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08/06/2015

Élections en Turquie : Le résultat du HDP rouvre la voie de l'espoir en Turquie (PCF)

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Communiqué du Parti communiste français.

Le climat délétère et le déchaînement de violence orchestrés par le président Erdogan, son parti l'AKP et l'extrême droite, n'auront pas eu raison du puissant mouvement populaire qui s'est exprimé dimanche 7 juin lors des élections législatives turques.

Reccip Erdogan et l'AKP, même s'ils arrivent premiers, essuient un revers cinglant. Le président, désavoué, perd la majorité sur laquelle il comptait pour infliger une révision constitutionnelle lui assurant les peins pouvoirs. Le peuple turc a sanctionné les difficultés économiques croissantes, l'autoritarisme, les interférences dans la vie privée et la disparition de l’État de droit. Les électeurs ont aussi condamné une politique étrangère agressive qui déstabilise la région.

Si le CHP (social-démocrate) et le MHP (extrême droite) stagnent, la gauche turque avec le Parti démocratique des peuples (HDP) fait, après la présidentielle, une nouvelle percée remarquable. Dans le contexte d'une campagne électorale clivante et violente contre le peuple, le HDP a su quant à lui faire converger autour d'un programme social, écologique et féministe les forces progressistes et toutes les minorités.

Le HDP, avec un score national de 13 %, a relevé le défi de passer largement la barre éliminatoire des 10 % prévue pour bloquer toute alternative démocratique aux islamo-conservateurs. Le HDP envoie 80 député-e-s dans cette nouvelle assemblée et devient une force politique désormais incontournable. En France, le HDP arrive en seconde position avec 20 % des voix parmi les électeurs turcs votant au consulat.

Le PCF salue le résultat du HDP, il salue à travers ce résultat le courage, le sang-froid et la détermination dont ont fait montre les militant-e-s et électrices et électeurs du HDP. Malgré les attaques sanglantes, les menaces, les coups fourrés et les pressions, des millions de femmes et d'hommes de tout le pays, par-delà leurs appartenances culturelles, se sont rassemblés sur les candidatures du HDP pour exprimer la voix de la paix, de la justice et de la démocratie contre celle de la violence, de la haine et de l'injustice.

Ce magnifique résultat rouvre la voie de l'espoir en Turquie mais aussi pour tous les peuples en lutte dans sa région et en Europe. Le soutien exprimé à travers ce vote au projet politique porté par les député-e-s du HDP, un projet démocratique, féministe et écologiste, ouvre une perspective progressiste de paix et de solidarité dans un pays dont les dirigeants, Erdogan en tête, ont joué la carte du soutien militaire à Daesh en Syrie contre les populations de Kobané prises en étau entre le régime syrien et les « djihadistes » ; populations qui n'ont eu de soutien en Turquie que des municipalités et population de Diyarbakir, Surç et Mardîn dirigées par des majorités BDP.

Le PCF souhaite associer à cette victoire des forces de la vie et de la liberté, la mémoire des trois responsables kurdes, Sakine Cansiz, Fidan Dogan et Leyla Saylemez, froidement exécutées en plein Paris le 9 janvier 2013 avec l'implication probable des services de renseignements turcs, le MIT.

Le PCF qui participait aux délégations d'observateurs internationaux, ce 7 juin 2015, est heureux d'avoir été, comme il l'est depuis des années, aux côtés du HDP et des forces démocratiques turques et kurdes durant cette journée de vote qui marquera certainement un tournant dans l'histoire de la Turquie.

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15:58 Publié dans ACTUALITES, International, PARTI COMMUNISTE FRANCAIS | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : turquie, erdogan, hdp | |  Imprimer |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook | | Pin it!

06/06/2015

Attentats Turquie : le PCF apporte sa solidarité aux militants et aux familles des victimes

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Nous apprenons avec effroi que plusieurs explosions ont eu lieu au meeting de campagne de S.Demirtas à Diyarbakir faisant 4 morts, 316 blessés, dont 10 grave. Cet attentat arrive après plusieurs autres dans différents locaux du HDP, des assassinats de militants et la perquisition chez S.Demirtas dans une campagne électorale sous haute tension.

Nous tenons à apporter toute notre solidarité à S.Dermitas, aux militants et militantes du HDP et aux familles des victimes.

Nous saluons l'appel au calme et à la responsabilité lancé par S.Dermitas.

Nous demandons à ce que toute la vérité soit faite et que les responsables soient jugés.

Le gouvernement d'Erdogan s'honorerait de condamner ses actes odieux, contraire à toute démocratie.

Les élections de dimanche doivent pouvoir se dérouler en toute démocratie et transparence.

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25/04/2015

SOLEDAD BRAVO : LA REVOLUTION EN CHANSONS !

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Soledad Bravo est née à Logroño, en Espagne le 1er janvier 1943, mais a émigré au Venezuela à 7 ans avec ses parents. Elle est donc une chanteuse vénézuélienne, considérée comme l'une des principales voix d'Amérique latine. Elle a notamment interprété Hasta siempre, chanson mondialement connue de Carlos Puebla, en hommage à Ernesto "Che" Guevara. Elle a également interprété, sur son troisième album, deux chansons de Barbara, Göttingen et Gare du nord.

Elle a commencé sa carrière dans les années 1960 en mettant en musique et en interprétant des poèmes espagnols (Federico García Lorca, Rafael Alberti, Chicho Sánchez Ferlosio) et latinoaméricains (Violeta Parra, Carlos Puebla, ainsi que les Brésiliens Chico Buarque, Tom Jobim, Vinícius de Moraes).

Son répertoire s'étend du folklore au jazz, en passant par la salsa, la musique ranchera et le boléro.Ses disques, une trentaine d'albums, ont été édités dans toute l'Amérique latine et dans presque toute l'Europe, y compris en Turquie.

Elle a enregistré en particulier

  • Cantos Revolucionarios De América Latina (1997)

Sources Wikipédia

Depuis la fin des années 60, la carrière de Soledad Bravo est d'une exceptionnelle richesse. Chanteuse autodidacte devenue à 18 ans une des icônes de la chanson engagée au Venezuela, Soledad Bravo ne s'est pourtant jamais laissé enfermer dans un registre musical, ce qu’elle aurait ressenti comme une entrave insupportable à sa passion des beaux textes.

Enflammée, tendre ou mélancolique, la voix de Soledad Bravo incarne depuis trente ans le vaste répertoire de la chanson populaire latino-américaine. Elle a interprété ou adapté les plus grands auteurs d'expression espagnole du xxe siècle (Garcia Lorca, Rafael Alberti, Violeta Parra, Carlos Puebla, Silvio Rodrígues…) comme ceux du Brésil (Chico Buarque, Tom Jobim, De Moraes) et de France (Barbara). En près de 30 albums, Soledad a tout exploré : la contestation (Hasta siempre de Carlos Puebla en 1968), la frénésie festive de la salsa (l'album Caribe en 1982 avec Willie Colón) et presque tous les folklores du nouveau continent.

Accompagnée d'une simple guitare ou d'un orchestre afro-caribéen, sa voix se confond désormais avec celle du chant latino-américain.

C'est à la fin des années 60, alors qu'elle est étudiante au Venezuela, que la jeune Soledad Bravo découvre simultanément la lutte politique et la chanson.

Depuis, cette Joan Baez sud-américaine n'hésite pas à reprendre (comme dans cette compilation) les grands hymnes cubains, argentins ou chiliens d'une révolution en marche. Une troublante égérie.

19/04/2015

Zeca Afonso : le Portugal de la révolte !

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Cet artiste plein d’humanité et de délicatesse est par essence indéfinissable. Sa voix douce et obstinée s’escrime contre l’injustice et l’exploitation.
Considéré comme un « révolutionnaire », il l’est, dans tous les sens du terme. Pas seulement politique, mais aussi artistique. Il a réussi à établir l’improbable lien mélodique entre la chanson engagée et la poésie.
Parti bien trop tôt, il nous laisse une oeuvre inclassable et une voix jusqu’ici inégalée.

Source : Last.fm

José Manuel Cerqueira Afonso dos Santos, plus connu sous le nom de Zeca Afonso (2 août 1929 - 23 février 1987) était un compositeur de musique militante portugais. Il a écrit, parmi d'autres choses, des chansons critiquant le régime salazariste qu'a connu le Portugal entre 1933 et 1974.

Il vécut une partie de son enfance en Angola et au Mozambique (où son père commença sa carrière de magistrat) sauf les premières quatre années, passées sur sa terre natale, avec sa famille maternelle. Il étudia au lycée et à l'université de Coimbra complétant ses études en Sciences Historico-Philosophiques.

Il commença à chanter dans ses sérénades et des déambulations plus ou moins bohèmes ou académiques vers sa sixième année de lycée (1949). À partir de là, il ne s'est pas arrêté de parcourir le pays, chantant et se mêlant surtout aux milieux populaires. Il exerça le professorat, d'abord privé et ensuite public, en divers endroits : Mangualde (avant sa licence), Aljustrel, Lagos, Faro, Alcobaça et de nouveau Faro.

Du fado de Coimbra, il passa graduellement à ce qui s'est appelé conventionnellement la ballade (Menino d'Oiro, 1962), et de là, à la chanson d'intervention politique (Menino do Bairro Negro, 1963), outrepassant cependant des frontières thématiques et musicales sans cesser d'être toujours un chanteur-compositeur politiquement impliqué avec les exploités et les opprimés. De 1964 à 1967, il fut professeur au Mozambique, à Maputo (ex Lourenço Marques) et à Beira. De retour au Portugal, il s'installa avec sa famille à Setúbal. Il enseigna jusqu'à ce qu'il soit expulsé de l'enseignement officiel pour motifs politiques en 1968. Il a recours alors aux leçons particulières et à la production musicale dont il finit par faire son « activité professionnelle ». Il fonda, avec d'autres, le Cercle Culturel de Setúbal. 1969 : participation à la rencontre « La chanson de combat portugaise », à la Mutualité de Paris.

Dans les cinq ans précédant la chute du fascisme, il exerça, par la pédagogie du chant et de la parole, une action d'agitation et de conscientisation politiques dans des collectivités culturelles et récréatives, dans des associations académiques et dans des organisations populaires, et, à l'étranger, parmi les colonies d'émigrants. Il fut arrêté et emprisonné quelque temps dans la prison politique de Caxias le 29 avril 1973, en conséquence d'une période de poursuites persécutrices et de détentions exercées par la PIDE.

Après l'évènement révolutionnaire du 25 avril 1974, il se dédia à l'appui des organisations populaires « de base » agissant auprès des associations d'habitants, de travailleurs, des coopératives de production agricole, etc. Au cours de plusieurs voyages en Europe, il cherche à obtenir des fonds destinés à des coopératives et autres collectivités.

1981 : spectacle au Théâtre de la Ville, Paris.

Visites, sur invitation officielle, en Angola et au Mozambique.

Derniers spectacles en 1983 : Colisées de Lisbonne et Porto.

Il enregistra, en tout, 14 Lps et plusieurs singles sans compter les recompositions et rééditions postérieures. En 1983 a été éditée une compilation de textes et chansons de sa composition, une partie desquels mis en musique (édition de Assirio e Alvim).

Il est mort à Setúbal, le 23 février 1987, à 57 ans.

Sources Wikipédia

Chansons

09:32 Publié dans Artiste d'espérance, Culture, International | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : zeca afonso, portugal | |  Imprimer |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook | | Pin it!

11/04/2015

Ukraine : Petro Porochenko remet en question la démocratie (PCF)

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L’Ukraine du président Petro Porochenko vient de franchir un nouveau pas dans la crise profonde qui plonge le pays dans un néant politique économique et social en rayant d’un trait de plume son histoire récente en votant au parlement une loi interdisant toute "propagande des régimes totalitaires communiste et nazie".

Mettre sur le même pied l’idéologie de la barbarie nazie et le communisme manifeste de la volonté de privilégier le négationnisme des crimes des Bandéristes, alliés des SS face aux résistants ukrainiens et à la libération du pays par les soldats de l’Armée soviétique. Preuve en est que le parlement de Kiev vient de décider également de commémorer officiellement les combattants de "l’armée insurrectionnelle ukrainienne" qui collabora avec les nazis durant la Seconde guerre mondiale.

C’est avant tout, en attisant l’ultra-nationalisme et les remugles de l’antisémitisme, une volonté de pousser les mouvements les plus extrémistes de Kiev (les partis Svoboda et Pravyi Sektor, ouvertement fascisants et membres du gouvernement) dans l’affrontement avec la Russie.

Le but n’est-il pas ainsi de solder les comptes de la Seconde guerre mondiale pour donner des gages aux partisans de l’adhésion de l’Ukraine à l’Otan et de la mise en coupe réglée des lois du FMI.

Comment prétendre alors vouloir respecter les accords de Minsk 2 ? Avec cette décision inique, il s’agit avant tout d'interdire de fait le Parti communiste d’Ukraine quand, dans le même temps, d’autres responsables et élus de l’opposition démocratique sont eux aussi menacés.

Il s'agit aussi pour Kiev de poursuivre, avec l’aide de mercenaires d’extrême droite membres de la Garde nationale, l’offensive dite « anti-terroriste » contre l’Est de l’Ukraine avec son cortège de victimes civiles et de destructions.

Sous prétexte de condamner "les régimes totalitaires", c’est en réalité la démocratie et le pluralisme que Petro Porochenko remet en question.

Pour l’heure, alors que les conflits sociaux se multiplient partout en Ukraine devant la dégradation des conditions de vie de la population et que les accords de Minsk ne tiennent qu’à un fil, le PCF appelle toutes les forces démocratiques, de paix et de progrès à tout mettre en œuvre pour que soient défendues en Ukraine les valeurs fondamentales de paix, de justice et de démocratie telles qu’elles résultent de la Charte des Nations unies et de la Déclaration universelle de 1948. Il est urgent de consolider la paix au cœur du continent européen, la France doit agir en ce sens, c'est sa responsabilité.

Parti communiste français

18:35 Publié dans International, PARTI COMMUNISTE FRANCAIS | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : ukraine, porochenko | |  Imprimer |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook | | Pin it!

05/04/2015

PCF : PALESTINE : LIBEREZ LA DEPUTEE KAHLIDA JARRAR !

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COMMUNIQUÉ DE PRESSE | Palestine : « La France doit agir pour libération immédiate de la député palestinienne Khalida Jarrar ! » (PCF)

Interdite de voyager en dehors de la Palestine occupée depuis presque 20 ans ,Khalida Jarrar députée et dirigeante du Front Populaire pour la Libération de la Palestine (FPLP) avocate palestinienne, spécialisée dans la défense des prisonniers palestiniens au sein du réseau Addameer.

Madame Jarraravait refusé les dernières injonctions de l'armée d'occupation qui depuis septembre 2014 voulait l'exiler de Ramallah au motif de « mise en danger de la région ».

Dans la nuit du 1er au 2 avril à Ramallah, en zone A pourtant sous contrôle exclusif palestinien, soixante militaires israéliens sont venus l’arrêter en faisant irruption chez elle.

C'est le vécu au quotidien des Palestiniens sous l'arbitraire de l'occupant israélien. On se souvient de l'assassinat du ministre Ziad Abu Ein le 10 décembre 2014 lors d'une manifestation pacifiste ou encore, il y a quelques jours, de l'interdiction de circuler signifiée à Salah Hamouri.

Aujourd'hui une trentaine de députés palestiniens dont Marwan Barghouthi sont encore dans les prisons israéliennes. Certains en détention administrative sans procès. 6 000 Palestiniens parmi lesquels 169 enfants (dont 13 de moins de 16 ans) sont ainsi détenus de façon arbitraire.

Cette situation intolérable est contraire aux droits de l'homme les plus élémentaires et ne suscite aucune réaction des États alors qu'elle devrait suspendre de fait tout accord de coopération avec l'union européenne par exemple.Le Parti communiste français demande solennellement au gouvernement français d'exiger la libération immédiate de Khalida Jarrar et de tous les prisonniers politiques palestiniens.Alors que débute, le 5 avril, la semaine internationale des prisonniers politiques, le PCF se mobilise pour la libération de tout les prisonniers politiques palestiniens et le respect du droit international. Le PCF appelle à multiplier les initiatives dans tout le pays, particulièrement le 17 avril, journée internationale des prisonniers politiques.


Parti communiste français,
Paris le 5 avril 2015

13:35 Publié dans International, PARTI COMMUNISTE FRANCAIS | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Imprimer |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook | | Pin it!

18/03/2015

Législatives/Israël : le PCF salue le score de la Joint List

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Les élections législatives israéliennes anticipées ont donné une nette victoire au premier ministre sortant, Benjamin Netanyahou, qui a raflé les voix de l'extrême droite ultranationaliste et intégriste en multipliant en fin de campagne les déclarations attisant la peur et la haine.

Le Likud devance de 5 sièges la liste d'Isaac Herzog, crédités respectivement de 29 et 24 sièges.

La très bonne nouvelle vient du côté de la Joint List, arrivée en troisième position et menée par le communiste israélien Ayman Odeh qui est parvenu à unir sur une même liste juifs et Arabes israéliens, communistes et nationalistes arabes.

La Joint List a réussi son pari en mobilisant les Arabes israéliens, le plus souvent tentés par l'abstention. Les 14 députés de la Joint List seront la voix de la paix, de la justice sociale et de la démocratie dans une Knesset dominée par les va-t-en-guerre et artisans de la colonisation.

Ils auront besoin de tout le soutien et de la solidarité internationale des démocrates et progressistes dans cette nouvelle période qui annonce une aggravation de la politique belliciste et coloniale israélienne puisque, deux jours avant le vote, Benjamin Netanyahou affirmait encore qu'il n'y aurait pas d’État palestinien s'il était reconduit à son poste.

Le PCF salue chaleureusement la réélection des députés du Hadash et l'élection d'un cinquième député communiste : Ayman Odeh, Aida Touma-Sliman, Dov Khenin, Youssef Jabareen et Abdallah Abu-Maarof ; ainsi que l'élection de leurs collègues députés : Masud Ghnaim, Jamal Zahalka, Ahmad Tibi, Abd al-Hakim Hajj Yahya, Haneen Zoabi, Taleb Abu Arar, Basel Ghattas, Osama Saadi, Juma Azbarga.