08/06/2013
Turquie : les masques tombent
"Ces derniers jours les militants turcs ont vu s’abattre sur eux une répression sauvage. Ces images ont choqué le monde entier, à juste titre.
Le projet de destruction du parc Gezi, l’un des rares espaces verts du centre d’Istanbul pour construire un centre commercial, a mené à des rassemblements sur la place Taksim, hautement symbolique pour les mouvements sociaux turcs.
Au-delà des revendications du Parc Gezi à Taksim, ce sont les dérives autoritaires du régime, en augmentation constante depuis 2009, qui éclatent aujourd’hui. Dans les slogans scandés place Taksim, la démission du premier ministre est demandée.
Face à ces revendications, le gouvernement a répondu par la brutalité policière.
Au moins deux personnes ont trouvé la mort lors des manifestations et de nombreuses personnes ont été blessées.
L’incapacité des autorités à faire face à des revendications démocratiques et sociales, révèlent aujourd’hui au grand jour le vrai visage de l’AKP qui n’est pas, et n’a jamais été, un modèle comme on a pu l’entendre, y compris sur les bancs du Parlement européen.
La boite de pandore est ouverte. Espérons que l’ensemble des violations des droits de l’Homme commises en Turquie seront sur la place publique.
Espérons également que les grands médias seront plus vigilants face au cynisme d’Erdogan et son double discours. Rappelons-nous par exemple qu’en novembre 2012, Erdogan n’avait pas hésité à nier devant la presse européenne l’existence d’une grève de la faim de plusieurs de centaines de prisonniers politiques alors que son ministre de la justice en parlait ouvertement à Ankara dans le même temps. J’étais sur place, je peux en témoigner.
Hier et aujourd’hui, comme l’ensemble des membres de la GUE-NGL, je suis solidaire des démocrates turcs qui luttent contre un gouvernement autoritaire dont les dérives ont été trop longtemps occultées par l’Union européenne et surtout par ses États membres.
Il ne suffit pas comme en janvier 2011, d’appeler à un "usage modéré de la force". Il faut agir pour que les atteintes aux droits de l’Homme cessent dans ces pays.
C’est l’enjeu clé pour répondre à la demande d’adhésion de la Turquie à l’Union européenne."
Communiqué de Marie-Christine Vergiat - députée européenne Front de gauche - Bruxelles 5 juin 2013
20:17 Publié dans ACTUALITES, Chronique d'une Eurodéputé, Front de Gauche, International | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : turquie, front de gauche, vergiat, parlement européen | |
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01/06/2013
TURQUIE : VIOLENTE REPRESSION CONTRE LES MANIFESTANTS A ISTANBUL
De violents affrontements viennent d’opposer les forces de l'ordre à des manifestants dans le centre d'Istanbul, faisant des dizaines de blessés, à la suite d'un rassemblement dirigé contre un projet d'urbanisation.
Les incidents ont débuté dès l'aube, lorsque des policiers ont délogé à grand renfort de canons à eaux et de gaz lacrymogènes quelques centaines de personnes qui campaient dans un parc de la place Taksim, au coeur de la mégapole turque, pour empêcher le déracinement de 600 arbres dans le cadre d'un projet d'aménagement urbain.
Violente, l'intervention a fait de nombreux blessés, victimes de fractures ou de détresse respiratoire, certains gisant inconscients de longues minutes avant d'être secourus. Deux personnes, dont un journaliste, ont été sérieusement blessées à la tête, a constaté un photographe de l'AFP.
Amnesty International a critiqué "le recours excessif à la force contre des manifestants pacifistes", pendant que Reporters sans frontières (RSF) dénonçait les "attaques ciblées" des forces de l'ordre contre des journalistes.
A l'origine de la contestation
A l'origine de la contestation, le réaménagement de la place Taksim prévoit la suppression du parc Gezi au profit d'un centre culturel, d'un centre commercial et de la reconstitution d'une caserne militaire de l'époque ottomane.
Le projet de la municipalité, tenue par le parti islamo-conservateur au pouvoir, est dénoncé par de nombreux urbanistes, architectes et écologistes. Ils ont remporté une première victoire avec la décision d'un tribunal administratif d'Istanbul de suspendre le projet de reconstruction de la caserne.
LA REACTION D’ELISE YAGMUR, CONSEILLERE MUNICIPALE COMMUNISTE D’EVRY
Elise Yagmur, conseillère municipale communiste d’Evry, déléguée à la lutte contre les discriminations, d’origine Turque a réagi avec grande colère contre ces faits : « …La situation est grave car des milliers de personnes se font gazer, emprisonner … Car au fond cette histoire de parc à Istanbul à l'image de tous les lieux investi par le business dans le monde entier, est aussi celle du capitalisme qui ne respecte plus rien ni même l'environnement, ni des arbres centenaires etc... »
Pour signer la pétition de soutien cliquez sur cette ligne....
A Paris manifestation de solidarité aux manifestants d'Istanbul
10:23 Publié dans ACTUALITES, ELUS COMMUNISTES, International, SECTION DU PCF D'EVRY | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : turquie, istambul, répression, manifestation, elise yagmur | |
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20/05/2013
LIBEREZ MARWAN BARGHOUTI !
Il y a un bon quart de siècle, une magnifique campagne d’information, de sensibilisation et de mobilisation prenait son envol à Paris, à l’initiative des communistes français, pour la libération de Nelson Mandela.
Le plus ancien prisonnier politique du régime d’apartheid n’était alors connu dans notre pays que par une petite minorité d’initiés. A force de populariser son nom, son visage, sa biographie et ses idées, les acteurs et les actrices de plus en plus nombreux de cet impétueux mouvement, associant militants, citoyens de toute condition, élus, artistes de renom, intellectuels, personnalités politiques, ont contribué à en faire une figure familière et attachante pour des centaines de milliers de nos concitoyens.
Dans d’autres pays européens, particulièrement en Grande-Bretagne, d’imposants rassemblements de solidarité -auxquels nombre d’entre nous participions- poussaient dans le même sens. Quiconque a vécu cette expérience ne peut l’oublier: la libération de Mandela -et tout ce qui s’ensuivit- fut aussi,un peu, leur oeuvre.
Impossible de ne pas se remémorer cette épopée lors de la conférence organisée, le week-end dernier, à Ramallah, en Cisjordanie, à l’occasion du 11 ème anniversaire de l’arrestation de Marwan Barghouti.
Intitulée « Liberté et Dignité », elle était destinée à lancer une campagne internationale pour la libération du dirigeant palestinien et de ses 4950 compatriotes (dont 27 parlementaires et 236 mineurs!) toujours détenus dans les prisons israéliennes, certains sans procès depuis plus de six ans. Barghouti est, en effet, devenu la figure emblématique de la résistance du peuple palestinien à l’occupation, comme Mandela l’était de la résistance du peuple sud-africain à l’apartheid.
Signe de l’autorité acquise par Marwan Barghouti jusqu’en Europe: Hubert Védrine, ancien Ministre français des Affaires Etrangères, a adressé un message à la conférence de Ramallah pour souligner la « légitimité incontestable » du député palestinien , dont il « ne doute pas de la capacité à apporter une contribution importante aux efforts de paix » dans la région. Même tonalité dans le message du président du Parlement européen, comme dans celui de l’ex-Président américain Jimmy Carter.
C’est dire l’écho que pourrait susciter une mobilisation citoyenne de l’envergure de celle à laquelle Nelson Mandela avait estimé devoir, en partie, sa libération! Avec l’effet « réseaux sociaux », inconnu à l’époque, en plus…
Ce constat partagé nous crée en quelque sorte un devoir d’initiative. Certes, nous sommes loin de partir de zéro: par exemple, 30 villes françaises ont fait du membre du parlement palestinien ( qui y présidait le groupe d’amitié avec la France) , enlevé chez lui par l’armée d’occupation et condamné à perpétuité par un tribunal militaire israélien , un citoyen d’honneur et ont mis son portrait sur le fronton de leur mairie ! Mais la situation exige et permet de dépasser les acquis.
« Libérez Barghouti! » devrait devenir un mot d’ordre fédérateur, portant très au-delà des amis sensibilisés de longue date au problème palestinien en général et à celui des prisonniers politiques en particulier. Il faudrait qu’il puisse faire à nouveau converger dans l’action les progressistes, les républicains, les révoltés contre l’inacceptable , en faveur de la libération d’une personne de chair et de sang qui incarne une cause juste .
Il s’agit ni plus ni moins que de faire respecter le droit international (187 décisions de l’ONU depuis 1967 !) et des droits humains fondamentaux .
Qui plus est, à un moment peut-être décisif pour faire émerger une nouvelle donne dans une situation aujourd’hui dramatiquement bloquée.
Francis Wurtz, député honoraire du parlement européen
18:49 Publié dans ACTUALITES, ELUS COMMUNISTES, Front de Gauche, Idées, International, PARTI COMMUNISTE FRANCAIS | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : marwan barghouti, prisonnier, politique, palestine, pcf, wurtz | |
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18/05/2013
Pierre Laurent a achevé sa visite au Brésil, aux côtés de Dilma Rousseff et Lula
La délégation du PCF conduite par Pierre Laurent, sénateur, secrétaire national du PCF et président du PGE, achève sa visite de 4 jours au Brésil ponctuée par 3 étapes (Sao Paulo, Porto Alegre et Brasilia) et une série de rencontres avec les plus hautes instances du pays, la présidence du PT, le secrétariat général du PCdoB, la mairie de Sao Paulo et le gouverneur de l'État de Rio Grande do Sul.
A Porto Alegre, Pierre Laurent a participé, mardi 13 mai, au meeting sur les enjeux internationaux et la politique étrangère du Brésil, organisé par le PT à l'occasion du 10e anniversaire de l'arrivée au pouvoir du PT aux côtés de la présidente Dilma Rousseff, de l'ancien président Luiz Iniacio Lula da Silva, de plusieurs ministres, députés et sénateurs, de Tarso Genro, gouverneur de l'État de Rio Grande do Sul, de Rui Falcao, président du PT, et de représentants des partis de la coalition gouvernementale dirigée par madame Rousseff (PCdoB, PMDB, PSB).
L'ancien président est revenu dans son allocution sur les progrès réalisés dans le pays en 10 ans marqués par des avancées sociales et de développement économique permettant aujourd'hui de mieux préserver le Brésil des conséquences de la crise mondiale. « Sans le PT, le Brésil ne serait pas le même aujourd'hui » a-t-il résumé en rendant hommage à l'action poursuivie maintenant par la présidente Rousseff pour consolider dans un même mouvement le marché intérieur et développer le commerce extérieur du Brésil dans le cadre de relations de coopérations et d'échanges respectueuses et mutuellement avantageuses avec les pays du Mercosur, les États de l'UNASUR et de la CELAC, avec les BRICS, et avec le continent africain.
Depuis son accession au pouvoir, le PT a permis au Brésil de résister aux pressions du FMI, d'améliorer la redistribution des richesses par une politique salariale forte, d'engager une politique de l'emploi et une politique sociale permettant de sortir chaque année un million de Brésiliens de la pauvreté. Plaidant pour des dynamiques de coopérations multilatérales, la chef de l'État s'est félicitée de l'élection d'un Brésilien à la tête de l'OMC dont le Brésil veut contribuer à faire évoluer le rôle, présidence qui vient s'ajouter à celle également brésilienne de la FAO.
Communiqué du Parti communiste français, Brasilia, le 16 mai 2013.
14:38 Publié dans ACTUALITES, International, PARTI COMMUNISTE FRANCAIS | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : bésil, brasilia, pierre laurent, dima, lula | |
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09/05/2013
Pierre Laurent Secrétaire National du PCF en Amérique Latine
Pierre Laurent conduit du 6 au 20 mai, une délégation du PCF à Cuba, au Venezuela, au Brésil et en Uruguay dont les peuples ont frayé, chacun selon un processus singulier, leur chemin d’émancipation et de souveraineté. Pierre Laurent, en Amérique latine, portera une autre voix de la France : la volonté de solidarités nouvelles entre nos peuples pour, tous, « vivre mieux ».
La « philosophie du "vivre mieux" traverse toutes les sociétés sud-américaines. Nous avons essayé toutes les recettes du néolibéralisme, et elles ont toutes échoué. Nous avons alors développé nos propres solutions, et j’espère que l’Europe n’aura pas à subir toutes ces erreurs pour s’en rendre compte ».
C’est en ces termes que Jean-Paul Guevara, ambassadeur de Bolivie en France, synthétise, dans un entretien à l’Humanité-dimanche, la remarquable créativité des peuples latino-américains qui ont repris leur destin en mains.
Les États-Unis ont beau faire, le temps est révolu où ils faisaient et défaisaient à l’envi les gouvernants, imposaient les dictatures les plus sanglantes du XXe siècle et les régimes des plus inégalitaires qui soient.
Ce que les mots du diplomate disent aussi, avec une modestie et une franchise qui l’honorent, c’est que l’Europe ferait bien de s’inspirer de ces expériences historiques et politiques qui se gardent, elles, de prétendre à tout « universalisme » mais qui partagent l’objectif commun de renforcer leur solidarité régionale au service du développement de leur pays et du continent.
Aucun processus n’a pour autant été linéaire, chaque révolution s’est construite selon ses propres modalités, dans la lutte et la longue durée, impliquant mouvement populaire et social et des stratégies de rassemblement et d’union large pour affronter les forces réactionnaires qui combattent toute politique de conquêtes démocratiques et sociales.
Le quai d’Orsay affiche, vis-à-vis de l’Amérique du Sud, une volonté nouvelle, a contrario de l’ère Sarkozy ; mais c’est le Pérou, Panama et la Colombie que le ministre des Affaires étrangères a choisis pour son premier déplacement officiel — trois pays qui se distinguent de leurs voisins en étant dirigés par des forces de droite dure.
C’est à Bogota que Laurent Fabius a évoqué avec lyrisme les « liens ancrés dans l’histoire, nourris de valeurs partagées et d’aspirations communes » de la France et de l’Amérique latine. Si ces liens sont réels, il n’en demeure pas moins qu’aujourd’hui elle accorde bien plus de considération aux États engagés dans des accords de libre-échange avec l’Union européenne qu’aux nations émergentes progressistes qui contestent un ordre international au service du capitalisme financier mondialisé.
De vieux réflexes reprennent alors vite le dessus dans certains cercles dirigeants taxant d’arrogance ceux qui critiquent la politique française à l’étranger. Or dans ce domaine, dans les mots comme dans les actes, le gouvernement et le président socialistes ont choisi d’assumer la continuité — comme si notre politique étrangère devait faire l’objet d’un consensus avec la droite, en mettant au rencart toute approche et perspective internationalistes.
Pierre Laurent, en Amérique latine, portera une autre voix de la France : la volonté de solidarités nouvelles entre nos peuples pour, tous, « vivre mieux ».
Déclaration de Lydia Samarbakhsh responsable du département International du Parti Communiste Français sur la visite d’une délégation conduite par son secrétaire national Pierre Laurent à Cuba, au Venezuela, au Brésil et en Uruguay, du 6 au 20 mai.
19:31 Publié dans ACTUALITES, ACTUes-Vidéos, ELUS COMMUNISTES, Front de Gauche, International, PARTI COMMUNISTE FRANCAIS, Voyage | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : pierre laurent, amérique latine, voyage, cuba, brésil, vénézuela, uruguay, fabius | |
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23/04/2013
France : Le PCF "inquiet" d’une "implantation de longue durée" des forces françaises au Mali
Le Parti communiste français (PCF) s’est dit lundi "inquiet" d’une "implantation de longue durée" des forces militaires françaises au Mali, pays où celles-ci sont engagées depuis le 11 janvier contre les groupes terroristes qui menaçaient l’intégrité territoriale du pays. "Aujourd'hui le projet de force internationale de + sécurisation + du Mali, sous mandat de l'ONU consisterait à transformer la Misma (Mission internationale de soutien au Mali) en Minusma (Mission intégrée de stabilisation multidimensionnelles des Nations-Unies au Mali)", a indiqué le PCF, relevant que la France, outre la proposition de fournir 150 hommes d'Etat-major à cette force multilatérale, implanterait une "base militaire en vertu d'un accord bilatéral particulier, avec le Mali, dont les termes nous sont encore inconnus".
Pour le PCF, ceci présage d'une "implantation de longue durée qui (…) inquiète". "Le risque d'enlisement et de répercussions régionales (Mauritanie, Burkina Faso, Tchad, Togo...) est avéré", prévient-il, estimant que la crise politique malienne "ne pouvait en aucun cas être résolue par la seule action militaire".
"Dès le début de l'engagement militaire français au Mali, le PCF a fait valoir, tout en partageant l'inquiétude des maliens devant l'avancée des djihadistes, que l'action de la France soulevait de nombreux risques et d'interrogations", a rappelé le parti sur son site officiel.
Il estime également que "le silence et l'inaction de la France vis-à-vis des Etats connus pour fournir armes et appui aux groupes armés djihadistes qu'elle combat sur le terrain, mais qui par ailleurs, comptent parmi ses partenaires commerciaux, restent incompréhensibles".
La réaction politique du PCF intervient au moment même où le Parlement français doit se prononcer lundi ou mardi sur la prolongation ou pas de l’opération militaire française au Mali.
Paris avait annoncé le 9 avril dernier un début jugé timide de retrait de ses troupes au Mali, sans préciser de calendrier pour la suite de l’opération Serval, engagée le 11 janvier dernier. Selon l’Etat-major des armées, plus de 500 soldats français ont déjà quitté le Mali depuis cette date, tandis que 4000 autres y sont toujours déployés.
L’objectif du président François Hollande est de ramener le contingent français au Mali à 2000 hommes en juillet et à un millier fin 2013.
10:32 Publié dans ACTUALITES, International, PARTI COMMUNISTE FRANCAIS | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : mali, pcf, guerre | |
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15/04/2013
Élection de Maduro : "C'est la victoire d'un peuple" (Pierre Laurent)
Je salue très chaleureusement l'élection de Nicolas Maduro et du Pôle patriotique au Venezuela.
C'est la victoire d'un peuple qui a voulu garantir la poursuite du processus de transformations progressistes initié par Hugo Chavez.
Le candidat de l'opposition, Henrique Capriles, est battu après avoir mené une campagne haineuse, focalisée sur les problèmes d'insécurité, et soutenue par les classes dominantes partisanes du retour aux politiques néolibérales de privatisations et ajustements structurels qui ont, par le passé, causé tant de dégâts et d'injustices.
Le PCF réaffirme toute sa solidarité avec le peuple et les forces progressistes vénézuéliennes. L'élection de Nicolas Maduro sera aussi un atout pour le renforcement de l'union des peuples d'Amérique latine.
Pierre Laurent, secrétaire national du PCF
19:13 Publié dans ACTUALITES, International, PARTI COMMUNISTE FRANCAIS | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : vénézuéla, henrique capriles, nicolas maduro, l'après chavez | |
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