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12/02/2009

Tollé après les propos d'un entrepreneur béké de Martinique

martiniquaise.jpgPARIS (Reuters) - Yves Jégo, secrétaire d'Etat à l'Outre-mer, juge "parfaitement ignobles" les propos d'un entrepreneur béké de Martinique expliquant "vouloir préserver la race" et le PCF réclame des poursuites.
Dans un reportage diffusé par Canal+ la semaine dernière, l'entrepreneur ajoutait : "Quand je vois des familles métissées avec des blancs et des noirs, les enfants naissent de couleurs différentes, il n'y a pas d'harmonie."
"On a des lois qui protègent et qui interdisent ce genre de choses dans la République", a souligné Yves Jégo jeudi sur Europe 1. Il a ajouté que le parquet de Martinique avait ouvert une information judiciaire pour "apologie de crime contre l'humanité et incitation à la haine raciale."
Pour le Parti communiste, l'entrepreneur mis en cause, Alain Huygues-Despointes, dont les propos ajoutent à l'exaspération de la population en grève pour le pouvoir d'achat, mérite d'être poursuivi pour incitation à la haine raciale.
Sur son site internet, le quotidien Le Parisien met en évidence une autre conséquence des propos de l'entrepreneur : le déménagement du préfet Ange Mancini. Ce dernier, qui préside les négociations sur l'île, dit qu'il a quitté son logement appartenant à la famille Despointes et loge depuis à l'hôtel.
Gérard Bon, édité par Gilles Trequesser, pour RMC

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10/02/2009

LETTRE OUVERTE A PROPOS DU SERVICE MINIMUM DANS LES ECOLES

 

Waziers, le 27 janvier 2009

Monsieur l'Inspecteur,

J'ai bien reçu votre courriel du 27 courant à 8 H 50 au sujet du droit d'accueil concernant le mouvement de grève du jeudi 29 janvier 2009.

J'ai pris bonne note que dans 4 groupes scolaires les grévistes dépassaient les 25 %. Les services municipaux étant touchés également par le mouvement de grève, n'ayant qu'une seule dame de service à l'école Gambetta qui n'est pas gréviste et au total plus de 90 % du personne! communal absent à cette date, nous sommes donc dans l'incapacité d'assurer quelque service d'accueil que ce soit.

Par ailleurs, vous connaissez ma position sur cette loi qui demande aux voisins de régler ses propres conflits de couple ne m'agréé nullement.

Mais dans la même optique je vous saurai gré de bien vouloir m'adresser par retour, une liste d'enseignants, de personnel de l'Education Nationale non grévistes le 29 janvier 2009 et qui pourraient assurer la continuité du service public en venant tenir les guichets de la mairie, fabriquer les repas à la cuisine centrale, mettre tes couverts, servir tes enfants, faire la vaisselle et le nettoyage.

Je pense bien évidemment que vous n'aurez aucun mal à trouver ce personnel compétent pour que je puisse assurer là continuité du service public.

Dans le cadre du droit d'accueil si j'avais un début de liste à faire et à vous soumettre, je mettrai :

** Monsieur l'Inspecteur de l'Education Nationale Douai-Waziers,

*" Le personnel de l'Inspection de l'Education Nationale Douai-Waziers,

*- Le personnel du RASED,

*" Monsieur le Sous-Préfet de Douai,

et pourquoi pas Monsieur le Préfet de Région !...

El pour changer les couches Monsieur DARCOS, Ministre de l'Education Nationale.

Je pense que l'ensemble de ces personnes sont parfaitement qualifiées pour exercer le droit d'accueil

dans les écoles de Waziers. 

 

 

MICHON_Jacques.jpgJacques Michon

Maire de Waziers

Conseiller Général du Nord

 

NB . Cette lettre du maire et conseiller général communiste de cette ville de 10 000 habitants du département du Nord est diffusée actuellement dans de nombreuses écoles de France, et fait un véritable "tabac" parmi les enseignants.

L'humour ainsi maniée est plus terrible que bien des discours.

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09/02/2009

BESANCENOT : SEUL CONTRE TOUS

besancenot.jpgD'après (AFP) — Le Nouveau parti anticapitaliste s'est prononcé dimanche pour un "accord durable" avec "toutes les forces" qui se réclament de l'anticapitalisme, ne se limitant pas aux Européennes, avec pour condition une indépendance totale vis-à-vis du PS.

Le texte a été voté à 76% des quelque 600 délégués présents, au troisième et dernier jour du congrès fondateur du NPA d'Olivier Besancenot qui se tient à la Plaine-Saint-Denis (Seine-Saint-Denis).

Depuis plusieurs semaines, Parti communiste français (PCF) et Parti de Gauche (PG) de Jean-Luc Mélenchon pressent le NPA de rejoindre le "front de gauche" qu'ils ont scellé en novembre sur la base du "non de gauche" au Traité constitutionnel européen (2005).

"On regrette une position pleine de préalables et de faux-fuyants", a déclaré aux journalistes Pierre Laurent, numéro deux du PCF, au cours d'une visite au congrès du NPA. "On peut craindre qu'elle déguise un non" au "front de gauche", a-t-il estimé, mais le PCF "poussera à la discussion jusqu'au bout".

Avec la dissolution de la trotskiste LCR, "on nous avait annoncé un nouveau parti. Il y a des vieux réflexes qui ont la vie dure", a-t-il déploré. Le NPA est "pris dans l'illusion médiatique" autour de M. Besancenot, "leur maladie, c'est l'élection présidentielle", a déclaré Patrice Bessac (PCF).

Dans le texte voté par le congrès, le NPA appelle à "une unité qui ne soit pas un cartel électoral sans lendemain" et "ne se limite pas aux élections européennes mais s'étende aux régionales" (prévues en 2010), une élection où le PCF s'allie traditionnellement avec le PS.

Or, la condition posée par le congrès à cette unité est d'être "toujours dans l'indépendance vis-à-vis du PS, parti qui, dans son programme et sa pratique, s'inscrit dans la gestion du capitalisme et a renoncé à toute transformation sociale". "Nous sommes prêts à des compromis mais pas à des compromissions", a lancé Sandra Demarcq, membre du Comité d'animation national (CAN) du NPA.

Catherine Jouanneau, qui représentait la motion minoritaire favorable au "front de gauche" qui a remporté 16% des voix, a déclaré : "Faire un accord durable, ça suppose de commencer un jour. Ne subordonnons pas les alliances aux Européennes aux autres élections".

09:56 Publié dans ACTUALITES | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : besancenot, npa, européenne, pcf, pg | |  Imprimer |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook | | Pin it!

06/02/2009

La suppression de la taxe professionnelle : un coup terrible porte a la democratie, aux services publics locaux et au pouvoir d’achat des menages

 

 Déclaration de l'Association Nationale des Elus Communistes et Républicains

dessmamiflu.jpgAprès la suppression de la part salariale dans l’assiette et le plafonnement de la cotisation à 3,5% de la valeur ajoutée, c’est désormais la suppression pure et simple de la taxe professionnelle que Nicolas Sarkozy vient d’annoncer.

 

Au motif de libérer l’innovation et l’investissement, le choix idéologique libéral du chef de l’Etat et du gouvernement exonère l’entreprise de toute responsabilité en terme de développement des territoires, tout comme les choix libéraux ont progressivement réduit l’impôt sur les sociétés dans tous les pays de l’Union Européenne.

 

Dans le droit fil de la réforme en cours des collectivités locales, le seul critère retenu est la compétitivité des territoires, avec la suppression de toutes contraintes au nom d’une « liberté de circulation et de valorisation des capitaux ».

 

C’est clair, en annonçant la suppression de la taxe professionnelle dès 2010 le Président de la République a répondu ainsi à la demande pressante du MEDEF et prive les collectivités locales de près de la moitié de leurs recettes fiscales utiles pour le développement de leurs services publics locaux. La taxe professionnelle est actuellement le seul impôt qui établit un lien direct entre l’entreprise et son lieu d’implantation. Elle contribue ainsi à responsabiliser l’entreprise par rapport à la collectivité territoriale et aux populations. En échange les collectivités locales financent les investissements en infrastructures et services dont bénéficient les entreprises et leurs salariés.

 

Depuis de nombreuses années la taxe professionnelle est en proie à une attaque en règle et l’Etat a pris en charge une part importante de son montant (aujourd’hui, 10 milliards d’euros), en dénaturant son sens et réduisant son efficacité. Mais contrairement aux 8 milliards d’euros que le Président de la République a annoncé, elle représente encore 28 milliards d’euros.

 

L’ANECR réaffirme l’exigence que les entreprises contribuent à la dépense publique locale dont elles sont une des principales bénéficiaires.

 

Les élus communistes et républicains font depuis longtemps des propositions pour moderniser cet impôt et le rendre plus juste et plus efficace.

 

En effet il faut mettre fin au déséquilibre actuel entre les différents secteurs d’activités. Le secteur industriel, l’énergie et les transports sont redevables de 66% de la taxe professionnelle alors qu’ils ne produisent que 33% de la valeur ajoutée. C’est le secteur financier qui profite de ce déséquilibre. D’où la proposition de loi portée par les parlementaires communistes et républicains d’intégrer dans les bases de la taxe professionnelle les actifs financiers des entreprises car la financiarisation est un frein au développement de l’emploi et des activités productives qui sont indispensables pour répondre aux besoin sociaux et économiques.

 

C’est bien dans la sphère de la production que la crise a formé sa puissance dévastatrice avec le partage sans cesse plus inégal des valeurs ajoutées entre le capital et le travail. C’est bien à cela qu’il faut s’attaquer.

 

L’introduction des actifs financiers dans la base de cette taxe permettrait d’alimenter un fond national de péréquation. Le taux serait fixé au plan national par le Parlement. La collecte nationale serait répartie selon des critères et des clés de répartition prenant en compte le développement humain du territoire (éducation, social, emploi…).

 

On le voit un tel impôt permettrait tout à la fois d’assurer des recettes aux collectivités locales mais dans le même temps de jouer un rôle incitatif pour l’emploi et le développement solidaire des territoires.

 

Bien entendu les bases de cet impôt seraient composées également de la valeur ajoutée, de la valeur locative foncière, et de la valeur locative des équipements et biens immobiliers afin de consolider les liens entre l’entreprise et la collectivité. Le Président de la République aurait été mieux inspiré en mettant cette proposition de loi à l’étude.

 

Car en décidant de supprimer la taxe professionnelle, il transfère sur les ménages toute la charge sans tenir compte de leur capacité contributive, aggravant toujours plus les inégalités et dégageant l’entreprise de toute contribution à son environnement dont elle profite.

 

Tout comme la réforme annoncée des collectivités locales, la suppression de la taxe professionnelle est un coup terrible porté à la démocratie, à la libre administration des collectivités locales, aux services publics locaux.

19:04 Publié dans ELUS COMMUNISTES | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : taxe professionnelle, élus, pcf, danger, sarkozy | |  Imprimer |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook | | Pin it!

02/02/2009

LES VŒUX DE LA FEDERATION DU PCF DE L’ESSONNE

 

 

Philippe Camo, nouveau secrétaire fédéral du Parti communiste français de l’Essonne a présenté ses vœux devant les militants et plusieurs personnalités dont Bernard Véra et Jean Luc Mélanchon sénateurs de l’Essonne, Lydie Benoit membre de la commission exécutive du PCF, et conseillère régionale, de nombreux maires dont ceux de Grigny, de Morsang,  de Viry, des représentants du PS et du PG, de la CGT, et de très nombreux militants communistes.

Il a présenté la situation sociale dégradée du département, indiqué les enjeux des prochaines élections européennes, le projet novateur du PCF, et appelé au rassemblement devant une assistante mobilisée.

01/02/2009

Le parlement adopte définitivement le collectif budgétaire 2009

vera.JPGLe parlement a adopté définitivement le 29 janvier par un ultime vote du Sénat, le projet de loi de finances rectificatif pour 2009 (collectif budgétaire) qui constitue le volet budgétaire du plan de relance de 26 milliards d’euros.

Le texte a été adopté par 171 voix contre 140. L’opposition PS, PCF, Verts a voté contre.

Bernard Vera, groupe CRC-SPG est intervenu dans la discussion générale :

"L’actualité m’amène à poser une question simple : quelles réponses cette loi de finances apporte-t-elle aux attentes exprimées par le monde du travail aujourd’hui ?

Pour l’heure, certains d’entre vous accusent les syndicalistes d’abuser du droit de grève, et réfléchissent à d’éventuelles sanctions. Des députés de l’UMP ont d’ailleurs déposé une proposition de loi en ce sens afin de jouer le rôle d’ultra et de rendre plus présentables les dispositions que le Gouvernement proposera pour mettre en cause le droit de grève. D’autres, plus modérés en apparence, estiment qu’en ces temps troublés, l’exercice du droit de grève est un luxe dont les salariés ne devraient pas librement disposer. Ce discours, pratiqué notamment par l’un des porte-parole sociaux de l’UMP, M. Jérôme Chartier, est aussi vieux que le capitalisme.

Mais le texte de la commission mixte paritaire ne traite pas des angoisses de l’opinion publique, à savoir la sauvegarde du pouvoir d’achat et de l’emploi. Aucune de nos propositions n’a été retenue, comme la réduction du taux normal de TVA ou la suppression de certains cadeaux fiscaux qui n’ont pas eu l’efficacité économique attendue. Votre politique découle d’une conception de l’action publique et de l’utilisation des deniers publics qui n’a plus grand-chose à voir avec le pacte républicain et qui s’éloigne à la fois des principes d’égalité devant l’impôt et de la loi comme expression de l’intérêt général.

Ainsi, ce collectif ne touche pas à la loi Tepa alors qu’elle a provoqué une réduction importante des recettes fiscales et qu’elle n’a pas eu d’effet sur la croissance économique. Prenons le cas des heures supplémentaires défiscalisées : Le Figaro, qui défend comme toujours la politique gouvernementale, indique que 750 millions d’heures supplémentaires ont été effectuées en 2008 par les salariés, soit un gain de pouvoir d’achat de 150 euros par mois.

Or, à en croire le ministère du travail, les salariés avaient déjà effectué 630 millions d’heures supplémentaires en 2006, alors même que l’absence d’exonérations fiscales incitait à leur sous-déclaration. Quelque 80 % des 150 euros du prétendu gain de pouvoir d’achat existaient donc déjà. L’avantage réel de 30 euros est bien éloigné des 200 000 euros accordés en moyenne à chacun des 500 contribuables les plus aisés ayant bénéficié du bouclier fiscal !

La situation économique montre que ce dispositif n’a manifestement pas permis d’éviter la récession, qui se manifeste singulièrement par la suppression de milliers d’emplois intérimaires. Dans un pays qui compte 3 millions de personnes sans emploi, 450 millions d’heures de travail sont perdues chaque mois.

Au-delà du choix autiste qui consiste à maintenir les dispositions antérieures, la loi de finances comporte de nouvelles mesures tendant à développer l’investissement public, bien que son niveau reste inférieur à celui de la précédente législature.

J’observe qu’une part substantielle des crédits permet de régler les factures en souffrance, notamment dans le domaine de l’armement où l’on doit 500 millions d’euros à des sous-traitants, bien que la loi de programmation militaire 2003-2008 n’ait pas été entièrement appliquée.

Mais surtout, le bénéfice des nouvelles dépenses est réservé à quelques groupes qui se nourrissent de longue date de la commande publique et voient là une occasion utile pour verser dividendes et stock-options à leurs cadres dirigeants.

J’en viens au Fonds de compensation de la taxe sur la valeur ajoutée (FCTVA) en notant qu’on est bien plus exigeant et plus regardant quand il s’agit d’avancer 2,5 milliards d’euros aux collectivités locales que de distribuer aux entreprises 15 milliards d’euros sous forme de dépenses fiscales nouvelles. La CMP est partiellement revenue sur le texte adopté ici par scrutin public.

Quelles sont les perspectives ouvertes par cette nouvelle mouture de l’article premier ? La mise en cause de la DGF des plus petites communes et groupements, la fusion entre la dotation globale d’équipement et le FCTVA, toutes dispositions qui imposeront aux collectivités locales de participer à la maîtrise des déficits publics, objet de la loi de programmation.

Cette loi de finances rectificative ne répond nullement aux attentes populaires qui se sont puissamment exprimées aujourd’hui."

18:51 Publié dans ELUS COMMUNISTES | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : vera, sénateur, pcf, essonne, budget | |  Imprimer |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook | | Pin it!

30/01/2009

Le PCF appelle tous les partis de gauche à se réunir mardi

manif29.jpgPARIS (Reuters) - Le PCF appelle tous les partis de gauche à se réunir mardi prochain pour voir comment amplifier la mobilisation en France après les manifestations de jeudi, qui ont réuni un à 2,5 millions de personnes selon les sources.
Dans un communiqué, le Parti communiste estime que le mouvement pour obtenir des mesures répondant aux attentes sociales face à la crise ne doit pas "rester sans lendemain."
"Nicolas Sarkozy, qui déclarait il y a six mois que 'quand il y a une grève en France, plus personne ne s'en aperçoit', doit aujourd'hui remballer son mépris et répondre à ces attentes", déclare-t-il.
Le PCF "appelle à amplifier la mobilisation", dit le communiqué.
Il demande une augmentation immédiate du smic et des minima sociaux, l'abandon des plans de suppressions d'emplois et le retrait des réformes contestées du chef de l'Etat dans les secteurs de l'éducation et de la santé notamment.
Les huit syndicats français ont également appelé le gouvernement à entendre les revendications des salariés sous peine de s'exposer à d'autres mouvements revendicatifs.
Tous doivent se retrouver lundi à 18h00 au siège de l'Unsa pour décider de la suite à donner au mouvement et des formes que pourraient prendre de nouvelles mobilisations si le gouvernement restait sourd aux demandes sociales.
Le chef de l'Etat a fait savoir jeudi soir qu'il recevrait les représentants syndicaux en février afin de convenir du programme de réformes à conduire en 2009 mais les syndicats ont exigé que leurs demandes soient à l'ordre du jour.
Jacques Voisin, le dirigeant de la CFDT, appelle Nicolas Sarkozy à prendre "des décisions concrètes et des engagements financiers à la hauteur des enjeux comme ceux pris par le nouveau président américain" Barack Obama.
Gérard Bon, édité par Sophie Louet

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