Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

23/04/2012

CE N’EST QU’UN DEBUT, CONTINUONS LE COMBAT …

front de gauche,élections,evry,courcouronnes,bondoufle,lisses,présidentielle,mélenchon,sarkozy,hollandeLe front de gauche et les organisations qui le compose viennent avec leur candidat JL Mélenchon de démontrer, nettement (11,13) son implantation et le désir des électeurs d’espoir et de solidarité.

Le résultat de ce premier tour ne doit pas nous faire oublier que la situation des plus faibles et démunis est pire que jamais !

Même si tout doit être fait pour empêcher N Sarkozy de continuer son œuvre de destruction du socle social de notre pays surtout ne nous leurrons pas ! Il ne suffira pas de changer de président pour modifier les habitudes des plus riches, enfants chéris de l’UMP !

Plus nous serons présents au 2e tour, plus nous serons à même d’éviter au candidat socialiste la tentation de céder au dictat de Frankfurt ou de Bruxelles

C’est pourquoi, dès le 1er mai prochain, c’est dans la rue que débutera le troisième tour social, nécessaire pour porter et imposer nos revendications.

Porter l’augmentation de notre pouvoir d’achat afin que la fin du mois ne commence pas le lendemain de la paie. Imposer un service public de santé ou chacun est soigné selon son état et non pas selon ses revenus. Porter le besoin d’éducation pour tous, imposer le droit à une culture de qualité.

Simplement porter et imposer le besoin d’humain et de respect des personnes.

Ni dieu, ni césar, ni tribun l’avenir ne doit pas et ne peut pas s’écrire sans nous

Le pouvoir appartient au peuple et ne peut venir que de lui.

Ne laissons à personne l’occasion de l’oublier.

Christian Pigaglio, président du groupe communiste-front de gauche au conseil municipal d'Evry

LES RESULTATS SUR L'AGGLOMERATION D' EVRY

voteelisee.jpgEVRY : 18 175 exprimés. JL Mélenchon : 14,93 %, F Hollande : 46,49, N Sarkozy : 15,37, M Le Pen : 11,11, E Joly : 2,29 %

COURCOURONNES : 5726 exprimés.  JL Mélenchon : 11,89, F Hollande : 43,8, N Sarkozy : 20,38, M Le Pen : 11, E Joly : 1,92 %

BONDOUFLE 5210 exprimés : JL Mélenchon : 9,81 %, F Hollande : 28,27, N Sarkozy : 27,5, M Le Pen : 17,7, E Joly : 1,96 %

LISSES 4239 exprimés : JL Mélenchon : 13,47 %, F Hollande : 31,55, N Sarkozy : 21,75, ML Pen : 18,9 %

19/04/2012

LES ONZE RAISONS DE VOTER FRONT DE GAUCHE ET JEAN LUC MELENCHON

Par Thomas Maurice / Doctorant en philosophie

fgpouvoir.jpgEn cette fin de campagne, le Parti socialiste fait bien plus une campagne contre le Front de gauche que pour les idées qu'il défend (et on comprend pourquoi, puisqu'il n'y en a aucune qui puisse changer concrètement la vie des gens, mises à part les promesses répétées de "régler le problème des déficits publics", c'est-à-dire de capituler devant les marchés, en faisant s'abattre des plans d'austérité injustes et cruels sur la population).

Voici dix arguments pour ne pas se laisser avoir par cette propagande assez grossière, qui rappelle sur bien des points la peur panique qui a saisi la pensée dominante, quelques semaines avant le référendum de 2005.

1. Le "vote utile" est inutile

Le vote utile, on a déjà donné en 2007 et on a vu à quel point c'était utile ! Ça n'a servi qu'à décrédibiliser le vote de gauche et à le vider de sa substance, en obligeant les gens à se ranger derrière une personne qui appelait de ses vœux une alliance avec le centre.

Qui plus est, il n'y a plus aucun risque de voir le FN au second tour, cette fois-ci.

"En suivant la logique de ceux-là mêmes qui accordent du crédit aux sondages et qui s'inquiètent des performances du Front national, et en raisonnant à partir des pires hypothèses concernant la nature des transferts de voix au Front de gauche, on arrive donc à cette conclusion : quand on vote pour Jean-Luc Mélenchon, on n'empêche pas François Hollande d'être au second tour, sauf dans le cas où c'est Jean-Luc Mélenchon lui-même qui s'y trouve."

Le vote utile, c'est donc le vote pour de vraies idées de gauche. C'est le vote Front de gauche.

2. Le "vote efficace" est le vote pour des idées

fgvote2.jpgCe qui nous a fait perdre en 2007, c'est justement le fait que Royal ne défendait clairement aucune position de gauche, toute obnubilée par son objectif d'alliance au centre. C'est aussi Lionel Jospin qui déclarait en 2002, quelques semaines avant le premier tour : "Le projet que je propose au pays n’est pas un projet socialiste." C'est enfin François Hollande qui va expliquer à la City qu'il n'est pas "dangerous".

Le vote "efficace" est donc le vote pour des idées de gauche, vraiment de gauche, les seules qui peuvent emporter la conviction des classes populaires. D'autant plus que tout ce qui est à peu près de gauche dans le programme de Hollande (et c'est bien peu) est de toute façon inapplicable par lui-même, puisqu'il a dit et répété qu'il ne sortirait pas du traité de Lisbonne. Or, ce traité interdit purement et simplement les quelques réformettes de "gôche" qui se trouvent çà et là dans son programme.

La seule loi préconisée par le traité de Lisbonne est la "concurrence libre et non-faussée" et non pas l'intérêt général et la souveraineté populaire. Il n'y a que le Front de gauche qui assume de vouloir sortir du traité de Lisbonne, sans sortir de l'Europe, pour pouvoir appliquer son programme de conquêtes sociales.

3. Le "vote dynamique" est un mythe

Par ailleurs, il n'est pas non plus question d'un vote "dynamique", puisque telle a été, un temps, la lubie des argumentaires solfériniens. Le fait d'arriver en tête au premier tour n'a jamais impliqué quoi que ce soit comme certitude d'être élu au second ! Jospin était de loin en tête au premier tour en 1995 et Mitterrand était loin derrière Giscard en 1981. Cette nouvelle marotte d'un soi-disant "vote dynamique" est au contraire une manière de nier que le premier tour est un moment pour voter pour ses idées et ceux qui les représentent le mieux.

Ce qui compte avant tout, c'est de pouvoir rassembler au second tour. Et pour cela, il faut pouvoir bénéficier de réserves de voix. Et non pas dilapider ses forces dans un attroupement sur une candidature fantoche et vide dès le premier tour, censée réunir tout le monde autour du plus petit dénominateur commun, mais qui ne fera que repousser ceux qui étaient déjà dégoûtés par les combines politiciennes indignes. C'est cette stratégie suicidaire qui a conduit au délitement total de la gauche italienne, en la menant vers des alliances insensées avec le centre.

4. Le "vote gagnant" est le vote Front de gauche

fgaff4.jpgLa toute nouvelle trouvaille du PS, son élément de langage inédit, c'est d'appeler au "vote gagnant". C'est tout de même un comble pour une formation politique qui n'a pas été fichue de gagner une seule élection nationale depuis Mitterrand, incapable de convaincre les électeurs sur un vrai programme de gauche !

Par contre, ceux qui ont remporté une élection majeure, il n'y a pas si longtemps que ça, ce sont les tenants de la gauche du non au référendum de 2005. Or, le Front de gauche, c'est justement le projet politique qui vient donner un programme à ce non. C'est l'horizon républicain et de conquêtes sociales qui donnera corps à la souveraineté du peuple, afin qu'il soit en mesure de s'opposer à la dictature des marchés financiers en Europe.

Voter Front de gauche, c'est faire gagner le non et triompher la gauche. C'est constituer un front du peuple.

5. Les meilleurs rassembleurs de la gauche

De plus, il y a une vieille tradition républicaine qui fait que, quel que soit le candidat de gauche le mieux placé au second tour, toute la gauche vote pour lui, afin de faire barrage à la droite. Même le NPA a dit qu'il appellerait à battre Sarkozy, c'est dire ! Donc, il n'y a aucun danger que des voix de gauche manquent à l'appel. En principe…

En principe, car justement, c'est le Front de gauche qui se place comme le meilleur rassembleur des voix de gauche. En effet, Hollande ne cesse de répéter sur tous les tons et à longueur d'émission que son programme est non négociable et qu'il ne sera pas question d'en modifier une virgule, quand bien même le Front de gauche ferait un très haut score. Alors que Mélenchon, lui, a dit et redit que, si c'était le Front de gauche qui arrivait en tête, il négocierait avec le PS, les verts et l'extrême-gauche.

Qui, dès lors, est en position de rassembler toute la gauche, afin qu'aucune voix ne fasse défaut pour battre Sarkozy ? Celui qui dit "je ne discuterai pas, mon programme est à prendre ou à laisser" (dixit Cahuzac) ou ceux qui déclarent que leur mission est de parler à toute la gauche et de respecter toutes les formations qui la composent pour battre la droite et accéder au pouvoir pour le rendre au peuple ?

6. Le rempart contre le Front national

Par ailleurs, s'il n'y a plus de danger Le Pen au second tour et si nous pouvons à nouveau voter pour des idées, ce n'est certainement pas grâce aux socialistes, qui passent plus de temps à mépriser les autres partis de gauche (que ce soit à travers des insultes pures et simples ou grâce à des compromis pourris et humiliants, qui n'engagent que ceux qui les croient) qu'à attaquer l'extrême-droite.

Ceux qui se sont chargé de stopper la progression du FN et de le faire reculer partout, dans les têtes et dans les usines, c'est les militants du Front de gauche. C'est notre stratégie front contre front qui a fait s'évaporer l'épouvantail Le Pen, qui permettait au système de s'auto-entretenir dans un bipartisme pépère, en jouant sur la peur du 21 avril.

Le vote Front de gauche, c'est dès lors le vote qui permet de mettre le Front national loin derrière la gauche.

7. Le PS a trahi le peuple

Puisqu'on en est à ce que le PS ne fait pas, voilà, par contre, ce qu'il a fait : trahir le peuple, par trois fois déjà ! Le oui au TCE en 2005 ; le vote scélérat du traité de Lisbonne en 2007, à Versailles (bonjour le symbole !), dans le dos du peuple qui avait voté non ; enfin, l'abstention coupable au Parlement, qui a permis de faire passer le Mécanisme européen de stabilité qui n'est ni plus, ni moins qu'un putsch financier en Europe ( voici ce qu'en a dit Mélenchon dans "Libération" ).

Ce sont cette attitude et ces trahisons à répétition qui font perdre la gauche en lui retirant tout crédit auprès de la population. Le vote Front de gauche, lui, ouvre la voie à une véritable souveraineté du peuple par la vertu d'une VIe République, conquise contre les marchés qui veulent en finir avec la démocratie en Europe.

8. Préparer une vague rouge à l'Assemblée dès le premier tour

pl09.jpgPar ailleurs, si le but est aussi de préparer les législatives, eh bien, justement, un haut score du Front de gauche déclenchera une dynamique et permettra de poser les conditions de possibilité d'une "vague rouge" à l'Assemblée. Ce n'est qu'avec un Mélenchon fort que nous pourrons avoir le tremplin nécessaire pour conquérir le Parlement et former une majorité.

Et c'est ce qui va permettre d'effectuer le tournant nécessaire pour se sortir de l'impasse dans laquelle ce système nous entraîne inéluctablement, en faisant avancer nos idées, la République sociale et la planification écologique par exemple, et ce même si nous ne sommes pas élus au second tour de l'élection présidentielle. En République, le peuple en arme, c'est la loi républicaine. L'Assemblée est donc le barillet de cette souveraineté populaire.

9. Imaginons le débat de second tour

De manière certes un peu facétieuse, mais diablement efficace, imaginons donc un instant à quoi pourrait bien ressembler le débat de second tour. Imaginons d'une part un Hollande-Sarkozy : ils sont d'accord sur quasiment tout du point de vue économique, approuvent l'austérité à appliquer aux peuples, promettent de rembourser la dette, quels que soient les taux d'intérêt et son détail, etc. Souhaitons-nous vraiment un débat qui porte sur le hallal ou sur le permis de conduire ? Ça va être passionnant.

Maintenant, imaginons d'autre part un débat Mélenchon-Sarkozy. À votre avis, qui a le plus de chance de plier Sarko en dix mille ? "Flamby" ou l'homme qui a fait baisser les yeux à l'extrême-droite devant des millions de téléspectateurs ? La réponse est dans la question, n'est-ce pas ?

10. Jetons un œil du côté de nos voisins européens

Dès lors, au vu de tous ces arguments, la question n'est plus du tout "Y aura-t-il un candidat de gauche au second tour ?", mais bel et bien "Quel type de gauche voulons-nous au second tour ?". Cela change drastiquement les données du problème.

Car, en effet, que voulons-nous : une gauche de capitulation, qui vire à la collaboration avec les marchés ? Ou une gauche de conquête sociale et d'implication populaire ? Et parler de capitulation et de collaboration, en ce qui concerne la social-démocratie, n'est pas une exagération !

Regardons autour de nous, en Europe. Ce sont chaque fois des sociaux-démocrates qui ont permis aux rapaces de la finance de s'abattre sur les populations, déjà exsangues, et de martyriser leur pays : Papandréou en Grèce (président de l'Internationale socialiste !), Zapatero en Espagne, Socrates au Portugal… Ils n'ont même pas résisté deux minutes face aux marchés et aux banques !

Hollande au second tour, c'est une autoroute pour un gouvernement "Hollandréou", si le Front de gauche ne fait pas un très haut score. Ajoutons, de manière un peu amère, que la vive protestation du PS français, face à la collaboration du PS grec avec l'extrême-droite au sein du même gouvernement, se fait encore attendre.

Et en cadeau Bonux, voici un onzième et dernier argument !

11. Et si c'était Sarkozy le troisième homme ?

Et puis, il faut bien se demander quelque chose : et si Sarkozy était honteusement surestimé dans les sondages ? Et si, en fait, on pouvait, en votant pour le Front de gauche dès le premier tour, foutre une raclée à la droite et à l'extrême-droite et leur barrer la route pour le second tour ? Est-ce que ça ne serait pas savoureux de pouvoir leur infliger cette défaite cuisante et cette humiliation publique, comme nous l'avons eue nous-mêmes en 2002 ?

Cette situation électorale permettrait en plus de régler un problème, de façon définitive, au sein de la gauche. En effet, un deuxième tour Hollande-Mélenchon (et de plus en plus de gens et de journalistes commencent à envisager cette hypothèse) permettrait de trancher la question : quel est le vrai visage de la gauche, le social-libéralisme ou le socialisme républicain ?

En votant pour le Front de gauche, dès le premier tour, nous donnons une chance à un vrai débat d'idées à gauche – ce que le PS esquive depuis le début de la campagne en agitant l'incantation du vote utile et en refusant toute discussion publique avec nous.


Et maintenant tous à Paris par PlaceauPeuple

29/03/2012

PETITION DE SOUTIEN AUX ENSEIGNANTS DES LP PERRET ET BAUDELAIRE D’EVRY MOBILISES DEPUIS LE 10 FEVRIER POUR LE MAINTIEN DE CONDITIONS D’ETUDES DIGNES POUR LEURS ELEVES

lep.jpgPétition proposées par les enseignants et soutenue par la section du PCF et les élus communistes d’Evry :

Nous soutenons les enseignants mobilisés des LP Auguste Perret et Charles Baudelaire d’Evry qui occupent leurs établissements depuis le 13 février ; ils utilisent tous les moyens en leur possession pour refuser qu’on prenne le plus à ceux qui ont le moins, c’est à dire aux élèves des lycées professionnels.
Nous demandons : le rétablissement des moyens supprimés pour la rentrée 2012, soit environ 72 heures (4 postes) par établissement.
Puisque la direction académique de l’Essonne refuse d’entendre ses personnels et ses élèves nous en appelons à l’arbitrage du ministère.

La pétition en ligne :

http://petitionpublique.fr/PeticaoVer.aspx?pi=P2012N22654

Elle a déjà recueilli plus de 243 signatures en moins de 48 heures parmi lesquelles CGT Educ'action Versailles, CGT Educ'action 91, CGT Educ'action 92, SNFOLC, Francis Chouat (1er adjt au maire d'Evry, 1er vice-pdt PS du Conseil Général de l'Essonne), Christian Pigaglio (conseiller municipal, président du groupe communiste au conseil municipal d'Evry), Diego Diaz (maire adjt communiste d'Evry), Marianne Louis (adjte au maire d'Evry, conseillère régionale IDF, PS), Danielle Valero (maire-adjte d'Evry, EELV), Elise Yagmur (conseillère municipale communiste, Evry, candidate Front de Gauche aux législatives), Francis Couvidat (conseiller municipal Evry, NPA), Marjolaine Rauze (maire de Morsang sur Orge, conseillère générale communiste de Fleury et Morsang), Bruno Piriou (conseiller municipal Corbeil, vice-pdt communiste du Conseil Général), Philippe Camo (conseiller régional communiste), Ulysse Rabate (candidat Front de Gauche aux législatives, 1ère circonscription, Evry-Corbeil).

pétition,lep,perret,baudelaire,evryFRANCE INFO A DIFFUSE UN REPORTAGE SUR LA SITUATION DES LEP BAUDELAIRE ET AUGUSTE QUE VOUS POUVEZ ECOUTER EN CLIQUANT SUR CETTE LIGNE

19:00 Publié dans ACTUALITES, ELUS COMMUNISTES | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : pétition, lep, perret, baudelaire, evry | |  Imprimer |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook | | Pin it!

22/03/2012

EDUCATION, ESSONNE : LA GRANDE HEMORRAGIE !

lep3.jpgLes chiffres officiels indiquent avec brutalité l’ampleur du désastre attendu pour la rentrée scolaire 2012/2013.

1er degré : 55 suppressions en Essonne dont 16 intervenants en langue, alors que 1000 élèves sont attendus en plus !

Pour l'académie de Versailles : 260 postes supprimés. Source : CTSD 91 du 24 janvier pour le 1er degré.

2n degré : Lycées professionnels : 62 postes supprimés sur un total de 749 postes en Essonne

Lycées généraux et technologiques : 57 suppressions sur 3001 postes en Essonne

Collèges : 51 suppressions sur 3497 postes en Essonne (alors que 333 élèves supplémentaires sont attendus) Source : CTSD 91du 21/03/2012

Pour l'académie de Versailles : 495 ETP supprimés dans le second degré au total.

lep2.jpgTous les secteurs de l’éducation sont ainsi concernés et partout enseignants, parents d’élèves, étudiants avec des actions diverses sont à l’offensive contre ces décisions aux conséquences désastreuses.

Les LEP professionnels sont les plus touchés avec près de 10 % de suppressions de postes. Les enseignants des lycées professionnels d’Evry Baudelaire et Perret avec le soutien des élèves et des élus en particulier les élus communistes très présents sont engagés dans une lutte depuis plusieurs semaines sous des formes multiples comme l’occupation de nuit des établissement où l’opérations « enseignants morts » à l’Agora du centre commercial d’Evry.

lep4.jpgIls ont réussi à populariser cette juste colère contre la suppression de plusieurs dizaines de postes qui vont priver les élèves d’un enseignement de qualité permettant l’intégration professionnelle et sociale. Les informations largement relayés par la presse comme le Républicain, Le Parisien, FR3 (voir reportage en cliquant sur cette ligne), France Info…témoignent de cette mobilisation.

front de gauche,école,lep,baudelaire,perret,suppressionLe PCF, ses élus, le Front de Gauche, son candidat à l’élection présidentielle Jean Luc Mélenchon, les candidats aux législatives Ulysse Rabaté et Elise Yagmur au-delà de ce soutien proposent une politique éducative totalement différente repris dans le programme « l’Humain d’abord » qui donne une priorité à l’éducation nationale essentielle pour l’avenir de notre pays.

19/03/2012

LA PRISE DE LA BASTILLE VUE PAR LA TELEVISION SUISSE

bastille11.jpgUne équipe de la Télévision Suisse Italienne avait décidé de suivre les militants du Front de Gauche d’Evry, de la ville préfecture à Paris.

Le matin ils ont réalisé un reportage au marché des Loges d’Evry où était présent une dizaine de militants. Ils ont interrogés plusieurs personnes qui ont témoigné en indiquant « le Front de Gauche porte des idées crédibles, pour les autres candidats c’est du réchauffé », « Jean Luc Mélenchon : il m’a convaincu ».

Notre camarade Elise Yagmur, conseillère municipale communiste d’Evry, et candidate suppléante du Front de Gauche à l’élection législative sur la marché, mais également à l‘occasion de la marche sur la Bastille a également été interrogé .

bastille15.jpgCelle-ci a rappelé le mouvement important d’adhésion de la population aux idées du Front de Gauche et l’importance d’un score élevé de son candidat Jean-Luc Mélenchon, candidat aussi des « indivisibles », de ceux qui souffrent, des salariés, des chômeurs, des retraités, des jeunes… Plus que jamais une alternance est nécessaire face à la politique désastreuse menée par Sarkozy.

Le reportage c’est terminé par des images du rassemblement grandiose à la Bastille devant plus de 100 000 personnes.

front de gauche,mélenchon,evry,présidentielle

PRESENTATION DU REPORTAGE PAR LA TELEVISION SUISSE

Jean-Luc Mélenchon candidat à l’élection française présidentielle de l’extrême gauche est en hausse dans les intentions de vote. Aux rencontres pompeuses de Sarkozy et Hollande, il préfère les marches civiques comme celle-là qui aujourd'hui à Paris a rassemblé 30 000 personnes pour une symbolique, prise de la Bastille.

bastille12.jpg

 

POUR VISIONNER LE REPORTAGE CLIQUEZ SUR LA PHOTO OU SUR CETTE LIGNE !

Article et photos exclusifs E-Mosaïque

15/03/2012

Fin de la trêve hivernale : Les sénateurs Front de Gauche s’opposent à la reprise des expulsions locatives des familles en grande difficulté

sarkomendiant.jpgDECLARATION

Alors que le droit au logement est un droit fondamental reconnu par les engagements internationaux de la France, plus de 100 000 expulsions locatives sont prononcées chaque année, et pour certaine alors même qu’aucun relogement n’est prévu.

Alors que le gouvernement a défini un droit opposable au logement, aujourd’hui des familles entières se trouvent jetées à la rue n’ayant plus d’autre choix que celui de l’exclusion.

Demain, à l’issue de la trêve hivernale, la pratique barbare et fortement traumatisante des expulsions locatives va pourtant pouvoir reprendre. Nous y sommes clairement opposés.

Nous avions déposé et fait débattre une proposition de loi pour interdire ces pratiques d’un autre âge.

Nous n’avions pas pu faire adopter cette loi en mai dernier dans un sénat à droite, le ministre Apparu jugeant qu’il s’agissait d’un mauvais signe envoyé aux propriétaires, alors même que dans ce cadre un fonds d’indemnisation des propriétaires existe. Nous avons tout entendu, et notamment que cette loi serait inconstitutionnelle. Pourtant, le droit au logement est un droit fondamental, reconnu par le conseil constitutionnel.

Déterminés, nous avons redéposé un amendement en ce sens concernant les prioritaires DALO et reprenant les préconisations de la fondation Abbé Pierre, lors de la discussion du projet de loi « consommation ». Or, il a manqué quelques voix à gauche pour adopter cet amendement. C’est regrettable.

Sur le fond, nous maintenons qu’il faut en finir avec de telles pratiques qui ne respectent pas la dignité humaine. Qu’il faut très clairement réorienter la politique du logement pour la sortir, enfin, de la sphère marchande en permettant le respect des droits fondamentaux, dont celui d’avoir un toit, fait parti.

Paris, le 14 mars 2012

29/02/2012

TROP C’EST TROP ! MANIFESTATIONS DANS TOUTE L’EUROPE A L'APPEL DES SYNDICATS

manif290212b.jpgDes manifestations et arrêts de travail contre l'austérité se sont déroulés en France, mais aussi dans toute l’Europe, à l’appel de la Confédération syndicale européenne (CES), sur le thème "trop, c'est trop !"

Refus de l’austérité, refus des nouveaux traités européens, cette journée marque une vraie rupture entre l’Europe sociale et l’Europe de la finance.

manif290212a.jpgEn France à l’appel de l’ intersyndicale (CGT, CFDT, FSU, Unsa, Solidaires) 160 rassemblements et manifestations interprofessionnelles se sont déroulés simultanément avec la participation de plusieurs dizaines de milliers de personnes.

A Paris entre la Bastille et la Nation des milliers de manifestants ont défilés notamment à l’appel de la CGT et la présence de Bernard Thibault.

pl09.jpgLes militants du NPA et du Front de Gauche avaient tenu à saluer le défilé avec la présence remarqué de Marie George Buffet et Pierre Laurent pour le PCF et celle de Jean Luc Mélenchon candidat du Front de Gauche.

Le Parti socialiste dont les parlementaires en s’abstenant ont permis le vote à l’assemblée nationale du Mécanisme Européen de Stabilité dont l’application est, et sera désastreuse pour les peuples de l’Europe à l’image de la Grèce était totalement absent de ses manifestations.

La Confédération Européenne des Syndicats a décidé de poursuivre ce mouvement sous d’autres formes pour empêcher que l’austérité devienne la règle générale dans le vieux continent.

manif290212.jpg

Texte et photos exclusifs E-Mosaïque