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03/05/2021

NON AUX VIOLENCES CONTRE LES MILITANTS DE LA CGT

pcf,cgt,violences

 

COMMUNIQUE DU PARTI COMMUNISTE FRANCAIS

Le Parti communiste français s’indigne des graves événements survenus à l’occasion de la manifestation syndicale du 1er Mai à Paris.

Alors que le défilé a été un succès avec plus de 25 000 participants, et que plus de 100 000 personnes ont manifesté dans toute la France en défense des revendications du monde du travail, un groupe important d’individus s’en est pris avec la plus extrême violence, place de la Nation, à des militantes et militants de la CGT, faisant 21 blessés dont 4 graves, et dégradant plusieurs véhicules syndicaux.Cette agression s’est accompagnée d’insultes racistes, sexistes et homophobes.

Ses auteurs ont ainsi révélé que la prétendue radicalité de leur action recouvrait une véritable haine des organisations du mouvement social, haine caractéristique depuis toujours de l’extrême droite et dont seul  un pouvoir mettant en oeuvre une politique de casse sociale peut profiter.

Le PCF assure les militantes et militants blessés de sa solidarité, et il tient à apporter son entier soutien à la CGT dans cette épreuve.Après les nombreux incidents violents dont le cortège parisien a été victime, les agressions de ce 1° Mai visent de toute évidence à diviser les salarié.e.s et à répandre la peur.

Elles mettent gravement en cause la liberté de manifester. Ces agressions doivent donc recevoir une réponse ample et déterminée de la part de l’ensemble des forces progressistes du pays. Quand les travailleurs et les travailleuses se voient interdire de défendre leurs droits, ce sont les principes mêmes de la République qui sont attaqués.Une enquête a été ouverte par le parquet de Paris sur ces violences.

Le PCF appelle à ce que toute la lumière soit faite.Tout doit être mis en œuvre pour que les acteurs de ces violences soient identifiés et déférés devant la justice. Quant au préfet de police et au ministre de l’Intérieur, ils doivent rendre des comptes sur le défaut de protection des manifestant.e.s victimes de ces actes inacceptables. Un débat public est désormais indispensable sur la prétendue «doctrine du maintien de l’ordre» appliquée dans les manifestations parisiennes.

Paris, le 03.05.2021

18:05 Publié dans ACTUALITES, PARTI COMMUNISTE FRANCAIS | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : pcf, cgt, violences | |  Imprimer |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook | | Pin it!

24/01/2017

La Maison des Syndicats n’est pas à vendre !

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Pétition intersyndicale CGT, CFDT,FO, CFTC, CFE-CGC, FSU, UNSA contre l’expulsion des syndicats de la Bourse du Travail d’Evry

Le Président du Conseil Départemental a annoncé sa décision d’expulser les syndicats de la Bourse du Travail d’Évry, leur proposant de se reloger dans des locaux trop petits pour accueillir du public, organiser des réunions mais aussi de nombreuses formations syndicales. Cela fait 33 ans que les syndicats du département disposent des locaux de la Bourse du Travail.

Les Bourses du Travail sont indissociables du combat des salariés pour leur émancipation. Les salariés y viennent pour « acquérir la science de leur malheur », pour être conseillés et défendus. Dans le contexte où les attaques contre les droits des salariés n’ont jamais été aussi nombreuses, comment ne pas voir dans cette décision la volonté de reprendre aux salariés les moyens de s’organiser pour faire respecter leurs droits et en conquérir de nouveaux ?

Aujourd’hui, il est demandé à nos organisations syndicales de libérer ces mêmes locaux alors que rien ne le justifie. La Maison des Syndicats appartient à la population de l’Essonne qui l’a financée. Elle n’est pas la propriété des élus départementaux qui souhaitent l’utiliser pour d’autres fonctions.

La Maison des Syndicats est le bien commun de tous les salariés de l’Essonne pour la défense leurs droits et garanties collectifs et individuels.
Nous exigeons le maintien des syndicats dans les locaux de la Bourse du Travail à Évry.

La Maison des Syndicats n’est pas à vendre.
Tous ensemble, nous nous battrons pour la garder.

signez la pétition en ligne ICI

Les élus communistes d'Evry sont totalement solidaires avec les organisations syndicales signataires de cette pétition

11:28 Publié dans ELUS COMMUNISTES, Pétition, Société | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : cgt, syndicat, pétition, essonne | |  Imprimer |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook | | Pin it!

22/09/2015

NON AU PAIEMENT DU STATIONNEMENT A L'HOPITAL SUD FRANCILIEN

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La Direction de l’Hôpital Sud Francilien a annoncé qu’à compter du 1er novembre 2015, le parking de stationnement de l’établissement deviendra payant pour les usagers du service public et le personnel.

Cette décision coûteuse pour les usagers et le personnel est totalement scandaleuse et contraire au libre accès du service public de santé pour tous.

Les malades ne sont pas malades par plaisir et le personnel doit conserver le droit de stationner gratuitement afin de continuer à assurer son service. Rappelons que cet établissement tout récent a été financé par l’argent du contribuable et la sécurité sociale.

Le stationnement doit donc rester gratuit pour TOUS !

La CGT invite les usagers et les agents à une réunion d'information et d'action le Vendredi 25 septembre à 14h, dans le hall de l'hôpital (pôle T, RDC).

Le Groupe des élus communistes et républicains d'Evry apporte son soutien plein et entier à cette initiative légitime et appelle les usagers à participer massivement à ce rassemblement.

DECLARATION de la FEDERATION DE L’ESSONNE DU PCF

La Direction de l’Hôpital Sud Francilien a annoncé qu’à compter du 1er novembre 2015, le parking de stationnement de l’établissement deviendra payant pour les usagers du service public.

Cette décision a été prise sans aucune consultation préalable des instances représentatives du personnel. La gestion des emplacements du parking de l’hôpital, devrait être confiée à une société privée dans le cadre d’une délégation de service public, qui va s’enrichir de l’argent des usagers d’un hôpital public à leur détriment. C’est inacceptable !

C’est un choix politique qui vise au démantèlement de nos services publics en introduisant le privé, dans tous les secteurs de l’activité. Les déclarations de M. Macron sur les fonctionnaires, leur statut, vont dans le même sens. Il faut une autre politique, notamment pour nos services publics, ce que nous portons d’ailleurs au coeur des régionales de décembre prochain.

Nous demandons, à la Direction de revenir sur cette décision et de garantir l’accès gratuit à tous les usagers de hôpital public.

Nous réaffirmons notre solidarité aux personnels et aux usagers de l’hôpital Sud-francilien, nous serons du rassemblement/Assemblée générale ouverte qu’ils organisent.

 

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02/05/2015

Un 1er Mai pour le progrès social

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COMMUNIQUE DE LA CGT, Vendredi, 1 Mai, 2015

Ce 1er mai 2015, Journée internationale de solidarité des travailleurs, la Confédération européenne des syndicats a appelé à la mobilisation unitaire et convergente des salariés, des privés d’emploi, des retraités, ainsi que des organisations de jeunesse, sur tout le continent, pour le progrès social.

Ce 1er mai 2015, Journée internationale de solidarité des travailleurs, la Confédération européenne des syndicats a appelé à la mobilisation unitaire et convergente des salariés, des privés d’emploi, des retraités, ainsi que des organisations de jeunesse, sur tout le continent, pour le progrès social.
 
manifestation 1 er mai 2015, CGT, PCFLa pluie n’a pas découragé les manifestants. Partout sur le territoire, 301 initiatives, le plus souvent unitaires, ont rassemblées plus de 110 000 manifestants pour exiger un autre projet social. Celui-ci passe par l’augmentation des salaires et des pensions, la création d’emplois qualifiés, un plan d’investissement pour une vraie relance économique, la promotion des services publics, une autre répartition des richesses et une protection sociale de haut niveau.
 
Autant de revendications auxquelles les projets gouvernementaux et patronaux tournent le dos : comme le Pacte de compétitivité, la loi Macron, le projet de loi sur le dialogue social, le projet de loi Santé…
 
Toutes les organisations de la CGT engagées dans cette journée de lutte, peuvent se féliciter de sa réussite : 12 000 manifestants à Paris ; 10 000 à Marseille ; 7 000 à Toulouse ; 3 500 à Bordeaux ; 3 000 à Lyon ; 2 000 à Montpellier, Nice, Strasbourg et Grenoble ; 1 800 à Caen ; 1 500 à Nantes, Rennes et Perpignan ; 1 200 à Clermont-Ferrand, Bayonne et Pau ; 1 000 à Toulon, Tarbes, Nancy, Avignon, Rouen et Albi ; 800 à Tour, Angers, Cherbourg, Hennebont et Metz ; 750 à Valence ; 600 à Saint-Brieuc ; 500 à Lavelanet, Dijon, le Puy-en-Velay et Orléans…
 
Les politiques d’austérités font partout preuve de leur inefficacité, elles creusent les inégalités et plongent dans la misère des dizaines de milliers de salariés.
La CGT invite ses organisations à amplifier la mobilisation dans les semaines à venir, en multipliant les rencontres avec des salariés sur les lieux de travail, permettre qu’ils s’emparent de leurs affaires et portent haut et fort leurs revendications.
 
L’enjeu est de faire grandir et converger, dans l’unité des salariés, le bouillonnement revendicatif qui s’exprime, en témoignent les nombreuses luttes qui existent déjà dans les entreprises comme par exemple chez Carrefour Market, SODEXO, dans les transports…
 
Avant l’été, la CGT proposera de nouvelles initiatives et temps forts de mobilisations.
 
Montreuil, le 1er mai 2015 
 
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10/04/2015

300 000 MANIFESTANTS CONTRE L'AUSTERITE

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Ils étaient 300 000, ce jeudi, à battre le pavé dans 86 villes de France, pour la journée intersyndicale d’action contre l’austérité. Dans les cortèges, travailleurs du public et du privé, précaires, chômeurs, jeunes, retraités ont convergé, rejetant les divisions et exigeant une politique de relance des salaires et des services publics.

manif09.jpg« A manifesté ! » ainsi Lise, annonce fièrement sur Facebook, tel un acte citoyen, sa participation à l’une des quelque 86 manifestations anti-austérité (1) organisées jeudi dans tout le pays et notamment à Paris à l’appel de la CGT (très massivement mobilisée), de FO, de la FSU et de Solidaires. Quelque 300 000 personnes ont répondu à cet appel à la grève active lancé par 800 syndicats d’entreprises publiques et privées et ont permis de mesurer que la colère n’est pas moins vive au soleil, pourtant bien présent.

Bien au-delà de sombres constats, ce sont des revendications claires qui ont été portées par les dirigeants des organisations syndicales en tête du cortège parisien qui a rassemblé près de 120 000 hommes et femmes entre la place d’Italie et les Invalides. Pour la première fois à Paris depuis 2010, la tour Eiffel et de nombreux musées étaient fermés pour cause de grève.

manif09a.jpgPour Philippe Martinez, secrétaire général de la CGT qui a pris le temps d’échanger avec de nombreux militants, « le mot d’ordre, contre l’austérité et pour des politiques alternatives à celle du gouvernement et du Medef », signifie « revalorisation des salaires, réduction du temps de travail, tout ce qui fait en sorte qu’on puisse développer l’emploi ».

Il confirme ainsi un contre-courant manifeste vis-à-vis de la politique vaine et dangereuse menée par le gouvernement qui « consiste à donner toujours plus d’argent public aux entreprises privées, sans contrôle, sans mesure d’efficacité de ces mesures ».

Même idée, du côté de Jean-Claude Mailly selon qui les coups de pouce offerts aux patrons du Medef ne permettent pas de reprendre la main sur l’emploi, lorsque le secrétaire général de Force ouvrière résume : « Maintenant ça suffit ! Il faut une politique sociale, et pour le moment, on n’est pas entendu. »

Bernadette Groison, leur homologue de la FSU, décline on ne peut plus concrètement son attente d’un « geste » de la part du gouvernement. « Qu’il réunisse les organisations syndicales de notre pays, au moment où on a un FN à 25 % et une défiance réelle à l’égard des forces démocratiques dans notre pays. » La responsable syndicale revendique l’ouverture de « discussions pour négocier les salaires ».

Rappelons que ceux des fonctionnaires sont gelés depuis maintenant cinq ans ! Eric Beynel, l’un des porte-parole de Solidaires, a signifié «  le ras-le-bol contre ces politiques d’austérité qui nous conduisent à la catastrophe ». Le retrait pur et simple du projet de loi Macron étant jugé comme un préalable à toute démonstration de virage tangible dans le sens d’une politique sociale que l’on est en droit d’attendre d’une gauche portée au pouvoir par un vote majoritaire des salariés.

Article publié par l'Humanité, photos E-Mosaïque

02/04/2015

POUR LA DIGNITE : AVEC LES ONZE !

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Elles sont onze à se battre avec la CGT et être en grève depuis le 16 mars. Elles travaillent dans un centre d'appel et de secrétariat dédié aux médecins, cabinets médicaux et laboratoires pharmaceutiques situé à Evry dans l'Essonne.

Elles revendiquent la dignité, le respect du code du travail, des conditions de travail décentes, les arrêts des insultes (connes...), des persécutions, le mépris...

Elles veulent la reconnaissance de leur savoir faire, une véritable formation professionnelle, la reconnaissance des compétences par des salaires situés aujourd'hui en dessous du SMIC.

Elles exigent le paiement des heures supplémentaires que l'employeur nomme sans rire, heures de solidarité.

Elles veulent le respect du droit de grève que l'employeur veut mettre en cause en engageant des référés dans les tribunaux,

Les élus communistes d'Evry avec Christian Pigaglio maire adjoint et Diego sont allés les saluer et apporter le soutien des communistes à ces salariées dont le combat est totalement légitime.

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15/11/2014

CONTRE L'AUSTERITE DES DIZAINES DE MILLIERS DE MANIFESTANTS DANS LE PAYS

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Le collectif 3A (Alternative à l’austérité), qui regroupe des forces politiques, syndicales, associatives, avait invité à manifester ce samedi 15 novembre, à Paris et dans les grandes villes de France, pour mettre un coup d’arrêt à la politique menée par Hollande et Valls.

Plusieurs dizaines de milliers de personnes ont ainsi participé à ces manifestation et rassemblements.

manifaust.jpg« Refuser la politique d’austérité, exiger des élus qu’ils rejettent le budget Hollande-Medef, et défendre une alternative sociale, écolo-
gique, politique » : était le mot d’ordre du collectif 3A (Alternative à l’austérité).

Alors que, désormais, François Hollande fait 80 % d’insatisfaits, le collectif se fixe l’objectif de mettre un coup d’arrêt à sa politique.

Issu de la manifestation du 12 avril dernier à l’appel de 200 personnalités engagées contre l’austérité, celui-ci a déjà relevé quelques défis. « On constate un élargissement, un ancrage dans les territoires et une installation dans le paysage politique du collectif 3A, c’est le seul endroit où se retrouvent des forces politiques, associatives, et syndicales », relève un de ses animateurs.

manifaust7.jpgDepuis la dernière manifestation, le spectre de ses forces s’est effectivement élargi. « Jamais, depuis l’élection de François Hollande, aucun appel de ce type n’avait rencontré une telle diversité de signataires », se réjouit le collectif dans un communiqué, relevant que « plus de 70 organisations se mobilisent » contre l’austérité, mais aussi contre « la criminalisation » des mouvements sociaux et pour « exiger la vérité et les sanctions au plus haut niveau de l’État suite à la mort de Rémi Fraisse ».

Au rouge des composantes du Front de gauche et du NPA, dès le départ parties prenantes, le rose des socialistes affligés et le vert d’une partie d’Europe Écologie-les Verts (EELV) c'étaient sont ajoutés à la palette politique.

manifaust11.jpgNouveaux participants également, les militants de Nouvelle Donne, dont le fondateur Pierre Larrouturou constate : « Les politiques d’austérité font de plus en plus de dégâts et de plus en plus de gens réagissent », citant au passage aussi bien les chercheurs que les élus ruraux. « On se rapproche de l’impasse de jour en jour, il est urgent d’agir avant 2017 pour éviter la catastrophe », réagit Jérôme Gleizes, d’EELV, pour qui l’important n’est « pas tant le nombre de manifestants, samedi, que le regroupement de toutes les oppositions de gauche qui se construit ». Et elles sont diverses.

- Compte rendu Mosaique, l'Humanité. Photos exclusives E-Mosaïque

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