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24/01/2017

La Maison des Syndicats n’est pas à vendre !

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Pétition intersyndicale CGT, CFDT,FO, CFTC, CFE-CGC, FSU, UNSA contre l’expulsion des syndicats de la Bourse du Travail d’Evry

Le Président du Conseil Départemental a annoncé sa décision d’expulser les syndicats de la Bourse du Travail d’Évry, leur proposant de se reloger dans des locaux trop petits pour accueillir du public, organiser des réunions mais aussi de nombreuses formations syndicales. Cela fait 33 ans que les syndicats du département disposent des locaux de la Bourse du Travail.

Les Bourses du Travail sont indissociables du combat des salariés pour leur émancipation. Les salariés y viennent pour « acquérir la science de leur malheur », pour être conseillés et défendus. Dans le contexte où les attaques contre les droits des salariés n’ont jamais été aussi nombreuses, comment ne pas voir dans cette décision la volonté de reprendre aux salariés les moyens de s’organiser pour faire respecter leurs droits et en conquérir de nouveaux ?

Aujourd’hui, il est demandé à nos organisations syndicales de libérer ces mêmes locaux alors que rien ne le justifie. La Maison des Syndicats appartient à la population de l’Essonne qui l’a financée. Elle n’est pas la propriété des élus départementaux qui souhaitent l’utiliser pour d’autres fonctions.

La Maison des Syndicats est le bien commun de tous les salariés de l’Essonne pour la défense leurs droits et garanties collectifs et individuels.
Nous exigeons le maintien des syndicats dans les locaux de la Bourse du Travail à Évry.

La Maison des Syndicats n’est pas à vendre.
Tous ensemble, nous nous battrons pour la garder.

signez la pétition en ligne ICI

Les élus communistes d'Evry sont totalement solidaires avec les organisations syndicales signataires de cette pétition

11:28 Publié dans ELUS COMMUNISTES, Pétition, Société | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : cgt, syndicat, pétition, essonne | |  Imprimer |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook | | Pin it!

03/06/2014

DES DIZAINES DE MILLIERS DE RETRAITES RASSEMBLEES A PARIS A L'APPEL DE TOUS LES SYNDICATS CONTRE L'AUSTERITE

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Alors que le gouvernement Valls entend geler les pensions "retraite" jusqu'en 2015, les retraités se sont rassemblés pour dénoncer l'aggravation de leur pouvoir d'achat. "La retraite n'est pas un privilège, elle est un droit", rappellent les organisations syndicales CGT, FO, CFTC, FSU, Solidaires, USR, UNPA, FRC et CFE-CGC, en colère, contre le gouvernement PS.

Révoltés de devoir se serrer la ceinture en fin de mois, inquiets de tomber malade et de ne pouvoir payer les frais médicaux, las des politiques gouvernementales qui s'attaquent à eux en tentant de faire des milliards d'économies d'euros sur ce qui leur revient de droit, les retraités n'ont pas la belle vie. "Les retraités d’aujourd’hui ont participé au développement de la nation et à la solidarité entre générations. Ils devraient naturellement recevoir leur dû", déplore la CGT.

ret03e.jpgAprès un déjeuner sur l'herbe près de la Tour Eiffel, les organisations de retraités CGT, FO, CFTC, FSU, Solidaires, USR, UNPA, FRC et CFE-CGC ont participé nombreux à une grande marche jusqu'à Montparnasse,"contre le gel des pensions, pour l’amélioration du pouvoir d’achat et le retour à la revalorisation annuelle des pensions ».

La hausse de la TVA, la taxe de 0,3% sur les retraites imposables, le report de la prochaine revalorisation des pensions au 1er octobre 2014, la difficulté de l’accès aux soins pour les retraités, ont poussé les retraités à manifester demain leur colère.

Si Bruno Le Roux, président du groupe PS à l’Assemblée nationale, précisait il y a quelques semaines « qu’un geste en faveur des retraités les plus modestes, allait être fait », pour le secrétaire général de la CGT, Thierry Lepaon, c’est loin d’être suffisant : « Ce ne sont pas des gestes, que les salariés retraités, sont en droit d’attendre mais plutôt une politique sociale qui prenne en compte leurs difficultés.

manifestation,retraités,syndicat,austérité,03 juin 2014Cela fait des années qu’il y a un problème de financement des retraites dans ce pays. Le gouvernement n’a jamais voulu prendre à bras de corps cette question de financement. Aujourd’hui on va les contraindre à le faire. Et pour ne citer qu’un chiffre, 17% des retraités vivent avec moins de 600 euros par mois ».

Face au pouvoir d'achat des retraités qui a chuté de 15%, principalement en raison des pensions, très peu augmentées par rapport au coût de la vie, la CGT des retraités revendiquent, entre autres, un rattrapage immédiat de 300 euros par mois pour tous les retraités, un minimum de retraite égal au SMIC et la prise en charge de l’autonomie des personnes âgées par l’assurance maladie.

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En prônant la retraite comme un dû, parce que « la retraite n'est pas un privilège ou une prestation sociale. Elle est un droit obtenu par le travail et son niveau est directement le résultat des rémunérations perçues pendant la vie professionnelle et le nombre d'années cotisées », l'organisation syndicale demande à ce que les économies françaises soient rechercher ailleurs que dans le prétendu coût du travail et de la protection sociale (retraite, allocation familiale…).

ret03d.jpgLe Parti communiste français était seul Parti, les élections passées, présent pour soutenir cette marche et  les revendications exprimées par les organisations syndicales.

Texte l'Humanité, E-Mosaïque. Photos exclusives E-Mosaïque

03/04/2012

Des magistrats accusent Sarkozy d’instrumentaliser la lutte contre le terrorisme

sécurité, nicolas sarkozy, syndicat, terrorisme,

Le Syndicat de la magistrature a accusé le président Sarkozy d'"instrumentaliser" l'affaire des islamistes radicaux de Forsane Alizza. Une récidive, puisque le syndicat avait déjà condamné le candidat-président suite à l’affaire Merah.

Dans son communiqué publié ce mardi, le Syndicat de la magistrature apporte son "soutien" au juge lyonnais en poste au Tribunal de grande instance que certains auraient projeté d'enlever. Le syndicat déplore d’ailleurs que des médias aient "cru utile de révéler le nom de ce magistrat faisant l'objet d'une protection policière depuis plusieurs jours". Le syndicat "exprime son total soutien à Albert Lévy, camarade engagé depuis toujours dans le combat syndical (...) qui n'a déjà été que trop éprouvé, dans le passé, par des attaques antisémites en provenance de l'extrême droite".

Puis le syndicat se réfère au chef de l'Etat Nicolas Sarkozy, en affirmant: "A l'instar d'Albert Lévy, le SM n'acceptera aucune récupération politique (...) de cette affaire déjà instrumentalisée par le président-candidat". "Dès vendredi, s'érigeant en autorité judiciaire, il annonçait en effet les résultats des perquisitions sur les ondes, pour s'en attribuer le bénéfice, et promettait de nouvelles opérations sans avoir la moindre légitimité pour ce faire". Le syndicat "s'étonne que de nouvelles fuites soient intervenues aujourd'hui (mardi), au risque de compromettre l'instruction conduite par deux magistrats parisiens et la sécurité" de M. Lévy.

Treize islamistes radicaux interpellés vendredi sont présentés mardi aux juges antiterroristes, en vue d'une mise en examen, notamment pour détention d'armes. Certains d'entre eux sont soupçonnés d'avoir évoqué en septembre 2011 un "projet" d'enlèvement du magistrat lyonnais Albert Lévy, selon des sources proches de l'enquête. Le procureur de Paris François Molins avait auparavant déclaré devant la presse qu'un projet d'enlèvement d'un magistrat lyonnais, un "juge d'instruction", avait "été évoqué au cours d'une réunion à Lyon en septembre 2011". Mais le procureur avait relativisé le degré d'avancement de ce projet, évoquant un "projet intellectuel" sans "tentative de commencement d'exécution".

Le Syndicat de la magistrature s’était déjà indigné de l’instrumentalisation politique de l’affaire Merah par le candidat-président. Le syndicat avait surtout pris position contre les mesures annoncées : « Va t’on aller jusqu’à créer une liste de pays par nature terroristes ? Va t’on organiser une surveillance générale de tous les internautes ? Aura-t-on une définition officielle de ce qu’est « une idéologie extrémiste » ? » Avant de conclure : « Dans cette épreuve, la République et ses citoyens méritent mieux que des lois dictées par une émotion - certes légitime - au service d’une communication électoraliste. »

21/12/2011

Transport aérien : « nouvelle attaque contre le droit de grève »

sureté,syndicat,répression,cgt,pcf,front de gaucheAlors que le conflit entre les salariés des entreprises de sécurité aérienne et leurs directions prend de l’ampleur, le gouvernement ne trouve rien de plus urgent que de s’en prendre à un droit constitutionnel : le droit grève. C'est tout bonnement une remise en cause de ce droit dans les transports aériens que l'assemblée veut voter le 24 janvier prochain.

Voilà près d'un mois que les salariés en lutte ont annoncé une mobilisation pour satisfaire leurs légitimes revendications. Les grévistes réclament l'ouverture de négociations par branche pour obtenir la revalorisation des salaires, l'amélioration des conditions de travail et la reconnaissance de la pénibilité de leur travail.

Le patronat et le gouvernement, culottés, accusent maintenant les grévistes de prendre les voyageurs en otage alors que ce conflit, si la direction avait dénié entamer les négociations, aurait pu être évité.

Les salariés, attachés à leurs conditions de travail, ne sont pas coupables. Les directions des entreprises concernées, soutenues par le gouvernement sont les véritables responsables de cette situation.

pcf.pngLe PCF et ses partenaires du Front de gauche exigent le respect du droit de grève et appellent les directions des entreprises concernées à négocier sur les revendications des salariés.

Parti communiste français

16/10/2011

EDUCATION - ELECTIONS : CHRONIQUE D’UN DESASTRE ANNONCE

prof.gifAmis, camarades, collègues après une rentrée désastreuse se profile pour nous des élections professionnelles désastreuses.

L’Humanité nous avait déjà alerté à ce sujet sur les nouvelles modalités prévues pour le vote des élections professionnelles dans l’éducation nationale. Mais l’Humanité, c’est bien connu exagère toujours, la preuve c’est que cet article n’a pas été repris dans le reste de la presse libre (des puissances syndicales).

L’élection par ordinateur et internet, c’est moderne et facile.

annuaireint.jpgPremière étape donc pour ceux qui pensent être les futurs votants de ce scrutin, récupérer avant le 13, pour une élection prévue jusqu’au 20 (saisissez la nuance !) un identifiant. Pour cela il faut disposer de son NUMEN (c’est quoi ?), et du 6 ème et 7 ème numéro de sécurité sociale en partant de gauche à droite de sa feuille de paye. Et là première erreur, il s’agit du numéro du département de votre naissance, et non l’année de votre naissance. Au bout d’une heure à pianoter sur votre ordinateur vous arrivez à récupérer enfin votre numéro d’identifiant, votre SESAME croyez vous, pauvres naïfs, pour la deuxième étape.

Notez déjà les premiers éliminés, les maillons faibles, ceux qui ont confondu les dates, n’ont rien compris à la notice ou n’ont pas d’ordinateurs, des ignares.

A partir du 13 vous pouvez voter, doux rêveurs.

doigt.gifVous ne pouvez même pas accéder aux données de l’adresse internet indiquée. Au bout de deux heures, vous comprenez que c’est votre anti-virus qui en est responsable. Après l’avoir neutralisé, vous accéder enfin à la page, et même au tableau où votre mot de passe est demandé. C’est Austerlitz, enfin le croyez-vous. Vous cliquez et vous accédez au bouton, JE VOTE, et là c’est la Bérézina, un message s’affiche : « Il s’est produit une erreur, erreur cryptographique »

La colère commence à monter en vous, le volcan commence à fumer. Mais qui a mis en place une telle organisation. Vous cherchez sur internet, et vous trouvez d’où vient le crime. « Bon sang de bon sang, mais c’est de bien sûr »

Vous apprenez que l'organisation de ce scrutin, payée généreusement 4.5 millions deuros (!) a été confiée à la société ATOS, dont le PDG nest autre que Thierry Breton ancien PDG de France Télécom, ancien ministre de lÉconomie de 2005 à 2007 de M. Nicolas Sarkozy et de Fillon. C’est la République des copains et des coquins, c’est évident.

Allez-vous abandonner si près du but, pensez vous, bien sûr que non. Vous vous rendez chez votre gendre, qui à un ordinateur et est spécialiste de l’informatique. Vous allez sur l’adresse internet, vous cliquez sur VOTER, et là c’est Waterloo, l’ordinateur se plante complètement. Vous partez découragé. Une heure après votre gendre vous appelle et vous indique qu’il a enfin accédé à cette page et qu’elle indique « téléchargement de l’applet ». Je lui dis, comme indiqué d’attendre quelques minutes. Plusieurs heures après ce message est toujours affiché…

La glace fond sous nos pieds, le Danube est à un horizon infini, c’est la retraite de Russie. Restera-t-il quelques votants pour cette élection où l’incompétence de ceux qui sont au pouvoir est manifeste. Peut être finalement l’objectif simplement qu’ils se fixent est de décrédibiliser les Syndicats avec des élections à la participation calamiteuse. Ils sont capables de tout !

Lagigne, enseignant (ce n’est pas mon vrai nom de peur d’être embastillé, ils sont vraiment capables de tout !)

11:00 Publié dans ACTUALITES, Point de vue | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : élection, éducation nationale, syndicat | |  Imprimer |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook | | Pin it!