un village, en fin d'après-midi. Il y avait des tréteaux dressés, des tonneaux en terse, tout le peuple semblait dans la rue. Il y avait des orchestres en plein air, les gens dansaient partout. Bref, c'était la fête et nous nous sommes dit, bien évidemment : c'est la fête du village.

    Et puis, il nous a semblé voir sur une maison un drapeau bleu-blanc-rouge... Et devant notre étonnement, un homme parlant un peu français nous dit : « Mais, senors, savez-vous quel jour on est ? » Evidemment, on n'en savait rien du tout... « Eh bien, mais c'est le 14 juillet et nous fêtons la Révolution Française... »

    Ainsi, près de 200 ans après 1789, malgré Maximilien, malgré les retours en arrière qui ont jalonné notre histoire, malgré les bonapartismes, les royalismes, les pétainismes, ce dont se souvenaient ces paysans pauvres mexicains, c'était l'esprit même qui animait les fondateurs de notre république : l'esprit de liberté, d'égalité, de fraternité.

    En un mot, nos pères avaient fondé avant tout le monde la plus belle des multinationales, celle qui aide, encore aujourd'hui, de la Chine au Mexique, les peuples humiliés, la multinationale de l'espérance, la multinationale du bonheur.

    Est-ce à dire qu'à présent, dans ce pays où nous vivons, ces valeurs originelles soient suffisamment et définitivement établies ? Evidemment, non. Mais je suis profondément convaincu que ce n'est qu'à partir d'elles, en les élargissant encore, que nous serons fidèles à leur esprit.

    Car si je vous disais tout à l'heure combien je me réjouissais du succès de cette soirée, je dois vous avouer que j'éprouve une grande inquiétude sur ce qui se passe dans ce pays. Il me semble que nous sommes entrés, depuis quelques années, dans une de ces périodes de régression que j'évoquai à l'instant, à un moment de l'Histoire où nous pourrions replonger dans l'ombre, où la nuit semble s'étendre sur la pensée et le brouillard sur nos fragiles certitudes.

    Il m'est intolérable, en effet, de savoir qu'ici même, à Antraigues, qui eut, dès 1789, deux députés du Tiers Etat élus à la Convention, Antraigues, dont le passé rebelle et républicain a toujours été sans faille, Antraigues, centre de la résistance au nazisme, il m'est intolérable de savoir que dix pour cent de nos concitoyens votent pour le contraire des idées de justice, de solidarité, de fraternité, qui sont l'essence même de notre histoire et de notre civilisation.

    Alors, je me dis que nous n'avons pas fait ce qu'il fallait, qu'il faudra faire autre chose, qu'il faudra faire autrement. Je ne me résous pas au rejet, à l'exclusion, je ne me résous pas à la haine, je ne me résous pas à la bêtise du désespoir.

    Ma présence, ici, ce soir, parmi vous, n'a d'autre signification que de vous en convaincre et de vous assurer que pour les combattre, je serai toujours à vos côtés. »

Jean Ferrat

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20:33 Publié dans ACTUALITES, Artiste d'espérance, Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : jean ferrat, 14 juillet | |  Imprimer |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook | | Pin it!

25/04/2015

SOLEDAD BRAVO : LA REVOLUTION EN CHANSONS !

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Soledad Bravo est née à Logroño, en Espagne le 1er janvier 1943, mais a émigré au Venezuela à 7 ans avec ses parents. Elle est donc une chanteuse vénézuélienne, considérée comme l'une des principales voix d'Amérique latine. Elle a notamment interprété Hasta siempre, chanson mondialement connue de Carlos Puebla, en hommage à Ernesto "Che" Guevara. Elle a également interprété, sur son troisième album, deux chansons de Barbara, Göttingen et Gare du nord.

Elle a commencé sa carrière dans les années 1960 en mettant en musique et en interprétant des poèmes espagnols (Federico García Lorca, Rafael Alberti, Chicho Sánchez Ferlosio) et latinoaméricains (Violeta Parra, Carlos Puebla, ainsi que les Brésiliens Chico Buarque, Tom Jobim, Vinícius de Moraes).

Son répertoire s'étend du folklore au jazz, en passant par la salsa, la musique ranchera et le boléro.Ses disques, une trentaine d'albums, ont été édités dans toute l'Amérique latine et dans presque toute l'Europe, y compris en Turquie.

Elle a enregistré en particulier

  • Cantos Revolucionarios De América Latina (1997)

Sources Wikipédia

Depuis la fin des années 60, la carrière de Soledad Bravo est d'une exceptionnelle richesse. Chanteuse autodidacte devenue à 18 ans une des icônes de la chanson engagée au Venezuela, Soledad Bravo ne s'est pourtant jamais laissé enfermer dans un registre musical, ce qu’elle aurait ressenti comme une entrave insupportable à sa passion des beaux textes.

Enflammée, tendre ou mélancolique, la voix de Soledad Bravo incarne depuis trente ans le vaste répertoire de la chanson populaire latino-américaine. Elle a interprété ou adapté les plus grands auteurs d'expression espagnole du xxe siècle (Garcia Lorca, Rafael Alberti, Violeta Parra, Carlos Puebla, Silvio Rodrígues…) comme ceux du Brésil (Chico Buarque, Tom Jobim, De Moraes) et de France (Barbara). En près de 30 albums, Soledad a tout exploré : la contestation (Hasta siempre de Carlos Puebla en 1968), la frénésie festive de la salsa (l'album Caribe en 1982 avec Willie Colón) et presque tous les folklores du nouveau continent.

Accompagnée d'une simple guitare ou d'un orchestre afro-caribéen, sa voix se confond désormais avec celle du chant latino-américain.

C'est à la fin des années 60, alors qu'elle est étudiante au Venezuela, que la jeune Soledad Bravo découvre simultanément la lutte politique et la chanson.

Depuis, cette Joan Baez sud-américaine n'hésite pas à reprendre (comme dans cette compilation) les grands hymnes cubains, argentins ou chiliens d'une révolution en marche. Une troublante égérie.

19/04/2015

Zeca Afonso : le Portugal de la révolte !

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Cet artiste plein d’humanité et de délicatesse est par essence indéfinissable. Sa voix douce et obstinée s’escrime contre l’injustice et l’exploitation.
Considéré comme un « révolutionnaire », il l’est, dans tous les sens du terme. Pas seulement politique, mais aussi artistique. Il a réussi à établir l’improbable lien mélodique entre la chanson engagée et la poésie.
Parti bien trop tôt, il nous laisse une oeuvre inclassable et une voix jusqu’ici inégalée.

Source : Last.fm

José Manuel Cerqueira Afonso dos Santos, plus connu sous le nom de Zeca Afonso (2 août 1929 - 23 février 1987) était un compositeur de musique militante portugais. Il a écrit, parmi d'autres choses, des chansons critiquant le régime salazariste qu'a connu le Portugal entre 1933 et 1974.

Il vécut une partie de son enfance en Angola et au Mozambique (où son père commença sa carrière de magistrat) sauf les premières quatre années, passées sur sa terre natale, avec sa famille maternelle. Il étudia au lycée et à l'université de Coimbra complétant ses études en Sciences Historico-Philosophiques.

Il commença à chanter dans ses sérénades et des déambulations plus ou moins bohèmes ou académiques vers sa sixième année de lycée (1949). À partir de là, il ne s'est pas arrêté de parcourir le pays, chantant et se mêlant surtout aux milieux populaires. Il exerça le professorat, d'abord privé et ensuite public, en divers endroits : Mangualde (avant sa licence), Aljustrel, Lagos, Faro, Alcobaça et de nouveau Faro.

Du fado de Coimbra, il passa graduellement à ce qui s'est appelé conventionnellement la ballade (Menino d'Oiro, 1962), et de là, à la chanson d'intervention politique (Menino do Bairro Negro, 1963), outrepassant cependant des frontières thématiques et musicales sans cesser d'être toujours un chanteur-compositeur politiquement impliqué avec les exploités et les opprimés. De 1964 à 1967, il fut professeur au Mozambique, à Maputo (ex Lourenço Marques) et à Beira. De retour au Portugal, il s'installa avec sa famille à Setúbal. Il enseigna jusqu'à ce qu'il soit expulsé de l'enseignement officiel pour motifs politiques en 1968. Il a recours alors aux leçons particulières et à la production musicale dont il finit par faire son « activité professionnelle ». Il fonda, avec d'autres, le Cercle Culturel de Setúbal. 1969 : participation à la rencontre « La chanson de combat portugaise », à la Mutualité de Paris.

Dans les cinq ans précédant la chute du fascisme, il exerça, par la pédagogie du chant et de la parole, une action d'agitation et de conscientisation politiques dans des collectivités culturelles et récréatives, dans des associations académiques et dans des organisations populaires, et, à l'étranger, parmi les colonies d'émigrants. Il fut arrêté et emprisonné quelque temps dans la prison politique de Caxias le 29 avril 1973, en conséquence d'une période de poursuites persécutrices et de détentions exercées par la PIDE.

Après l'évènement révolutionnaire du 25 avril 1974, il se dédia à l'appui des organisations populaires « de base » agissant auprès des associations d'habitants, de travailleurs, des coopératives de production agricole, etc. Au cours de plusieurs voyages en Europe, il cherche à obtenir des fonds destinés à des coopératives et autres collectivités.

1981 : spectacle au Théâtre de la Ville, Paris.

Visites, sur invitation officielle, en Angola et au Mozambique.

Derniers spectacles en 1983 : Colisées de Lisbonne et Porto.

Il enregistra, en tout, 14 Lps et plusieurs singles sans compter les recompositions et rééditions postérieures. En 1983 a été éditée une compilation de textes et chansons de sa composition, une partie desquels mis en musique (édition de Assirio e Alvim).

Il est mort à Setúbal, le 23 février 1987, à 57 ans.

Sources Wikipédia

Chansons

09:32 Publié dans Artiste d'espérance, Culture, International | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : zeca afonso, portugal | |  Imprimer |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook | | Pin it!

05/09/2014

Ayo sur la grande scène à la Fête de l’Humanité

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Samedi 13 septembre, 18 h 10 - Grande scène de la Fête de l'Humanité

Elle s’appelle Joy Olasunmibo Ogunmakin, mais est plus connue sous son nom de scène, qui signifie « joie » en yoruba.

Roumanie, Nigéria, Allemagne... Ayo, c’est tout cela à la fois. Son premier album, Joyful, mêlant soul, folk et reggae, a connu un franc succès en France, en Italie, en Grèce ou encore en Allemagne. Toutes les chansons de cet album ont été écrites et composées par Ayọ à l’exception de And it’s supposed to be love.

En 2008 est sorti son second album Gravity at Last : « Un album ne suffisait pas pour parler de ma vie, de mes expériences, de mes opinions. Dans ce nouvel album, je parle de ce qui me choque dans le monde, des politiques et de la corruption. Mais il y a de nouveaux sujets comme l’amour, mon père, ma mère, mon fils », explique la chanteuse.

En décembre 2009, en pleine tournée, elle fait l’aller retour de Berlin à Paris pour participer à la dernière date de la tournée de Tryo à Bercy, et reprend avec le groupe son titre Life is real. Ayo sort en décembre 2010 le single I’m Gonna Dance.

Son troisième album sort début 2011 : Billie-Eve, un jeu de mot sur « believe » qui est aussi le prénom de sa fille, née en juillet 2010. Elle est accompagnée par Gail-Ann Dorsey (bassiste de David Bowie), Craig Ross (guitariste de Lenny Kravitz) mais aussi Saul Williams et Matthieu Chedid sur deux titres.

Après Hambourg, Londres, New York et Brüggen en Allemagne, la chanteuse-compositrice allemande d’origine nigériane et tzigane a posé ses valises à Paris. Elle sera donc comme chez elle à La Courneuve, le samedi 13 septembre.

Voir en ligne : Site officiel

19/07/2014

JULIA BOUTROS, LE PEUPLE PALESTINIEN AU COEUR !

julia_boutros.jpgJulia Boutros (جوليا بطرس), née le 1er avril 1968, est une chanteuse libanaise célèbre, depuis les années er avril 1968 à Beyrouth, Julia Boutros est Libanaise de confession chrétienne maronite et de mère Arménienne née en Palestine.

Elle a chanté dans la chorale des écoles des Sœurs Rosaires où elle a suivi ses études. À douze ans, elle a enregistré sa première chanson, en français, À maman dans le studio d'Elias al-Rahbani que lui a présenté Fouad Fadel, son professeur de musique. À quatorze ans, elle a lancé son premier album intitulé C'est la vie écrit et composé par Elias al-Rahbani. A dix-sept ans, elle a chanté sa célèbre chanson Ghabet chams el haq composée par son frère Ziad qui, depuis lors, l'accompagne dans sa carrière et compose la plupart de ses chansons.

Parmi les albums de Julia Boutros, citons, outre Ghabet chames el haq (1991), Wayn msâfer (1992), Hikayet `atab (1993), Ya Ossass (1994), El Qarâr (1996), Shi Gharîb (1998), Bissarâha (2001), La b'ahlâmak (2004) et Et`awwadna `alayk (2006).

Julia-boutros.jpgLe 11 octobre, Julia annonce la sortie de son album Ahibbâ'i où elle met en chanson, sur une musique composée par Ziad Boutros, l'un des discours de Hassan Nasrallah, Secrétaire-Général du Hezbollah.

Les paroles de la chanson ont été adaptées par le poète Ghassan Matar du texte d'une lettre de Hassan Nasrallah aux combattants du Sud-Liban pendant le conflit de juillet 2006. Les bénéfices de la vente de l'album (qui atteignirent les trois millions de dollars, soit le triple de l'objectif de départ) ont été consacrés aux familles des victimes tuées pendant le conflit.

En 1996, Julia s'est mariée avec Elias Abou Sa'eb, Vice-Président de l'Université Américaine de Dubaï. Elle a deux enfants, Samer et Tarek.

Elle chante le patriotisme et la résistance à l'oppression dans le monde arabe.

Source Wikipédia

10:11 Publié dans Artiste d'espérance, Vidéo | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : julia boutros, liban, chanteuse, palestine | |  Imprimer |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook | | Pin it!