15/02/2018
À la St Valentin, le bac ne vaut plus rien
PARTI COMMUNISTE FRANCAIS
« Alléger le baccalauréat » : le gouvernement Blanquer enfourche un vieux cheval de bataille de la droite. Sous prétexte de modernité, il s’agit de franchir une nouvelle étape dans la construction d’une école du tri social. Pour répondre aux défis de l’avenir, nous n’avons pas besoin d’ « alléger » l’éducation de nos enfants, mais de la rendre plus ambitieuse pour toutes et tous !
Contrôle continu, parcours individuels… On ne cherchera plus à avoir le bac, mais à monnayer un bac : à chaque lycée sa cote, à chaque bac sa valeur.
Les nouvelles épreuves envisagées privilégient plus que jamais les codes d’expression des couches aisées. Comment le service public d’éducation nationale pourra-t-il assurer la réussite de tous quand partout on manque de temps, de moyens et d’enseignants ? On fait en ce moment le compte des postes, des classes, des options supprimées. Des pans entiers de formation sont abandonnés au privé par le biais de l'apprentissage.
Particulariser chaque bac, c'est autoriser chaque établissement à faire avec les moyens du bord, et sa formation, et sa sélection. Pour les élèves, c'est, à chaque étape de la scolarité, un tri injuste et anxiogène.
Et qu’on ne nous parle pas de « mérite » ! Il suffit de se pencher sur les résultats des réformes précédentes - qui ont déjà introduit une dose de contrôle continu au baccalauréat et individualisé les parcours - pour constater que la sélection est sociale.
Dis moi quel est ton bac, je te dirais quelle société tu veux.
De la réforme du bac aux attaques contre le code du travail, Macron et son gouvernement construisent une société de concurrence généralisée. Privés de diplômes et de qualifications communes, soumis à la menace du chômage, les salariés de demain seront isolés face au patronat. Chacun pour soi et tous contre tous.
Nous avons besoin d’une école plus ambitieuse : une scolarité obligatoire prolongée jusqu’au baccalauréat, structurée par des disciplines cohérentes, valorisant et développant aussi bien la culture scientifique que les cultures littéraires, artistiques, sportives, techniques ou professionnelles, et préparant tous les élèves aux études supérieures.
Nous avons besoin d’une école de l’égalité : un grand service public national construisant une culture commune à tous les citoyens de demain, et garantissant qu’une formation commune débouche sur une qualification égale.
Nous avons besoin d’une école qui libère, non pas les initiatives privées des marchands de réussite, mais les aspirations de la jeunesse: une école au service de l'épanouissement personnel de toutes et tous, d'une participation éclairée à la vie collective, d'une maîtrise du travail permettant de mettre celui-ci au service de l'intérêt commun.
Enfin, nous avons besoin d’un budget à la hauteur de ces ambitions : il est bien plus utile de recruter et de former des enseignants et des personnels de l’éducation que de supprimer l’ISF.
C'est ce projet que le PCF porte dans les luttes qui s’organisent partout pour faire reculer le gouvernement et battre en brèche ses réformes réactionnaires.
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17/01/2018
Abandon de NDDL : Le PCF met en garde
Parti Communiste Français
Le gouvernement a décidé d’abandonner le projet envisagé durant 40 ans de la réalisation d'un aéroport sur le site de Notre-Dame-des-Landes en réaménageant et en modernisant l'actuel aéroport Nantes Atlantique.
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09/01/2018
Rupture Conventionnelle Collective
Parti communiste Français (Aymeric Seassau)
Rupture Conventionnelle Collective : Le patronat en rêvait, Macron l’a fait
Pimkie hier, PSA aujourd’hui, Carrefour demain… Il n’aura pas fallu attendre pour constater les effets de la rupture conventionnelle collective qui vient de faire son entrée dans le code du travail au 1er janvier avec les ordonnances Macron.
8 jours et déjà 1500 emplois directement menacés par cette seule mesure.
Un peu plus de 200 chez Pimkie qui, présentant des résultats en déficit depuis 2015, s’épargne un plan de sauvegarde de l’emploi (PSE).
2200 suppressions de postes annoncées chez PSA dont 1300 proposeés en rupture conventionnelle collective : PSA, qui avait pourtant annoncé un bénéfice net "record" de 1,25 milliard d'euros au premier semestre 2017.
Chez Carrefour, on indiquait dès décembre la volonté d’utiliser la nouvelle mesure pour supprimer environ 500 postes.
La rupture conventionnelle collective permet, sur un accord majoritaire avec les syndicats de négocier des départs là où le PSE et les plans de départs volontaires (PDV) nécessitaient une justification économique. Macron vient de donner le feu vert pour licencier dans les entreprises qui vont très bien.
Pire, avec cette mesure l’entreprise n’est plus tenue aux reclassements, au respect de l’ordre de départ ni à la priorité de réembauche.
Dès 2012, le MEDEF exigeait la mise en place d’un tel dispositif et dénonçait un PSE « compliqué, couteux et anxiogène ».
Le nouveau pouvoir est au petit soin avec le patronat et l’aide à licencier dans un pays où l’on compte 6 millions de chômeurs et 9 millions de pauvres pendant qu’on paye 265 milliards d’intérêts et dividendes aux actionnaires sur la seule année 2016.
Avec les Etats Généraux du Progrès Social qui se dérouleront le 3 février prochain, les communistes veulent agir pour changer de logique. A l’image de la proposition de loi sur le travail déposée par les députés communistes qui porte un nouveau projet de société pour éradiquer progressivement le chômage et la précarité.
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07/01/2018
Violences sexuelles: agir sans faille pour la tolérance zéro
PARTI COMMUNISTE FRANCAIS
Suite à la publication de l'article du Monde daté des 7 et 8 janvier sur plusieurs cas de violences sexuelles au sein des jeunesses communistes et du PCF, la direction du PCF tient tout d'abord à réaffirmer son soutien aux victimes et sa volonté de tout mettre en œuvre pour les accompagner dans leurs démarches auprès de la police, de la justice, des associations spécialisées...
La lutte contre les violences faites aux femmes est un combat qui est le nôtre, car il ne peut y avoir d'égalité entre les femmes et les hommes si on ne débarrasse pas la société de ce fléau. Il est donc inadmissible que de tels agissements existent dans nos organisations politiques. Face au harcèlement sexiste et sexuel, c'est tolérance zéro !
Nous savons le chemin à parcourir, et nos organisations, qui visent l'émancipation humaine, se doivent de tout mettre en oeuvre pour faire respecter ce principe en leur sein.
C'est pourquoi nous avons décidé de continuer à développer des outils et dispositifs qui permettent de prévenir, d'écouter, de protéger des violences les militant-e-s, de signaler les agresseurs et de les exclure de nos rangs quand les faits sont avérés.
Le 18 novembre dernier, nous avons distribué, une brochure : « Violences sexistes et sexuelles, Tolérance Zéro » à près de mille animatrices et animateurs de sections.
Chaque militant-e doit avoir connaissance de ses droits et doit savoir ce qui n'est pas acceptable comme comportement et ce qu'il en coûte aux yeux de la loi. Aussi, cette brochure sera distribuée à tout-e nouvel-le adhérent-e.
Dès ce mois de janvier 2018, nous allons mettre en place un dispositif innovant avec des référents et référentes formées spécifiquement et qui pourront agir auprès des directions lorsque des violences sexistes et sexuelles leur seront signalées.
Elles se feront aider de juristes et d'associations comme le 39.19, ou viol info service...Elles disposeront d'une adresse mail spécifique pouvant recueillir les signalements des victimes comme des communistes témoins.
Lors des formations internes, un module sera consacré à la lutte contre les violences faites aux femmes.
Nous nous réjouissons de la levée de l'omerta face à ce fléau dans la société comme dans toutes les organisations y compris les nôtres, car c'est un premier pas pour y mettre fin.
Paris, le 7 janvier 2018.
Pierre Laurent, secrétaire national du PCF
Hélène Bidard et Laurence Cohen, co-responsables nationales des Droits des femmes et du Féminisme
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04/01/2018
Erdogan à Paris : Une provocation et un outrage
PARTI COMMUNISTE FRANCAIS
L'annonce de la visite du président turc Erdogan à Paris, le 5 janvier 2018, tonne comme une provocation. Elle se déroulera la veille d'une manifestation commémorant l'assassinat de trois militantes kurdes il y a cinq ans. La justice française avait pourtant mis en évidence l'implication des services secrets turcs dans ce crime.
La rencontre entre Emmanuel Macron et Recep Tayyip Erdogan constitue un nouvel outrage à l'égard des familles des victimes et des Kurdes qui subissent une impitoyable guerre meurtrière. Les parlementaires et les maires du HDP ont vu leur immunité levée, ont été destitués et croupissent désormais en prison après avoir été condamnés dans des procès iniques.
La Turquie d’Erdogan est dans une situation de chaos, dans une fuite répressive permanente.
L'opposition est réduite au silence tandis que des purges gigantesques peuplent les prisons. La politique est devenue un champ de vengeance dans lequel des milices islamo-fascistes jouissent de l'impunité pour tuer et lyncher ceux qui protestent encore.
Comment dans ces circonstances affirmer que la Turquie demeure "un partenaire essentiel" ? Le devoir de la France est d'être aux côtés des défenseurs des droits humains en Turquie.
Le PCF condamne la visite du dictateur R.T. Erdogan et exprime sa solidarité totale avec tous les démocrates de Turquie. Il appelle à faire de la manifestation du 6 janvier 2018 à Paris un succès pour que Vérité et Justice soient rendues à Leïla, Sakine et Rojbin.
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05/12/2017
AFFAIRE CORSE : La réaction de Paul-Antoine Luciani (PCF)
Les réactions s'enchaînent à la suite du Tweet accablant de Jean-Luc Mélenchon. Ce dernier, leader de la France Insoumise, s'est réjouit du score historique des nationalistes au premier tour des élections territoriales en Corse. Jean-Luc Mélenchon s'est félicité du très faible score de Jacques Casamarta 5,68%, Liste l'avenir en commun, en estimant que les Nationalistes incarnaient le dégagisme.
A noter que le leader de la France Insoumise s'était opposé à une union entre le PC et les militants de la France Insoumise. "L'usurpation d'identité et la tambouille du PCF ont été durement sanctionnés" a réagi le député marseillais. Ce lundi, Paul-Antoine Luciani, conseiller municipal communiste d'Ajaccio, s'insurge d'un "retournement de posture de la part du leader de la France Insoumise.
Il indique : "Le Grand Insoumis n’hésite pas à piétiner tous ceux qui ne lui obéissent pas, surtout s’ils sont corses et alliés des communistes…Dans ce cas, il ne se contente pas de prononcer contre ces hérétiques une excommunication majeure : il tresse des couronnes à ceux que, naguère, il semblait détester, les nationalistes corses.
Aujourd’hui, il célèbre leur victoire «dégagiste » ! Les Corses qui se souviennent des propos anti corses du sous ministre socialiste Mélenchon (« Le déshonneur ordinaire de la Corse contamine l’Etat républicain… »), apprécieront comme il se doit son retournement de posture. Ils s’interrogeront sur la sincérité de ses convictions (« J’ai la religion de la République…») et en concluront sans doute qu’il n’a de fidélité qu’à ce qu’il croit être son « rôle historique », tuer le parti communiste !
"Grand imprécateur populiste, gonflé d’ambition et de suffisance, il se sert, comme Jean-Marie Le Pen, de ses talents oratoires pour essayer de « fédérer » autour de sa personne tous les déçus de la gauche et de la droite ; participant ainsi à la confusion générale que l’évolution du monde, les affaires et la corruption, l’inefficacité des politiques social démocrates pour résoudre les grandes difficultés sociales du pays ... ont fini par introduire dans la vie politique française.
"L’abstention en étant la principale (mais non la seule) manifestation. "Sa campagne indigne contre la seule liste de gauche, son appel incivique à l’abstention (facilement compris par le corps électoral…), son exultation malsaine après la victoire nationaliste, méritent qu’on lui applique l’appréciation que Julien Gracq portait sur Céline : "Quiconque a reçu en cadeau, pour son malheur, la flûte du preneur de rats, on l’empêchera difficilement de mener les enfants à la rivière"
Déclaration du Comité exécutif national du PCF
Les résultats du premier tour de l’élection territoriale en Corse sont très inquiétants pour la Corse elle-même. Ils mettent en évidence une crise politique dont l’abstention est révélatrice.
Un électeur sur deux ne s’est pas rendu aux urnes et c’est encore plus marquant dans les bureaux de vote des quartiers populaires des grandes villes de Bastia et d’Ajaccio, où l’abstention dépasse souvent les 60 %.
La réforme institutionnelle de la Collectivité, imposée aux Corses sans consultation par référendum reçoit en ce sens un cinglant désaveu.
A ce déni de démocratie, s’ajoute, pour ce troisième scrutin de l’année, le sentiment que les difficultés de la vie quotidienne, auxquelles une grande majorité d’entre eux est confrontée, ne font que s’accentuer.
La cherté de la vie, la pénurie de logements sociaux, les bas salaires, le chômage, la pauvreté et la précarité ont été évacués de cette campagne électorale. De même, il n’a jamais été question des compétences qui seront exercées prochainement par les élus de cette nouvelle collectivité dotée d’importantes compétences et concentrant tous les pouvoirs non régaliens.
En revanche, il est déjà question, côté nationaliste, d’engager avec le gouvernement une négociation en vue d’une nouvelle étape institutionnelle pour, cette fois-ci, changer radicalement le rapport de la Corse à la République.
Cela interpelle d’autant plus que la référence au fédéralisme européen, voire à l’autodétermination dans les dix ans est régulièrement avancée sans se soucier de la concurrence exacerbée entre les territoires que cette option suppose dans un cadre toujours plus libéral.
Or, il est évident que pour la Corse, région métropolitaine la plus pauvre, cette fuite en avant, tout en affaiblissant l’expression de la solidarité nationale dont elle a besoin, sera désastreuse.
Dans ce contexte, il n’y aura plus aucun élu pour porter dans cet hémicycle de la Collectivité unique de Corse une alternative de gauche, antilibérale et écologique, malgré une belle campagne menée par les militantes et les militants de la Corse Insoumise, du Parti communiste français, de la Manca Alternativa et d’Ensemble.
En rassemblant 6788 suffrages, 660 de moins qu’en 2015 pour la liste PCF-FdG, cette liste, la seule de gauche (FI, PS, PRG, EELV ayant jeté l'éponge avant de mener le combat) n’est pas parvenue avec 5,7 % à franchir la barre des 7 %, indispensable pour qu’elle puisse être maintenue.
Aussi surprenant que cela puisse paraître, plusieurs voix sur le continent se sont félicitées de cette disparition, dont des responsables politiques de gauche qui ne présentaient pas de candidat. C’est une analyse à courte vue, dont le patronat local pourra se satisfaire tant il est vrai que sa domination économique et sociale n’était contestée jusqu’ici que par les élus régionaux communistes.
Ce deuxième tour pourrait donc voir se réaliser une fusion des listes de droite, "macroniste" incluse, sans que cela ne vienne contrarier la victoire, non moins libérale, des listes nationalistes impatientes d’engager un bras de fer avec Paris au bénéfice de leurs résultats pour obtenir un nouveau statut.
Dans ces conditions, ce scrutin ne pouvant être considéré comme un blanc-seing, il faudra en préalable à toute discussion de ce type donner la parole aux Corses.
Le Parti communiste français apporte, toute sa solidarité aux corses et renouvelle toute son amitié aux colistier.e.s et militant.e.s de la liste « l’Avenir, la Corse en commun, l’Avvene, a Corsica in cumunu », soutenue par la Corse insoumise, le Parti communiste français, Manca alternativa/Ensemble.
Paris le 4 décembre 2017
18:13 Publié dans ACTUALITES, ELUS COMMUNISTES, PARTI COMMUNISTE FRANCAIS | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : corse, pcf, mélenchon | | Imprimer | del.icio.us | | Digg | Facebook | |
21/11/2017
Le PCF prévoit de faire sa "révolution" lors d'un congrès en 2018
Le parti communiste tiendra son congrès extraordinaire du 24 au 26 novembre 2018 pour y faire sa "révolution" dans un contexte social et politique renouvelé, a annoncé samedi le parti.
La résolution actant le calendrier de ce congrès a été adoptée par 72,8% des voix de l'assemblée nationale du parti, qui a réuni à Paris près de 900 animateurs de sections locales du PCF.
"Nous décidons d'engager toutes nos énergies dans la préparation d'un congrès extraordinaire de notre parti en 2018 pour ouvrir une nouvelle perspective d'espoir dans notre pays et penser, au service de ces objectifs, notre propre révolution, celle qui nous amènera à être le Parti communiste dont la société française d'aujourd'hui a besoin", affirment les représentants communistes dans ce texte.
Evoquant un nécessaire "bilan lucide" de la situation actuelle du parti, son fonctionnement interne comme ses luttes, ils souhaitent également que soit développée "une analyse en profondeur des enjeux de la nouvelle période politique ouverte en 2017".
La réflexion sur la "transformation du parti" s'organisera autour de quatre grands thèmes: "les luttes et le combat communiste", la "démarche de transformation et de rassemblement dans la société française", les "transformations de notre parti" et "les élections européennes", prochaine échéance électorale, prévue en 2019.
"Notre congrès, préparé de manière inédite, fait appel à l'intelligence de tou·te·s les communistes et de celles et ceux qui sont disponibles à nos côtés pour travailler à l'avenir de cette belle idée du commun".
Lors de ce congrès, l'actuel secrétaire national du PCF, Pierre Laurent, a annoncé qu'il serait candidat à sa succession. Mis en difficulté pendant la présidentielle lorsque le parti a longuement tergiversé sur son soutien à la candidature de Jean-Luc Mélenchon, M. Laurent a expliqué qu'il souhaitait une direction plus "collective", à laquelle il voudrait associer plusieurs personnalités émergentes.
Concrètement, après la consultation de ses militants - 13.500 questionnaires dépouillés - depuis la mi-septembre, le parti se donne jusqu'à la fin mai pour organiser des "chantiers" sur les grandes thématiques définies. A partir de début juin, la phase finale du congrès sera lancée avec la présentation des différentes motions.
Parmi les temps forts, le PCF prévoit des "assises communistes pour l'écologie" en mai et surtout des États généraux du progrès social, avec une première étape nationale le 3 février à Paris.
Il s'agira d'"un carrefour de convergences de toutes ces luttes", qui constituera "une première étape de la construction d'une plate-forme de rassemblement alternative au pouvoir de Macron et à la politique de son gouvernement".
Sources LCP
10:00 Publié dans ACTUALITES, PARTI COMMUNISTE FRANCAIS | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : pcf, congrès 2018, révolution | | Imprimer | del.icio.us | | Digg | Facebook | |