20/09/2014
LE SIEGE DU PCF, LIEU CULTUREL AU COEUR DE PARIS
Ouvert à la population dans le cadre de la journée du patrimoine, le siège du PCF, situé au cœur de Paris et construit par le célèbre achitecte communiste Brésilien Oscar Niemeyer est devenu aussi un lieu d'expositions unique comme l'a souligné Pierre Laurent a l'occasion de son discours (voir la vidéo en cliquant sur cette ligne) pour présenter la nouvelle exposition Palenque ("Palenque" signifie "territoire d'esclaves fugitifs" en espagnol. ) dans le cadre du 20ème anniversaire du projet de l'UNESCO 'la route des esclaves' pour contribuer à la reconnaissance de la culture africaine dans les Caraïbes et renforcer les liens entre l'Afrique et les Antilles.
Cette exposition de grande qualité est consacrée à trois peintres dessinateurs, et scupteurs Cubains : Augustin Cardenas, Jésus Gonzales (aujourd'hui disparus) et Lorenzo Padilla qui était présent à côté de Pierre Laurent à l'occasion du vernissage de l'exposition.
Ces œuvres mettent en exergue la relation entre leurs travaux et les cultures africaines.
Les toiles de Lorenzo Padilla particulèrement sont submergées de couleurs, évoquent les esprits du monde maya de ses origines et vous font entrer dans un monde occulte et mystérieux.
Ses huiles et pastels sensibles et profonds sont traitées avec une palette musicale au rythme emporté et juste qui se répand comme une symphonie.
Les sculptures de Agustin Cardenas (1927-2001) montrent une modernité-autre, celle des symbioses et de la synthèse à travers des formes inédites (ici son oeuvre le petit cheval d'une très grande pureté). Il est un des pionniers de la sculpture moderne.
Les dessins de Jésus Gonzalez De Armas (1934-2002) soutiennent une narration synthétisée, dramatique, de la confrontation entre deux mondes, celui des conquérants européens, appelés "les civilisateurs" et celui des indiens Cubains, comptés alors parmi les moins avancés dans ce vaste continent appelé Nouveau Monde.
De toute beauté cette exposition est à découvrir au siège du PCF, Place du Colonel Fabien....Du 20 septembre au 25 octobre 2014
Espace Oscar Niemeyer, 2, place du Colonel Fabien, 75019 Paris Entré libre du lundi au vendredi de 10h à 18h
Photos, vidéos exclusifs E-Mosaïque
15:26 Publié dans ACTUALITES, ACTUes-Vidéos, Culture, Dessin, PARTI COMMUNISTE FRANCAIS, Vidéo | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : place du colonel fabien, pcf, palenque, lorenzo padilla, pierre laurent | | Imprimer | del.icio.us | | Digg | Facebook | |
19/09/2014
Le président s'enfonce inexorablement dans l'échec
Le chef de l'Etat s'est livré deux heures durant à un exercice médiatique sans ouvrir aucune perspective positive pour les Français, sans jamais répondre aux urgences du pays.
La seule véritable annonce est l'entrée dans une nouvelle guerre de notre pays. Sans concertation du parlement. Avec l'envoi de forces aériennes en Irak dans le cadre d'une coalition occidentale dirigée par les USA.
Cette décision est une grave erreur qui ne réglera en rien la situation et aggravera la déstabilisation de la région. Pour "éradiquer" l'Etat islamique, il est indispensable de démanteler les filières, y compris d'Etats participant à cette coalition qui fournissent armes, argent et hommes.
Au plan national, le Président confirme le cap austéritaire tracé mardi par le premier ministre. Seule exception à la rigueur budgétaire, la guerre, sans que jamais d'ailleurs le Président n'en mentionne le coût.
Pour le reste, aucune solution n'a été apportée aux millions de Français qui se sentent aujourd'hui trahis par les choix gouvernementaux.
Le Président est même allé jusqu'à reporter à l'après 2017 les éventuels résultats de sa politique.Le président s'enfonce inexorablement dans l'échec.
Pour éviter tout réel débat sur sa politique, il caricature les alternatives. Le PCF va s'atteler à renforcer ses efforts de rassemblement sur des solutions alternatives à gauche comme il s'y emploie depuis plusieurs semaines maintenant.
Parti communiste français
Paris le 18 septembre 2014
09:18 Publié dans ACTUALITES, PARTI COMMUNISTE FRANCAIS | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : hollande, conférence de presse, pcf | | Imprimer | del.icio.us | | Digg | Facebook | |
16/09/2014
"Le Premier ministre ne dispose plus que d'une majorité peau de chagrin"
269 députés sur 577 ont voté la confiance à un Manuel Valls « droit dans ses bottes », totalement sourd à la défiance populaire qui ne cesse de grandir.
Confirmant une politique qui mène à l'échec, le Premier ministre a tenté de l'habiller d'un vernis prétendument de gauche.
En réalité, le cap de l'austérité est totalement maintenu.
Résultat : le Premier ministre ne dispose plus que d'une majorité peau de chagrin, ce vote de confiance n'est qu'une victoire à la Pyrrhus sans aucune perspective.
65 voix de gauche venant des bancs communistes et Front de gauche, socialistes, écologistes, MRC, manquent à l'appel, soit 31 de plus qu'en avril pour le gouvernement Valls I.
Minoritaire dans le pays et dans la gauche, le Premier ministre n'a plus qu'une majorité rétrécie à l'Assemblée.
Les députés Front de gauche ont eu raison de voter contre, car cette politique conduit à coup sûr à l'échec. Je renouvelle mon appel, à tous ceux qui n'ont pas voté la confiance et à tous ceux qui l'ont encore voté la peur au ventre, pour que nous travaillions ensemble à d'autres choix politiques pour la justice sociale, l'emploi et la solidarité.
Le Parti communiste français s'emploiera dans les semaines à venir à à renforcer ce rassemblement pour une autre politique.
Pierre Laurent
Discours de politique générale : intervention d... par andrechassaigne
19:26 Publié dans ACTUALITES, ELUS COMMUNISTES, PARTI COMMUNISTE FRANCAIS | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : gouvernement, confiance, valls, hollande | | Imprimer | del.icio.us | | Digg | Facebook | |
15/09/2014
UNE GRANDE FETE DE L'HUMANITE POUR LA GAUCHE !
Militants du Front de gauche, socialistes, écologistes, acteurs du mouvement social se sont retrouvés, ce week-end, à La Courneuve. À la veille du vote de confiance à Manuel Valls, qu’aucun d’eux ne veut lui accorder, mardi, Pierre Laurent a invité à « ouvrir à gauche un dialogue sans condition et sans exclusive » pour proposer une alternative avant 2017.
On disait la gauche abattue, résignée, en perte de repères. La Fête de l’Humanité aura montré tout le contraire, ce week-end, à La Courneuve (Seine-Saint-Denis.
Non seulement des centaines de milliers de citoyens auront parcouru ses allées, de débats en concerts, mais toute la gauche était réunie pour échanger, non sans contradiction parfois, sur les chemins à ouvrir face à la politique du couple Hollande-Valls.
Au-delà des communistes et de leurs partenaires du Front de gauche, des socialistes, des écologistes, des acteurs du mouvement social, du monde associatif s’y sont retrouvés autour d’au moins une conviction commune : la politique conduite par le gouvernement mène à la catastrophe.
Pas de ministres en vue durant ces trois jours, mais d’autres personnalités se sont impliquées dans les débats de la Fête, à l’instar de la présence remarquée de la maire PS de Paris, Anne Hidalgo.
Alors que le vote doit avoir lieu mardi à l’Assemblée nationale, ici, pas de « confiance » au gouvernement. « Rien ne va dans le bon sens », déplore, aux abords de l’agora, Lucie, une militante d’Europe Écologie-les Verts (EELV). « Mon regard est celui d’un mec qui a voté pour eux et qui est très déçu », ajoute Jean-Vincent, un communiste de Nanterre « pas du tout résigné » mais déterminé à rappeler au gouvernement « que, s’il est au pouvoir, c’est grâce à nous ». « Elle est où l’alternative ? » opposait Manuel Valls aux critiques, le 7 septembre. « Nous ne sommes pas condamnés à errer dans les décombres jusqu’au désastre final », a répliqué Pierre Laurent, samedi.
Si le message a trouvé un certain écho ce week-end, c’est justement là que le débat commence. Les députés doivent-ils s’abstenir, mardi, au risque de laisser Valls trouver une majorité par défaut, ou voter contre, au risque, cette fois, de fournir le prétexte à une dissolution de l’Assemblée nationale dont a menacé François Hollande, jeudi, dans le Nouvel Observateur ?
Cette interrogation a cristallisé une partie des échanges du déjeuner, samedi, des responsables de toute la gauche qui ne se reconnaissent pas ou plus dans la politique gouvernementale, à l’invitation de Pierre Laurent. De Jean-Luc Mélenchon aux écologistes David Cormand et Jean-Vincent Placé, en passant par les parlementaires PCF André Chassaigne et Éliane Assassi et les élus PS Marie-Noëlle Lienemann, Barbara Romagnan, Pascal Cherki, Jérôme Guedj, Christian Paul et Jean-Marc Germain. « Tout le monde est d’accord, les Rouges, les Roses et les Verts, pour dire qu’il faut un changement de cap », se félicite le socialiste Liêm Hoang-Ngoc.
Publié par l'Humanité : : http://www.humanite.fr/sous-le-soleil-de-la-courneuve-la-...
09:38 Publié dans ACTUALITES, ACTUes-Vidéos, FETE HUMANITE 2014, PARTI COMMUNISTE FRANCAIS | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : fête de l'humanité 2014, gauche | | Imprimer | del.icio.us | | Digg | Facebook | |
10/09/2014
L'IMPOT JUSTE CE N'EST PAS L'ENNEMI DU PEUPLE !
Jour de libération fiscal : le poujadisme 2.0
Les antifiscalistes célèbrent dans les médias et sur internet le « jour de libération fiscale », qu'un obscur institut économique, très proche des mouvements ultralibéraux, avait fixé au lundi 28 juillet.
On pourrait s’appesantir sur la méthode de calcul qui, entre approximations et mauvaise-foi délibérée, confond pêle-mêle TVA, cotisations patronales et salariales, foyers fiscaux et contribuables, le tout en feignant d'ignorer qu'une écrasante majorité des prélèvements est redistribuée sous forme de revenus (aide aux entreprises, prestations sociales...)
Mais le plus intéressant demeure son fond idéologique à peine voilé. L'impôt serait un racket d'Etat, et le salarié un otage accablé. On ne peut qu'en conclure que les économistes à l'origine de cet indicateur grotesque doivent vivre à l'écart du monde.
Dans le cas contraire, ils se seraient aperçu que l'impôt leur permet de se faire soigner à l'hôpital, d'envoyer leurs enfants à l'école, d'utiliser le réseau routier français ou de pouvoir compter sur les forces de l'ordre en cas de besoin, entre autres prestations.
Cette version 2.0 du poujadisme préfère remettre en cause un des fondements de la solidarité nationale, plutôt que de poser la question des garanties de l'efficacité et de l'équité de celle-ci.
Le PCF défend une refonte en profondeur de le fiscalité en faveur d'un impôt plus juste, instaurant notamment une taxation des activités spéculatives, un calcul progressif de l'impôt sur le revenu et de l'impôt sur les sociétés, ou encore un calcul de ce dernier à partir du chiffre d'affaire...
L'inégalité est un fléau, pas la solidarité.
10:55 Publié dans ACTUALITES, Economie, Idées, PARTI COMMUNISTE FRANCAIS, Société | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : fiscalité, impôt, tva | | Imprimer | del.icio.us | | Digg | Facebook | |
08/09/2014
Une de Minute: l'extrême droite aboie, la France continue d'avancer
Alors que le directeur de Minute est cité à comparaître le 24 septembre devant le tribunal correctionnel pour injure à caractère racial, pour avoir titré "Maligne comme un singe, Taubira retrouve la banane", voilà que l'hebdomadaire d'extrême droite récidive en invectivant Najat Vallaud Belkacem avec une une à caractère raciste et islamophobe : "Une marocaine musulmane à l'éducation nationale, la provocation Vallaud Belkacem".
Cette une laisse entendre que l'origine et la religion de cette femme posent problème pour accéder à une fonction ministérielle: c'est intolérable.Par deux fois, ce sont des femmes qui ont été prises à partie. Visiblement, pour Minute, la politique est une affaire réservée aux hommes blancs.
Le débat démocratique permet la confrontation d'idées et la contestation des choix gouvernementaux, mais il n'autorise pas ces dérapages nauséabonds !
L'immigration est constitutive de l'identité de la France : hier Emile Zola, Léon Gambetta, Henri Krasucki, Pablo Picasso... aujourd'hui Eva Joly, Anne Hidalgo, Rama Yade, Najat Vallaud Belkacem.
Ces noms nous rappellent que des étrangers ont fait la France, qu'il en est ainsi aujourd'hui et qu'il en sera de même demain.
L'extrême droite aboie, la France continue d'avancer.
Le 3 septembre 2014
Fabienne HALOUI, Commission Droits et Libertés du PCF
09:53 Publié dans ACTUALITES, PARTI COMMUNISTE FRANCAIS, Société | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : minute, extrême droite, najat vallaud belkacem | | Imprimer | del.icio.us | | Digg | Facebook | |
02/09/2014
Rentrée scolaire : déclaration de Pierre Laurent
Quand la confiance en l'école est brisée, c'est toute la société qui est en danger »
C’est la troisième rentrée scolaire depuis l’arrivée de François Hollande au pouvoir. Trois rentrées, trois ministres, trois ans d’une politique censée donner la « priorité à l'école » et toujours pas assez d’enseignants pour accueillir tous les élèves dans de bonnes conditions. La réforme des rythmes, loin de s’attaquer à l’échec scolaire, vient ajouter de l’inégalité à l’inégalité : horaires, contenus des activités et tarifs varient d’une commune à l’autre. Loisir éducatif pour les uns, garderie pour les autres, gratuits ici, payants ailleurs, en fonction des politiques locales.
Aujourd’hui, je voudrais avertir le président et la nouvelle ministre de l’éducation nationale : la situation est grave. Quand la confiance en l’école est brisée et que les parents ne peuvent pas espérer un avenir meilleur pour leurs enfants, quand les jeunes ne peuvent pas réaliser leurs rêves et leurs ambitions, c’est toute la société qui est en danger.Arrêtons de désespérer les salariés, qui savent qu’on ne sortira pas de la crise économique sans développer l’éducation et avec elle l’emploi qualifié. Arrêtons de désespérer le peuple de France, qui sait que le savoir est un pouvoir et qu’il n’y a pas de véritable démocratie sans appropriation des savoirs par tous.
Il est plus que temps de faire preuve de courage, de cesser de reculer au moindre froncement de sourcil du patronat, de céder devant les gesticulations de groupuscules réactionnaires.La nouvelle ministre de l’éducation se dit féministe: comment peut-elle se satisfaire de la suppression des ABCD de l’égalité? Qu’attend-elle pour les rétablir et les généraliser ?
Le président affirme que l’école est une «priorité». Qu’attend-il pour rompre avec l’austérité, pour donner à l’école et à tous les services publics les moyens dont ils ont besoin ?
Partout dans le pays, des parents, des enseignants, des citoyens luttent contre les fermetures de classes, résistent aux politiques libérales, débattent et imaginent l’école dont notre pays a besoin.
Plutôt que de les écouter, eux qui bâtissent la France de demain, le gouvernement préfère choyer les actionnaires, les spéculateurs, ceux qui construisent sur du sable pour leur seul et unique profit.Il est insupportable que l’école laisse tant d’enfants sur le bord du chemin, alors que les savoirs jouent un rôle de plus en plus important dans notre société et que tous les enfants sont capables d’apprendre. Il est temps de construire une école de l’égalité, permettant à tous les enfants, quelle que soit leur origine sociale, de maîtriser leur avenir.
Cette année encore, la rentrée coûte cher, trop cher. Pour que l’école soit bien celle de tous, elle doit être gratuite.Il faut certes diminuer le coût de la rentrée, notamment dans les filières professionnelles et technologiques où le matériel est souvent coûteux, mais il est également indispensable que l'école donne à tous les enfants le nécessaire pour réussir à l’école, sans recours aux cours privés. Les fonds sociaux des établissements doivent être revalorisés pour faire face aux besoins, les bourses multipliées, les transports scolaires organisés et gratuits.
Nous voulons la même école sur tout le territoire: villages, cités, centres-villes... les enfants doivent avoir accès à la même variété d’activités, de formations ou d’options. Il faut en finir avec la course au bon lycée ou à la bonne filière, qui ne profite à personne. Dès maintenant, les collectivités peuvent établir des cartes scolaires contraignantes assurant l’égalité des conditions d’étude.
A rebours de ce que prépare le gouvernement, la formation des enseignants ne peut pas non plus varier d’une académie l’autre: elle doit être la même dans tout le pays. Face à la crise de recrutement sans précédent que rencontre l’Éducation Nationale, il faut redonner un sens au métier d’enseignant, et ce ne sont pas quelques citations de Jules Ferry disséminées dans le discours de rentrée de la nouvelle Ministre qui suffiront pour cela.Une revalorisation des salaires est évidemment indispensable, mais la formation doit aussi être repensée.
Les bricolages autour des ESPé sont loin de permettre aux jeunes enseignants d’entrer sereinement dans leur métier : la formation initiale doit s'appuyer sur un pré-recrutement et uneformation continue doit être développée.La relance de l’éducation prioritaire est une urgence, mais il ne s’agit pas de construire une école à plusieurs vitesses, avec des objectifs différents pour les élèves des quartiers les plus défavorisés ! Au contraire, il faut donner plus de moyens là où il y en a plus besoin, pour que l’école puisse donner à tous les enfants une culture commune de haut niveau.
Plutôt que de surcharger les programmes, prolongeons la scolarité obligatoire, de 3 à 18 ans, avec le droit à l’école dès 2 ans pour les familles qui le souhaitent. Rendons aux enfants la demi-journée d’école supprimée par la droite : pas pour la consacrer aux activités périscolaire, mais bien pour la réintégrer au temps scolaire.
Avec plus de temps à consacrer aux enfants, les enseignants pourront organiser ce temps autrement : c’est le vrai moyen de lutter contre l’ennui et la fatigue des élèves !Dès maintenant, l’État doit garantir qu’une même formation débouche sur une même qualification. Cela passe par le renforcement des diplômes nationaux et la reconnaissance de toutes les années d’étude dans les conventions collectives.Ces propositions ne sont pas seulement celles du PCF. Elles ont grandi dans les luttes et les débats.
Aujourd’hui, nous sommes nombreux à les porter. Nous sommes nombreux à avoir le courage de rompre avec les politiques libérales, nombreux à porter l’ambition d’une école de l’égalité, nombreux à imaginer les chemins nouveaux pour les imposer. Ne nous laissons pas enfermer dans le désespoir. Prenons nos responsabilités : ensemble, imposons cette politique, elle est urgente et nécessaire.
Pierre Laurent, Secrétaire national du PCF
Mardi 2 septembre 2014
19:24 Publié dans ACTUALITES, PARTI COMMUNISTE FRANCAIS, Société | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : école, rentrée, pcf | | Imprimer | del.icio.us | | Digg | Facebook | |