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06/09/2017

La fête des débats et des combats

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Dans quelques jours, les 15, 16 et 17 septembre, nous avons un immense rendez-vous, politique, social et culturel : la Fête de l’Humanité. Un événement aux enjeux considérables pour mettre en lumière les mystifications du macronisme, nouvelle version d’une droite antisociale. La puissance de la Fête sera la vôtre. Faites-en votre affaire !

Vous y êtes souhaités, espérés, désirés avec vos convictions et opinions, doutes et questions. Ici, chacun débat et échange au cœur d’une foule fraternelle, portant la volonté commune de construire un monde de liberté, de justice et de paix.

Au cœur de la mobilisation contre les ordonnances empoisonnées du mauvais docteur Macron visant à éradiquer les droits sociaux, la Fête de l’Humanité se fera puissante caisse de résonance des refus des contre-réformes, et forum pour une nouvelle sécurité sociale du travail et de la formation.

La Fête de la jonction de la jeunesse avec le monde du travail

Lieu d’élaboration collective et de partage d’expériences, la Fête sera l’immense agora qui offre à l’intelligence de chacun débats et échanges avec des intellectuels, philosophes, artistes ou écrivains, avec des syndicalistes, militants associatifs, élus locaux et nationaux, pour changer cette société minée par l’insécurité de vie et les divisions. Où trouver pareille richesse humaine, où trouver lieu plus stimulant pour donner de la force à nos combats ?

Lieu unique de découverte et de mise en partage des émotions musicales et artistiques, elle permettra d’entendre les jeunes pousses du rap français S-Crew ou les artisans consacrés de son âge d’or, la légende du rock Iggy Pop, l’icône de la chanson française Renaud, le groupe de metal Gojira, ou de passer une soirée à vibrer aux sons du DJ Feder ; d’assister à une séance de cinéma, de pousser des éclats de rire avec Pierre-Emmanuel Barré, de déguster des plats de la France entière ou de laisser le regard et l’esprit vagabonder dans les travées d’un grand Village du livre, les expositions ou les espaces dédiés aux expériences innovantes de l’économie sociale et solidaire et du numérique.

C’est la Fête de la jonction de la jeunesse avec le monde du travail et de la création contre un système qui domine, spolie, exploite, méprise.

Employés, chauffeurs-livreurs de Deliveroo, victimes de l’ubérisation, ouvriers de l’industrie menacés par les objectifs de rentabilité, artisans et commerçants asphyxiés par le système bancaire, paysans et citoyens malades du business agro-industriel, cette Fête vous est offerte pour partager les expériences, nouer des contacts, organiser des combats unitaires et réclamer que l’argent aille à la vie, pas à la spéculation.

Retraités touchés de plein fouet par la hausse injuste de la CSG, contraints de survivre avec le minimum vieillesse, vous trouverez ici fraternité et solidarité dans le combat pour que les actifs financiers soient mis à contribution.

Étudiants touchés par la baisse des APL, écœurés par la mise au pain sec des universités, empêchés d’étudier dans des filières surchargées ou obligés de conjuguer études et boulots précaires, cette Fête vous offrira les arguments et l’énergie pour faire entendre vos revendications, notamment pour combattre l’évasion fiscale.

Agents publics maltraités et dénigrés, aux salaires gelés depuis des années, vous trouverez ici les relais efficaces de vos combats pour faire vivre la République.

Agents hospitaliers qui œuvrez dans des conditions exécrables et malgré les sacrifices consentis au bien-être de tous, vous êtes ici chez vous.

Femmes en lutte pour la défense de vos droits, pour l’égalité salariale, venez en nombre manifester vos exigences.

Militants de la paix et du désarmement, citoyens engagés pour la défense de notre environnement, mobilisés pour la défense des migrants qui fuient guerre et misère, investissez la Fête et son Village du monde riche de ses combats universels pour la défense des droits des peuples.

Venez-y avec vos utopies, vos combats, vos rêves et vos colères. De cette ébullition peut naître un formidable sursaut pour que vivent la justice, la liberté et la paix.

Directeur de l'Humanité

02/07/2015

Les guignols gênent les pouvoirs politiques et économiques. Tant mieux ! Ils doivent continuer

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Pour Vincent Bolloré le président du groupe Vivendi qui possède Canal +, il faut que l’émission phare du Grand journal disparaisse dès la rentrée. Les traits acérés des Guignols de l'info sont devenus trop insupportables aux inspirateurs des personnages de la Wordcompany.

Les Guignols gênent les pouvoirs politiques et économiques. Tant mieux ! Ils doivent pouvoir continuer à nous faire rire et par la même à nous faire réfléchir.

Six mois après les balles des terroristes contre le droit de caricaturer, voici une tout autre arme qui est employée contre la liberté à l'expression dans notre pays. Contre la tentative de Bolloré d'imposer le silence de la critique, faisons entendre notre indignation.

Olivier Dartigolles, porte parole du PCF

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17/06/2015

Le monologue antisocial du gouvernement

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Soutenu par le patron du Medef, Manuel Valls a une nouvelle fois dégainé le 49-3 sur la loi Macron, privant les députés de débats et de vote. 
Un coup de force qui ne passe pas chez beaucoup d’élus de gauche.

«L’Assemblée nationale prend acte de l’engagement de responsabilité du gouvernement. » Ainsi a été conclu avant même d’avoir débuté le débat en seconde lecture sur la loi Macron par la bouche du président de l’Assemblée nationale, Claude Bartolone. Quelques minutes plus tôt, Manuel Valls venait d’annoncer officiellement – même si cela ne faisait aucun doute – le recours à l’article 49-3 de la Constitution pour adopter sans débats ni vote le projet de loi pour l’activité et la croissance défendu par le ministre de l’Économie.

Encouragement surprise de Gattaz

C’est donc le texte issu d’une commission spéciale largement acquise au gouvernement, auquel s’ajouteront les amendements retenus discrétionnairement par le gouvernement, qui continuera la navette parlementaire. Officiellement, il s’agirait d’aller vite car les Français seraient impatients de s’entasser dans les autocars ou de travailler le dimanche. En réalité, l’opposition est trop forte dans la majorité pour s’assurer de l’adoption du texte, malgré le soutien de certains députés de l’UDI et l’encouragement surprise de Pierre Gattaz, dans un communiqué publié quelques heures avant l’intervention du premier ministre. Le président du Medef se réjouit du recours au 49-3 pour faire adopter la loi Macron sans « zigzag » et appelle les députés de droite à la voter.

À gauche par contre l’opposition est forte. « C’est d’une extrême gravité, estime André Chassaigne, chef de file des députés Front de gauche. On considère que le Parlement est une forme de poids lourd qui gêne, qui bloque des décisions qui devraient être prises très rapidement et que l’on peut se passer de la discussion parlementaire. C’est un déni de démocratie. » Le frondeur Pascal Cherki, qui estime que le gouvernement intime ainsi aux députés de « fermer leurs gueules », fulmine : « Le souverain c’est le peuple et ses représentants, pas le bureau du Medef ! » Et son collègue Christian Paul d’ajouter : « Le premier ministre s’éloigne de la gauche. »

Face au 49-3, la Constitution prévoit une seule alternative : faire adopter par l’Assemblée une motion de censure qui pour être déposée nécessite la signature de 58 députés. C’est ce que comptent faire les députés communistes, qui ont lancé à tous les députés de gauche une proposition afin de ne pas avoir à voter celle qui est déposée par la droite. Le nombre de signataires nécessaires ne sera probablement pas atteint.

Pour autant la proposition a été reçue avec beaucoup d’intérêt. Les frondeurs ne s’y joindront pas cette fois-ci « parce qu’on ne l’a pas fait en première lecture et que cela demande du temps et de l’organisation », explique Pascal Cherki, mais « pour la première fois on a eu un débat et des camarades députés ont demandé “pourquoi ne pas la signer et la voter ?” ». Pour le député de Paris, qui rappelle le temps qu’il a fallu pour que naisse la fronde, « c’est un vrai signe ». Chez les écologistes aussi, Sergio Coronado – qui avait participé à une tentative de dépôt d’une motion de censure lors de la première lecture – a défendu en réunion de groupe ce projet, mais son groupe « a décidé de ne pas s’y associer ».

Les députés du Front de gauche décideront aujourd’hui de leur stratégie de repli s’ils ne pouvaient aller jusqu’au bout de leur initiative. À ce jour, beaucoup de députés à gauche pensent boycotter la séance. Pendant ce temps, la provocation continue : le porte-parole des députés PS, Hugues Fourage, estimait que le 49-3 sera utilisé une troisième fois pour l’adoption définitive de la loi Macron en juillet.

Adrien Rouchaleou
Mercredi, 17 Juin, 2015
L'Humanité
 

08/01/2015

Charb à la fête de l'Humanité à Toulouse : «Le communisme, solution à la crise»

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Parmi les 12 personnes assassinés dans les locaux de Charlie Hebdo se trouvait le dessinateur Charb. En son hommage et à celui de tous ceux qui ont succombé à la folie des tueurs nous reproduisons l'entretien qu'il avait accordé à la Dépêche du Midi le 07 juin 2014.

Le dessinateur et directeur de la publication de CharlieHebdo est l'invité, aujourd'hui, de la fête de l'Humanité, aux Argoulets, où il viendra débattre sur le Front national. Interview.

Qu'est-ce qui vous amène à la fête de l'Humanité à Toulouse ?

J'ai une vraie proximité avec l'Humanité, d'abord parce que je dessine depuis longtemps déjà dans l'édition du dimanche et aussi en semaine, en plus de Charlie Hebdo. Je suis proche des idées défendues ici et je connais bien Roselyne de la librairie de La Renaissance qui fait un boulot formidable. J'ai répondu avec plaisir à l'invitation pour débattre notamment sur le Front national.

Le communisme est-il encore une idée neuve ?

Oui, bien sûr, je rêve de l'Union soviétique de l'Union européenne. Pas sur le modèle qui a fait faillite à l'Est, évidemment. Mais je crois que le communisme est une solution à la crise. J'en vois pas d'autres. Je manque peut-être d'imagination, mais j'ai quasiment toujours voté communiste. J'ai juste failli prendre ma carte au Parti socialiste quand j'étais au lycée. Il faut dire que dans ma famille, on était plutôt PS.

Charlie Hebdo s'est beaucoup investi dans le débat sur les caricatures de Mahomet, comment analysez-vous le phénomène jihadiste prégnant à Toulouse ?

Personne ne conteste le phénomène de ces jeunes qui partent pour le Jihad, c'est une réalité et il y a un vrai danger. Mais je crois que le risque est surévalué et qu'ils ne sont pas si nombreux. On fait beaucoup plus de bruit autour de ce risque-là que sur le nombre de tués à la Kalachnikov, à Marseille. Il ne faut pas avoir peur plus que de raison. Il faut faire attention à l'aspect médiatique, car à force de raconter qu'ils sont puissants, ils vont finir par l'être. Les médias peuvent conforter le phénomène et renforcer dans leur détermination des individus qui sont d'abord isolés. Heureusement, pour une fois on ne fait pas l'amalgame entre ces jihadistes et les musulmans.

Comment voyez-vous l'avenir de la presse, notamment satirique ?

C'est catastrophique. La crise s'est rajoutée aux problèmes qui existaient déjà avant. Je ne vois pas comment la presse papier peut s'en sortir, d'autant que la situation du réseau de distribution se dégrade très vite. Paradoxalement, à Charlie Hebdo et dans la presse satirique en général, on est plus protégés, parce qu'on est sur une niche où il y a peu de concurrence. Mais on vit difficilement, on a pas de réserve. On va proposer une formule sur le net, mais ça ne compensera pas la baisse du papier.

Un message pour cette fête ?

Oui, un message d'espoir. Je veux dire aux gens que la contestation la colère, les critiques contre les élites sont légitimes. Le problème, c'est quand ils votent FN au lieu de voter PC. Ce que je ne comprends pas, c'est qu'on a le droit de critiquer l'idéologie et les politiques du FN, mais pas les électeurs. Ils souffrent sans doute, sont malheureux, d'accord, mais pour moi, ce sont des salauds. La spécificité du vote FN, c'est que c'est d'abord un vote raciste anti-immigrés. Sinon, ils voteraient à gauche...

09:53 Publié dans ACTUALITES, Dessin, FETE HUMANITE 2014, Société | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : charb, charlie hebdo | |  Imprimer |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook | | Pin it!

20/09/2014

LE SIEGE DU PCF, LIEU CULTUREL AU COEUR DE PARIS

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Ouvert à la population dans le cadre de la journée du patrimoine, le siège du PCF, situé au cœur de Paris et construit par le célèbre achitecte communiste Brésilien Oscar Niemeyer est devenu aussi un lieu d'expositions unique comme l'a souligné Pierre Laurent a l'occasion de son discours (voir la vidéo en cliquant sur cette ligne) pour présenter la nouvelle exposition Palenque ("Palenque" signifie "territoire d'esclaves fugitifs" en espagnol. )  dans le cadre du 20ème anniversaire du projet de l'UNESCO 'la route des esclaves' pour contribuer à la reconnaissance de la culture africaine dans les Caraïbes et renforcer les liens entre l'Afrique et les Antilles. 

palenque5.jpgCette exposition de grande qualité est consacrée à trois peintres dessinateurs, et scupteurs Cubains : Augustin Cardenas, Jésus Gonzales (aujourd'hui disparus) et Lorenzo Padilla qui était présent à côté de Pierre Laurent à l'occasion du vernissage de l'exposition.

Ces œuvres mettent en exergue la relation entre leurs travaux et les cultures africaines.

place du colonel fabien,pcf,palenque,lorenzo padilla,pierre laurentLes toiles de Lorenzo Padilla particulèrement sont submergées de couleurs, évoquent les esprits du monde maya de ses origines et vous font entrer dans un monde occulte et mystérieux.

Ses huiles et pastels sensibles et profonds sont traitées avec une palette musicale au rythme emporté et juste qui se répand comme une symphonie.

place du colonel fabien,pcf,palenque,lorenzo padilla,pierre laurentLes sculptures de Agustin Cardenas (1927-2001) montrent une modernité-autre, celle des symbioses et de la synthèse à travers des formes inédites (ici son oeuvre le petit cheval d'une très grande pureté). Il est un des pionniers de la sculpture moderne.

place du colonel fabien,pcf,palenque,lorenzo padilla,pierre laurentLes dessins de Jésus Gonzalez De Armas (1934-2002) soutiennent une narration synthétisée, dramatique, de la confrontation entre deux mondes, celui des conquérants européens, appelés "les civilisateurs" et celui des indiens Cubains, comptés alors parmi les moins avancés dans ce vaste continent appelé Nouveau Monde.

De toute beauté cette exposition est à découvrir au siège du PCF, Place du Colonel Fabien....Du 20 septembre au 25 octobre 2014
Espace Oscar Niemeyer, 2, place du Colonel Fabien, 75019 Paris Entré libre du lundi au vendredi de 10h à 18h

Photos, vidéos exclusifs E-Mosaïque

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23/11/2013

Voir le monde en peinture avec Jean-Pierre Jouffroy

peinture,exposition,colonel fabien,jean-pierre jouffroyÀ l’occasion de ses quatre-vingts ans, une grande rétrospective du peintre Jean-Pierre Jouffroy est organisée à l’espace Niemeyer, place du Colonel-Fabien à Paris. Cet événement sera inauguré le jeudi 21 novembre.

«Il faut que la peinture serve à autre chose qu’à la peinture », écrivait Matisse. À autre chose que « décorer des appartements », ajoutait 
Picasso. Jean-Pierre Jouffroy a inscrit ses trajectoires dans la foulée de ces exigences et il les donne à voir dans la grande rétrospective de son œuvre qui sera inaugurée le jeudi 23 novembre à 19 heures, à l’espace Niemeyer, place du Colonel-Fabien à Paris.

Des toiles surtout, des dessins, de la sculpture, de la gravure, des affiches seront donnés à voir durant six semaines comme un témoignage de quatre-vingts ans, ou peu s’en faut, d’empoignades avec la matière, avec sa forme, sa couleur, la lumière et l’œil humain qui les regarde. Sa passion naît à onze ans en voyant des œuvres de Kandinsky ; là il se crée un territoire qui échappe aux règles de fer de son éducation mais qui exige encore une discipline de la connaissance, celle des évasions et des latences, des révolutions et des conservations, qui ont scandé l’histoire de la peinture.

peinture,exposition,colonel fabien,jean-pierre jouffroySon parcours initiatique de jeune homme passe de musée en musée, dialogue entamé avec Jacques Villon, Braque, Picasso, Matta, Poliakoff, Pignon, Kijno, Bazaine, Longobardi et, bien sûr et peut-être avant tout, avec Nicolas de Stael. Histoire de peindre... il fallait tout cela pour oser s’émanciper, une maîtrise des règles qui permet de s’en passer. « L’exécution, dans la peinture, doit toujours tenir de l’improvisation », assurait Delacroix. Miro en tenait, lui, pour la prise de risque maximum, « sans aucune prudence, sans nulle protection, le grand saut, à chaque fois ». C’est affaire de nécessité intérieure.

Peu à peu, à la fin des années cinquante, Jean-Pierre Jouffroy s’éloigne de l’abstraction, ou plutôt il abolit sa frontière avec la figuration. « Le peintre abstrait est toujours figuratif de quelque chose, qu’il le veuille ou non », écrit-il, pour ajouter : « La peinture est l’image du combat livré dans une personne. Elle vaut ce que valent l’aune et la hauteur du combat. Et ce combat est lui-même la métaphore des rapports existant dans la sphère sociale. » Grands ou petits formats, toiles monumentales en rideau de scène de la Fête de l’Humanité, portraits, paysages, autoportraits... il explore beaucoup, souvent ramené vers le corps des femmes et la chair, citant la couleur pour réinventer les contours et l’espace, usant d’une matière puissante et de la lumière pour créer du mouvement. Il s’attache au surgissement de routes lumineuses dans les vallonnements des bords de Loire ou à des thèmes musicaux, mythologiques ou picturaux. Mme Matisse croise Mme Homère... «En peinture, on peut tout essayer à condition de ne pas recommencer », mettait en garde Picasso. Jouffroy a entendu l’avertissement et le foisonnement de sa création témoigne d’une recherche incessante.

À la création, se sont ajoutés une pensée sur la création, accompagnée de nombreuses publications, et un combat pour une politique artistique libre de toute entrave idéologique au sein du PCF.

peinture,exposition,colonel fabien,jean-pierre jouffroyDirigeant de l’Union des arts plastiques, enseignant dans les écoles du PCF et de la CGT pour ouvrir en grand l’univers de l’art aux militants, organisateur des grandes expositions de la Fête de l’Humanité, il est aussi un homme de presse, qui a marqué des années durant l’Humanité Dimanche dont il fut le directeur artistique. Tout un parcours à croiser et recroiser.

Patrick Apel-Muller pour l'Humanité

 

28/05/2012

GRECE : ILS M'ONT TOUT PRIS !

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16:12 Publié dans ACTUALITES, Dessin, International | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : grèce, dessin, fmi, bce, ce | |  Imprimer |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook | | Pin it!