23/05/2013
Arrestation des syndicalistes de Roanne : Pierre Laurent écrit à Manuel Valls
Ce matin, 2 syndicalistes de la Loire ont été arrêtés à leur domicile car ils ont refusé, avec leurs collègues des « 5 de Roanne » de se soumettre à un test ADN.
Parce que la criminalisation de l'action syndicale est insupportable, Pierre Laurent, secrétaire national du PCF, a écrit ce matin au Ministre de l'Interieur, Manuel Valls pour demander leur libération et pour exiger une modification des critères d'inscription au fichier national des empreintes génétiques.
Le courrier de Pierre Laurent à Manuel Valls :
« Monsieur le Ministre,
Ce matin tôt, deux syndicalistes de la Loire ont été arrêtés à leur domicile. Il s'agit de Christelle Coste et de Jean Paul Barnaud, qui avec trois de leurs collègues, « les 5 de Roanne » ont refusé de se soumettre à un prélèvement ADN.
Hier, ils ont exprimé leur désaccord face à ce qu'ils considèrent à juste titre comme un acte de criminalisation de l'action syndicale. Leur arrestation est purement scandaleuse. Elle est un nouveau mauvais signal envoyé au monde syndical après le rejet de la loi d'amnistie sociale.
Les deux syndicalistes ne sont pas des criminels. Ils ont agi dans le cadre de leur mandat syndical pour défendre leurs droits. Aujourd'hui, ils sont contraints à être fichés à vie à l'égal des criminels ou violeurs, c'est inacceptable. Cette nouvelle procédure s'apparente à un véritable acharnement.
Je vous demande donc d'intervenir afin qu'ils puissent être libérés dans les plus brefs délais et de faire adopter une modification des critères d'inscription au fichier national des empreintes génétiques, afin que cette situation ne se répète pas. »
17:17 Publié dans ACTUALITES, ELUS COMMUNISTES, Front de Gauche, PARTI COMMUNISTE FRANCAIS, Société | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : pcf, cinq de roanne, amnistie syndicale | |
Imprimer |
del.icio.us |
|
Digg |
Facebook | |
22/05/2013
CELINE CLEMENT : CANDIDATE FRONT DE GAUCHE
Engagée au Parti communiste depuis près de 20 ans, Céline Clément participe à la campagne pour la législative de la 1ère circonscription sous l'étiquette Front de Gauche. Elle souhaite agir pour une meilleure répartition des richesses et lutte contre la financiarisation de l'économie.
Céline Clément, 39 ans, professeure en Psychologie et Sciences de l’Éducation à l'Université de Strasbourg. Je suis également professeure associée à l'Université du Québec à Montréal. Professionnellement je m'intéresse aux problématiques d'inclusion et de participation sociale des personnes présentant des troubles du développement, dont les troubles du spectre de l'autisme. J'ai vécu à Montréal de 2007 à 2009. J'y ai rencontré mon conjoint et j'ai une petite fille franco-canadienne. Je suis engagée en politique au parti communiste depuis le milieu des années 90. Je fais également partie d'un syndicat intercatégoriel dans l'enseignement supérieur.
Pourquoi voulez-vous être députée des Français établis hors de France ?
Comme l'an passé, j'ai été sollicitée par les organisations du Front de Gauche, en particulier le PCF et le Parti de Gauche (PG) pour cette élection. Je connais les problématiques des Français de l'étranger lorsqu'ils sont à l'étranger (obtenir un visa, chercher un logement, faire face à l'isolement, avoir des soins adaptés, etc), mais aussi à leur retour (visa de mon conjoint, affiliation à la sécurité sociale, etc.). Le soutien du Front de Gauche fait aussi de ma candidature une candidature collective pour répondre à des aspirations collectives.
Sur quelles problématiques faites-vous campagne ?
Les problèmes que rencontrent les Français établis hors de France ont pour une partie une réponse en France et sont liés directement à la politique menée par le gouvernement EELV-PS.
Notre projet est fondé sur une politique qui vise une autre répartition des richesses et une lutte contre la financiarisation de l'économie (il s'agit entre autres de modifier la politique des prélèvements obligatoires en modulant les taxations sur les entreprises en favorisant celles qui investissent pour la production de richesses et non la spéculation).
Nous voulons favoriser l'écosocialisme, car nous ne pouvons pas penser les politiques économiques sans réfléchir à leurs conséquences sur notre environnement et son devenir (d'où notre engagement contre l'obsolescence programmée ou la surexploitation des énergies fossiles et l'exploitation du gaz de schistes).
Nous luttons contre toutes les formes de dominations et de discriminations. En particulier j'aurais souhaité que le projet du mariage pour tous inclue la Procréation Médicalement Assistée pour les couples de lesbiennes, tout en rejetant la Gestation Pour Autrui.
Les discriminations auxquelles font face les populations Roms nous préoccupent aussi particulièrement, tout comme celles liées au genre ou à l'orientation sexuelle.
Ces perspectives se déclinent pour les Français de l'étranger. Ainsi la politique de Révision Générale des Politiques Publiques (RGPP) conduit à un affaiblissement du réseau consulaire par la réduction du nombre de personnels. L'absence d'une vision innovante pour une école émancipatrice conduit à une réforme mal conçue des bourses pour les parents qui souhaitent envoyer leurs enfants dans le réseau de l'AEFE et l'absence de réflexion quant aux apprentissages en français pour les deux tiers des enfants et adolescents qui ne fréquentent pas le réseau de l'AEFE. Sur ce dernier point nous proposons que le CNED puisse se rénover pour répondre aux besoins des élèves grâce aux Technologies de l'Information et de la Communication.
De nombreux chercheurs post-doctorants et de jeunes chercheurs séjournent plus longtemps qu'ils le souhaiteraient en Amérique du Nord. La baisse des moyens du CNRS et des universités conduit depuis plusieurs années à une baisse du recrutement de chercheurs et d'enseignants-chercheurs. Elle n'est que partiellement compensée par une augmentation de personnels précaires. Nous proposons un plan de résorption de la précarité tout en incitant à une politique de coopération internationale du point de vue de la recherche et de l'enseignement.
Entretien réalisé par TV5 Monde
Le site de campagne de Céline Clément
09:39 Publié dans ACTUALITES, Front de Gauche, PARTI COMMUNISTE FRANCAIS | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : céline clément, usa, canada, front de gauche, pcf | |
Imprimer |
del.icio.us |
|
Digg |
Facebook | |
20/05/2013
LIBEREZ MARWAN BARGHOUTI !
Il y a un bon quart de siècle, une magnifique campagne d’information, de sensibilisation et de mobilisation prenait son envol à Paris, à l’initiative des communistes français, pour la libération de Nelson Mandela.
Le plus ancien prisonnier politique du régime d’apartheid n’était alors connu dans notre pays que par une petite minorité d’initiés. A force de populariser son nom, son visage, sa biographie et ses idées, les acteurs et les actrices de plus en plus nombreux de cet impétueux mouvement, associant militants, citoyens de toute condition, élus, artistes de renom, intellectuels, personnalités politiques, ont contribué à en faire une figure familière et attachante pour des centaines de milliers de nos concitoyens.
Dans d’autres pays européens, particulièrement en Grande-Bretagne, d’imposants rassemblements de solidarité -auxquels nombre d’entre nous participions- poussaient dans le même sens. Quiconque a vécu cette expérience ne peut l’oublier: la libération de Mandela -et tout ce qui s’ensuivit- fut aussi,un peu, leur oeuvre.
Impossible de ne pas se remémorer cette épopée lors de la conférence organisée, le week-end dernier, à Ramallah, en Cisjordanie, à l’occasion du 11 ème anniversaire de l’arrestation de Marwan Barghouti.
Intitulée « Liberté et Dignité », elle était destinée à lancer une campagne internationale pour la libération du dirigeant palestinien et de ses 4950 compatriotes (dont 27 parlementaires et 236 mineurs!) toujours détenus dans les prisons israéliennes, certains sans procès depuis plus de six ans. Barghouti est, en effet, devenu la figure emblématique de la résistance du peuple palestinien à l’occupation, comme Mandela l’était de la résistance du peuple sud-africain à l’apartheid.
Signe de l’autorité acquise par Marwan Barghouti jusqu’en Europe: Hubert Védrine, ancien Ministre français des Affaires Etrangères, a adressé un message à la conférence de Ramallah pour souligner la « légitimité incontestable » du député palestinien , dont il « ne doute pas de la capacité à apporter une contribution importante aux efforts de paix » dans la région. Même tonalité dans le message du président du Parlement européen, comme dans celui de l’ex-Président américain Jimmy Carter.
C’est dire l’écho que pourrait susciter une mobilisation citoyenne de l’envergure de celle à laquelle Nelson Mandela avait estimé devoir, en partie, sa libération! Avec l’effet « réseaux sociaux », inconnu à l’époque, en plus…
Ce constat partagé nous crée en quelque sorte un devoir d’initiative. Certes, nous sommes loin de partir de zéro: par exemple, 30 villes françaises ont fait du membre du parlement palestinien ( qui y présidait le groupe d’amitié avec la France) , enlevé chez lui par l’armée d’occupation et condamné à perpétuité par un tribunal militaire israélien , un citoyen d’honneur et ont mis son portrait sur le fronton de leur mairie ! Mais la situation exige et permet de dépasser les acquis.
« Libérez Barghouti! » devrait devenir un mot d’ordre fédérateur, portant très au-delà des amis sensibilisés de longue date au problème palestinien en général et à celui des prisonniers politiques en particulier. Il faudrait qu’il puisse faire à nouveau converger dans l’action les progressistes, les républicains, les révoltés contre l’inacceptable , en faveur de la libération d’une personne de chair et de sang qui incarne une cause juste .
Il s’agit ni plus ni moins que de faire respecter le droit international (187 décisions de l’ONU depuis 1967 !) et des droits humains fondamentaux .
Qui plus est, à un moment peut-être décisif pour faire émerger une nouvelle donne dans une situation aujourd’hui dramatiquement bloquée.
Francis Wurtz, député honoraire du parlement européen
18:49 Publié dans ACTUALITES, ELUS COMMUNISTES, Front de Gauche, Idées, International, PARTI COMMUNISTE FRANCAIS | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : marwan barghouti, prisonnier, politique, palestine, pcf, wurtz | |
Imprimer |
del.icio.us |
|
Digg |
Facebook | |
16/05/2013
Récession : "ce déni de réalité doit s'arrêter"
Les indices économiques publiés par l'INSEE sont terribles. La récession est confirmée (-0,2% du PIB au premier trimestre 2013).
Le pouvoir d'achat des ménages dévisse : -0,9% en 2012, c'est une première depuis près de 30 ans.
Quant à la consommation des ménages, elle suit la même tendance (-0,4) .
Derrière ces chiffres, c'est un pays qui souffre, qui va de plus en plus mal.
Face une situation aussi dégradée et douloureuse, le président de la République se présente devant les commissaires européens pour les rassurer sur les engagements de la France à suivre à la lettre les recommandations de Bruxelles pour toujours plus d'austérité et de rigueur.
A Paris, Pierre Moscovici explique tranquillement que l'entrée de la France en récession n'est "pas une surprise" et qu'elle est "largement due à l'environnement de la zone euro". Bref, on s'enfonce mais c'était prévu.
Frisant le ridicule, le ministre de l'économie maintient "à la fois" sa prévision de croissance de +0,1% en 2013 et son objectif d'inverser la courbe du chômage d'ici la fin de l'année. Ce déni de réalité doit s'arrêter !
Preuve est faite que cette politique de rigueur conduit le pays à la catastrophe. Toutes les économies de la zone euro qui font le choix de subir les règles stupides et récessives de la commission européenne obtiennent ce même résultat : la ruine de leur économie.
Le réel, c'est quand on se cogne disait Lacan. Là, c'est le pays qui va dans le mur. Plus que jamais, il est urgent de changer de cap et de politique. Urgent d'engager le changement.
Olivier Dartigolles pour le Parti communiste français
08:49 Publié dans ACTUALITES, Front de Gauche, PARTI COMMUNISTE FRANCAIS, Programme Front de Gauche, Société | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : austérité, récession, pcf, dartigolles | |
Imprimer |
del.icio.us |
|
Digg |
Facebook | |
13/05/2013
"Il est grand temps de rallumer les étoiles" : L'Humanifeste du PCF édité
Après L’Humain d’abord, le programme du Front de gauche, L’Humanifeste, texte fondateur adopté par le Parti communiste français lors de son 36e congrès en février 2013, dessine une posture de combat : « Il est grand temps de rallumer les étoiles ».
Analysant la crise de civilisation provoquée par le capitalisme ces dernières années, ce texte ouvre des pistes pour un monde radicalement refondé. Pour le faire advenir ? La révolution citoyenne. Une révolution citoyenne qui s’incarne notamment dans la dynamique du Front de gauche, dont les communistes proposent d’écrire la saison 2.
Face au choix politique de l’austérité, ils entendent lutter pour un changement de cap et le gagner.
Ainsi s’écrit le « communisme de nouvelle génération » prôné par le secrétaire national du PCF, Pierre Laurent. Un communisme forcément démocratique, internationaliste, écologiste... et plus que jamais révolutionnaire. Un document accessible et utile pour toutes celles et tous ceux qui veulent comprendre, réfléchir, agir aujourd’hui.
Sortie nationale lundi 13 mai
Broché, 2 euros
80 pages
VOUS POUVEZ LE COMMANDER DIRECTEMENT EN CLIQUANT SUR CETTE LIGNE
08:55 Publié dans ACTUALITES, PARTI COMMUNISTE FRANCAIS, Point de vue, Société | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : pcf, 36e congrès du pcf, humanifeste | |
Imprimer |
del.icio.us |
|
Digg |
Facebook | |
26/04/2013
BRASILIA : UN DEMI-SIECLE DE LA CAPITALE DU BRESIL
L’exposition «Brasilia, un demi-siècle de la capitale du Brésil » rend hommage à l’architecte Oscar Niemeyer. Conçue voici trois ans par la structure brésilienne Artelude Cultural dans le cadre des commémorations du cinquantenaire de la capitale, l’exposition a déjà connu un grand succès en Espagne, au Portugal, en Argentine, au Chili, au Brésil et en Inde. Elle prend aujourd’hui ses quartiers à Paris du 27 avril au 15 juin, au siège du Parti Communiste Français, construit par l’architecte entre 1966 et 1971 et classé monument historique en 2007.
Il aura fallu quelques siècles entre l'émergence de l'idée de construction de cette nouvelle ville à sa réalisation. Déjà à l'époque coloniale, la cour portugaise discutait d’un transfert de la capitale, alors situé à Rio de Janeiro. En 1822, date de l'indépendance du Brésil, c’est le prince héritier Dom Pedro 1er qui suggère son nom. Il faudra attendre 1891 pour que la Constitution républicaine nomme une commission, commandée par l'ingénieur et astronome belge Luiz Cruls. La « Mission Cruls », formée d'experts en topographie, ressources naturelles, climat, géologie, faune, flore, etc…... termine ses travaux en 1893.
En 1922, la première pierre de la nouvelle capitale fédérale sur le Planalto Central de Goiàs est posée mais la dictature au pouvoir entre 1930 et 1946 reporte le projet. C’est Juscelino Kubitschek qui lors de sa campagne pour la présidence de la république en avril 1955, fera la promesse de construire Brasilia. Elu l'année suivante, les travaux commenceront en septembre et la ville sera inaugurée le 21 avril 1960.
Oscar Niemeyer, rencontré par Kubitschek lorsqu'il était gouverneur de l'état de Minas Gerais, s'engage à exécuter pour la nouvelle ville, des ouvrages originaux et lui propose la réalisation d'un concours pour le choix de la réalisation urbanistique. Il sera remporté par l'architecte et urbaniste Lucio Costa, disciple de Le Corbusier et bientôt rejoint par le paysagiste Burle Marx.
Le concept de Lucio Costa cherchait à "intégrer le triangle équilatère, lié à l'architecture depuis la plus lointaine antiquité, avec la technique orientale millénaire", en passant par des modèles urbains comme ceux de Piccadily Circus, de Time Square, des champs Elysées, des petites rues de Venise, " le tout associé à la technique paysagiste des parcs et des jardins".
Brasilia représente l'’un des événements architecturaux majeurs du XX° siècle. En 1987, elle sera inscrite au Patrimoine mondial de l'’humanité.
Article publié par les Echos
11:39 Publié dans ACTUALITES, Culture, PARTI COMMUNISTE FRANCAIS | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : brasilia, exposition, pcf, niemeyer, paris | |
Imprimer |
del.icio.us |
|
Digg |
Facebook | |
23/04/2013
France : Le PCF "inquiet" d’une "implantation de longue durée" des forces françaises au Mali
Le Parti communiste français (PCF) s’est dit lundi "inquiet" d’une "implantation de longue durée" des forces militaires françaises au Mali, pays où celles-ci sont engagées depuis le 11 janvier contre les groupes terroristes qui menaçaient l’intégrité territoriale du pays. "Aujourd'hui le projet de force internationale de + sécurisation + du Mali, sous mandat de l'ONU consisterait à transformer la Misma (Mission internationale de soutien au Mali) en Minusma (Mission intégrée de stabilisation multidimensionnelles des Nations-Unies au Mali)", a indiqué le PCF, relevant que la France, outre la proposition de fournir 150 hommes d'Etat-major à cette force multilatérale, implanterait une "base militaire en vertu d'un accord bilatéral particulier, avec le Mali, dont les termes nous sont encore inconnus".
Pour le PCF, ceci présage d'une "implantation de longue durée qui (…) inquiète". "Le risque d'enlisement et de répercussions régionales (Mauritanie, Burkina Faso, Tchad, Togo...) est avéré", prévient-il, estimant que la crise politique malienne "ne pouvait en aucun cas être résolue par la seule action militaire".
"Dès le début de l'engagement militaire français au Mali, le PCF a fait valoir, tout en partageant l'inquiétude des maliens devant l'avancée des djihadistes, que l'action de la France soulevait de nombreux risques et d'interrogations", a rappelé le parti sur son site officiel.
Il estime également que "le silence et l'inaction de la France vis-à-vis des Etats connus pour fournir armes et appui aux groupes armés djihadistes qu'elle combat sur le terrain, mais qui par ailleurs, comptent parmi ses partenaires commerciaux, restent incompréhensibles".
La réaction politique du PCF intervient au moment même où le Parlement français doit se prononcer lundi ou mardi sur la prolongation ou pas de l’opération militaire française au Mali.
Paris avait annoncé le 9 avril dernier un début jugé timide de retrait de ses troupes au Mali, sans préciser de calendrier pour la suite de l’opération Serval, engagée le 11 janvier dernier. Selon l’Etat-major des armées, plus de 500 soldats français ont déjà quitté le Mali depuis cette date, tandis que 4000 autres y sont toujours déployés.
L’objectif du président François Hollande est de ramener le contingent français au Mali à 2000 hommes en juillet et à un millier fin 2013.
10:32 Publié dans ACTUALITES, International, PARTI COMMUNISTE FRANCAIS | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : mali, pcf, guerre | |
Imprimer |
del.icio.us |
|
Digg |
Facebook | |