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31/12/2009

TAXE CARBONE / LA POSITION DU PCF

PCF.gifLe PCF se félicite de l’annulation de la taxe Carbone par le Conseil Constitutionnel. Inefficace car beaucoup d’entreprises polluantes en était exonérées, cette taxe était également injuste car elle touchait d’avantage les plus petits salariés que les grandes fortunes.

En se précipitant, le Président de la République à fait une bêtise. L’effet d’annonce dans la préparation de Copenhague n’a pas marché  ! Ce n’est pas au niveau des enjeux de ce débat et le PCF condamne cette manière de procéder ! Il faut maintenant prendre le temps d’un nouveau débat à l’Assemblée nationale.

Le PCF propose une vraie réforme fiscale en créant un bonus-malus pour les entreprises sur des critères environnementaux et sociaux. Il faut augmenter les aides aux ménages et attribuer d’avantage d’argent public pour aider la recherche, l’industrie, le bâtiment… Alors que Nicolas Sarkozy en a fait la découverte à Copenhague, le PCF ne cesse de le répéter depuis très longtemps : il faut mettre en place une taxation sur les transactions financières. Enfin, en diminuant de 10% les dépenses militaires de l’Etat, il est possible de financer la protection de l’environnement.

Le Conseil constitutionnel à fait son travail. Nous attendons maintenant qu’il aille un peu plus loin sur les propositions telles que la loi de finances qui comportent des mesures particulièrement injustes, le bouclier fiscal, la taxation des indemnités journalières des accidentés du travail. Ces mesures sont très choquantes et il faut y mettre un terme.

Parti communiste français

Paris, le 30 décembre 2009.

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16/12/2009

DEBAT SUR L’ORIENTATION BUDGETAIRE

mairie1.JPGIntervention du Groupe des élus communistes, Evry, conseil municipal du mois de décembre

 

L’orientation de ce budget est conforme aux engagements de l’équipe municipale et de son programme municipal.

Il poursuit son action dans les domaines essentiels que sont la jeunesse, l’éducation, la petite enfance, les seniors, le sport, le secteur social, le soutien aux associations, à la culture, aux logements, à la démocratie locale, aux fonds d’investissements de proximité, à l’environnement et au cadre de vie.

Il réaffirme un fort projet dans le domaine essentiel de la santé devant le désengagement  de l’Etat au moment où une étude publiée par le journal Le Monde indique que de 2001 à 2009 les dépenses de santé des français ont augmentées de 40 à 50 % et qu’ils sont de moins en moins égaux devant la maladie et la mort.

Cette priorité de la Municipalité n’est certes pas une prérogative obligatoire pour la collectivité mais elle permet de pourvoir, au moins en partie, à la déficience du Gouvernement.

Il en est de même pour la Sécurité des biens et des personnes qui est du domaine régalien de l’Etat mais où face au désengagement massif de celui-ci (plus de 2000 postes de policiers supprimés en 2010), la Municipalité devant la forte demande et l’inquiétude des habitants fait face en y consacrant près de 10 % de son budget de fonctionnement.

 

L’environnement économique et social est des plus inquiétant. Le pouvoir d’achat de tous, à l’exception notable des plus riches protégé par le bouclier fiscal baisse, le chômage explose.

Un plan d’austérité sans précédent est mis en place dont les conséquences pour les familles et les collectivités sont, et seront de plus en plus catastrophiques.

 

A Evry, comme dans les autres villes populaires le bilan du plan banlieue établi par l’Observatoire national des zones urbaines sensibles s’avère un échec. Le revenu fiscal moyen  est deux fois inférieur à celui des autres quartiers. Un tiers des habitants, et un jeune sur deux ne survivent qu’avec moins de 908 € par mois. Le taux de chômage est deux fois supérieur qu’ailleurs, touchant en particulier les plus jeunes dans une proportion de 30 % pour les filles, 40 % pour les hommes, à un moment, ou paradoxe les plus anciens sont sommés de travailler plus. Parler de ces quartiers comme de « SAS » comme le fait M. Darcos, ministre du Travail, et ancien ministre de l’Education est une insulte à cette population digne et aux villes concernées.

 

L’action globale de la Municipalité permet malgré tout de maintenir une solidarité en lien étroit avec le Conseil Général et le Conseil Régional et d’éviter un désagrégement de la Cité.

Les modifications proposées des institutions par le Pouvoir Public, la suppression de la clause de compétence générale pour ces collectivités auront des conséquences lourdes à ce sujet.

Ainsi, et pour ne citer qu’un exemple, le financement des équipements sportifs seront remis en cause.

 

M. Sarkozy justifie sa réforme en indiquant que les Municipalités, les Départements, les Régions dépensent trop et ne savent pas gérer leurs budgets. Cela ne manque pas de piquant lorsque l’on sait par exemple que l’Etat doit au Conseil Général de l’Essonne plus de 200 millions d’€, soit  l’équivalent de 20 % de son budget annuel en raison de charges nouvelles non compensées entièrement comme l’APA , le RSA, les collèges, et que cette dette augmente de près de 150 000 € par jour.

 

Il se fixe comme objectif de supprimer le 1/3 du personnel de toutes les collectivités locales, soit 600 000 emplois, 400 uniquement sur la ville d’Evry.

 

A ces réformes s’en ajoutent d’autres comme le nouveau impôt que M. Sarkozy veut mettre en place contrairement à ces engagements intitulé la Taxe Carbone. Les collectivités locales devront l’acquitter sans aucune compensation. Le coût moyen (1) estimé pour la ville d’Evry  sera en 2010 de 250 000 €, et ce coût sera multiplié par 10, dans les années à venir.

Nous ne sommes pas sûr que cette mesure favorisera la lutte pour la défense de l’environnement, comme nous ne sommes pas sûr que l’augmentation du prix de l’eau sur notre commune bien au-delà de l’inflation soit une bonne chose pour les habitants d’Evry dont le revenu fiscal moyen est un des plus bas de l’Essonne. Il serait bien d’ailleurs sur ce point d’engager une réflexion pour reprendre en Régie directe la gestion de l’eau qui relève d’un bien fondamental dont doivent disposer les habitants et ne doit pas être tributaire des profits exigés par les groupes privés pour le compte d’actionnaires.

 

A cela s’ajoute l’augmentation moyenne du prix de chauffage urbain sur Evry de plus de 5 % pour la saison 2008/2009 liée il est vrai par une saison plus froide que les autres années.

L’action des élus de la Municipalité dans l’agglomération a permis de limiter cette hausse.

 

Les élus communistes resteront à l’écoute des habitants pour que le budget de la ville en 2010 soit au plus près de leurs besoins, renforcent les liens sociaux, contribuent au développement de chacun, et au bien de tous.

 

La vraie morale ne s’occupe pas de ce que nous pensons et voulons, mais de ce que nous faisons.

 

En même temps nous estimons que les Evryens doivent être informés franchement et régulièrement sur les projets du Gouvernement qui obligatoirement auront des conséquences sur la vie de la cité. Nous pensons aussi que c’est la fonction des élus de gauche ou Verts quel que soient leurs mandats, d’être porteurs d’espoirs, d’une alternative politique, économique et sociale vraiment progressiste et non libérale..

 

(1) - L'association Amorce, composée d'élus spécialisés dans la gestion et le traitement des déchets, estime que l'impact de la nouvelle contribution pourrait atteindre de 0,50 € à 10 € par habitant.

11/12/2009

Mise au point d’André CHASSAIGNE et Jean-Jacques PARIS

buffchas.jpgLe journal Le Monde dans son édition du 9 décembre 2009 fait référence, dans un article intitulé : « Régionales : la candidature du numéro deux du PCF en Ile-de-France contestée », à une réunion de l’Association nationale des élus communistes et républicains ( ANECR) qui aurait débattu de cette question.

De quelle réunion s’agit-il ? Quand s’est-elle tenue ? nous n’en saurons rien.

Pour la bonne et simple raison que cette réunion n’existe pas, n’a pas existé et n’existera pas. Pour la bonne et simple raison que ce n’est ni du rôle, ni de la responsabilité de l’ANECR de se prononcer sur le choix de candidats, de listes de candidats et de têtes de listes, quelles que soient les élections concernées. La désignation des candidats est une affaire démocratique des partis et forces politiques, pas de notre association.

L’ANECR rassemble, de plus en plus, et nous l’espérons de mieux en mieux des milliers d’élus communistes, républicains et progressistes (plus de 11000 à ce jour et non « quelque six mille » comme l’annonce Le Monde).

Aujourd’hui et probablement plus encore demain, après les élections régionales, de très nombreux élus régionaux de sensibilités différentes à gauche auront à cœur de rejoindre l’ANECR durablement ou pour des projets communs.

C’est la raison d’être de notre association que nous voulons espace commun d’élaborations et d’actions, avec esprit d’audace, du conseiller municipal de village au parlementaire.

Si le journal Le Monde a voulu faire référence au bureau national de l’ANECR qui s’est tenu le mercredi 9 décembre, il aurait du annoncer que cette réunion a pris acte de la mobilisation grandissante qui se développe dans le pays pour faire échec à l’attaque historique portée aux collectivités locales, aux services publics, à l’Intervention publique dans toutes ses dimensions, avec la « réforme territoriale » et celle de la taxe professionnelle.

Il aurait du annoncer que nous appelons à une manifestation nationale contre ces réformes le 19 janvier prochain, à Paris et que nous invitons tous les élus communistes, républicains et progressistes, candidat ou non, à s’engager pour la réussite de cette manifestation.

Le 10 décembre 2009

09:45 Publié dans ELUS COMMUNISTES | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : pcf, régionale, andré chassaigne | |  Imprimer |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook | | Pin it!

09/12/2009

PIERRE LAURENT TETE DE LISTE PCF EN ILE DE FRANCE

laurentpierre.jpgPierre Laurent, numéro deux du Parti communiste français, a annoncé mardi sa désignation comme tête de liste PCF pour les régionales en Ile-de-France à l'issue d'une réunion des secrétaires fédéraux communistes de la région qui s'est tenue lundi.

Ce choix devra être confirmé par une conférence régionale le 14 décembre qui réunira de 300 à 400 délégués des fédérations d'Ile-de-France, a précisé à l'AFP M. Laurent, coordinateur national du PCF, qui pourrait succéder à Marie-George Buffet à la tête du Parti l'an prochain.

Le député PCF rénovateur de Seine-Saint-Denis, Patrick Braouezec, qui s'était proposé comme tête de liste dès le mois de juin dernier, a donc été écarté. Il souhaitait "incarner un Front de gauche (PCF-Parti de gauche-Gauche unitaire) ouvert, moderne, rassembleur et unitaire".

De son côté, le président du Parti de gauche (PG), Jean-Luc Mélenchon, a annoncé dimanche à Crosne (Essonne) qu'il serait tête de liste du Front de gauche "en Ile-de-France et dans aucune autre région", alors que la direction du PCF a toujours exigé un candidat communiste dans cette région.

PS - C'est à l'unanimité que les adhérants du PCF d'Evry réunis en assemblée générale avaient aussi ce lundi proposés Pierre Laurent comme tête de liste PCF en Ile de France.

10:40 Publié dans ACTUALITES | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : pcf, pierre laurent, régionale | |  Imprimer |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook | | Pin it!

08/12/2009

Histoire-Géographie : un service public d’Education nationale fondé sur une visée culturelle de haut niveau

bastille.jpgCommuniqué du Parti Communiste Français

Le Ministre de l’Éducation Nationale, Luc Chatel, a décidé de supprimer l’Histoire et la Géographie comme matières obligatoires en Terminale Scientifique. Face à cette émotion particulièrement légitime, le PCF soutient les enseignants et les lycéens qui protestent contre la suppression de l’Histoire-Géographie en Terminale S.

Ces deux disciplines ont un rôle éminemment fondamental. Non seulement il faut garder ces matières dans le programme d’enseignement des Terminales mais il est, en plus de cela, nécessaire d’en revaloriser les contenus. Les cheminements de compréhension sont primordiaux pour la connaissance du monde dans sa diversité, de ses crises économiques ou géostratégiques.

L’Histoire et la Géographie sont une voie d’accès à cette connaissance. Elles doivent apporter la possibilité d’une ouverture d’esprit, d’un esprit critique avec une visée culturelle de haut niveau. Mais il ne peut y avoir de réforme cohérente et dans le sens du progrès avec des réductions de moyens.

Il faut en finir avec un système qui reste fondé sur l’élitisme, la sélection, le culte du mérite individuel, l’esprit de compétition et l’orientation par l’échec, en finir avec le mépris pour les personnels enseignants et éducatifs dont les propositions ne sont jamais entendues.

Il faut en finir avec la volonté d’instrumentalisation de l’école par une droite entièrement dévouée aux intérêts des puissances économiques et politiques qui entendent, par ce biais, contribuer activement au remodelage du salariat et de la société dans l’esprit du capitalisme financier mondialisé. Un service public d’Education nationale fondé sur une visée culturelle de haut niveau pour tous les élèves de la maternelle à la terminale des lycées reste une nécessité : ce sera aux personnels d’éducation, aux parents, aux élèves, aux forces représentatives du monde du travail d’en imposer ensemble les formes et modalités.

Le PCF condamne la réduction du nombre d’emplois publics dans l’Education nationale et la réforme sur la formation des maîtres qui vise à supprimer une année d’étude pour ces futurs enseignants. Augmenter le nombre d’enseignants, qualifiés, est une des conditions de l’efficacité de l’enseignement.

Comment leur permettre d’exercer dans les meilleures conditions possibles quand le gouvernement leur retire tous les moyens pour y arriver ?

11:40 Publié dans PARTI COMMUNISTE FRANCAIS | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : pcf, histoire, éducation nationale | |  Imprimer |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook | | Pin it!

06/12/2009

Buffet (PCF) veut "vitaminer la gauche"

mgb.jpgMarie-George Buffet, secrétaire nationale du PCF, a lancé aujourd'hui une campagne d'"audace et ambition" des communistes pour les régionales, appelant, pour "vitaminer la gauche", militants, syndicalistes et associatifs à rejoindre le Front de gauche (PCF-Parti de gauche-Gauche unitaire).

"Audace et ambition doivent être les deux mots qui dominent" la campagne, "pour vitaminer la gauche", a déclaré Mme Buffet devant quelque 450 animateurs des sections départementales du PCF réunis à Montreuil, alors que se tient jusqu'à dimanche la convention nationale du Parti de gauche de Jean-Luc Mélenchon à Crosnes (Essonne).

Le premier meeting national du Front de gauche est prévu le 10 janvier au Palais des Congrès de Paris.
"Ce que nous voulons bâtir à travers le Front de gauche (FG), c'est le chemin pour arriver à battre durablement la droite", a-t-elle ajouté, dénonçant les "clins d'oeil" au MoDem, qui constitue à ses yeux "une partie de la droite".

Et Mme Buffet de "lancer un appel à tous ceux qui portent les combats" de la gauche, associatifs, syndicalistes, militants des droits de l'Homme, féministes, "salariés en résistance", pour qu'ils rejoignent le Front.

"Investissez les listes du Front de gauche, soyez candidats, soyez élus et c'est vous qui pourrez garantir que vos choix seront portés dans les luttes et les institutions".
Quant au risque pour le PCF de perdre des élus après avoir décidé de partir sans le PS dans 17 régions au premier tour, Mme Buffet a répondu que "la campagne (du FG) sera tellement dynamique que nous n'allons pas perdre d'élus, mais en gagner dans différentes régions".
"Ce n'est pas le Parti communiste qui passe sous la table, (...) c'est le PCF qui montre sa capacité à inventer l'avenir", a-t-elle lancé.

12:30 Publié dans ACTUALITES | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : pcf, marie george buffet, régionale | |  Imprimer |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook | | Pin it!

01/12/2009

NON AU GRAND PARIS

grandparis1.jpgLes députés examinent le projet de loi relatif au Grand Paris, qui constitue le premier élément de la stratégie élyséenne pour reprendre la main sur le devenir de la métropole parisienne et imposer ses vues.

Les députés communistes se sont exprimés contre ce projet (voir la vidéo).

 

En juin 2007 Nicolas Sarkozy se fixait l’objectif de faire de la métropole parisienne une des premières places économiques et financières du monde. Déjà, la lutte contre les inégalités sociales et territoriales, dont souffre ce territoire, y tenait peu de place.

Après deux ans de travail de son secrétaire d’État, Christian Blanc, sans réelle concertation avec les collectivités territoriales concernées, ce que lui reprochent les élus, le gouvernement présente un premier projet de loi, qui sera suivi d’autres, pour parvenir aux objectifs de Nicolas Sarkozy.

 

les besoins des habitants totalement oubliés

Premier élément de ce puzzle, la construction d’un nouveau réseau de transports automatiques en Île-de-France long de 130 kilomètres, dont la vocation essentielle est de relier entre eux les pôles d’excellence, les aéroports, le centre d’affaires de la Défense et les centres économiques et de recherche en périphérie de Paris. Les élus locaux, et pas seulement de l’opposition, ont fustigé ce projet de métro qui oublie le maillage des territoires et les besoins des populations pour les déplacements habitat-travail.

Deuxième élément du projet, la création de la « Société du Grand Paris ». Dans l’article 7 du projet de loi, cette société, qui sera sous le contrôle de l’État, « peut acquérir, au besoin par voie d’expropriation ou de préemption, les biens de toutes natures… nécessaires à la création du réseau de transport » ainsi qu’a « l’aménagement » autour des futures gares. D’où l’inquiétude de nombreux élus qui refusent de voir mis en question leurs prérogatives pour répondre aux besoins de leurs populations. Ce que résume le maire (PS) de Paris, Bertrand Delanoë : « Je suis content quand l’État intervient en Île-de-France ou dans la métropole, mais il ne faut pas que ce soit la schlague. »

 

« Ce projet est inacceptable »

Pour Patrick Braouezec, député (PCF) et président de Plaine Commune (Seine-Saint-Denis), « en l’état, ce projet est inacceptable », le seul « développement des pôles économiques » n’est pas suffisant pour faire « reculer les inégalités sociales ». Ce sont « de véritables contrats de territoire avec les collectivités locales et un copilotage des projets avec l’État » qui sont, selon lui, nécessaires. « Ce que nous avons voulu faire avec ce projet de loi, ce n’est pas un projet d’ensemble qui prévoirait tout dans tous les domaines », se défend Christian Blanc.

Certes, nous sommes loin, malheureusement, des visions prospectives des dix équipes d’architectes ayant planché sur l’avenir de la métropole parisienne… mais le puzzle que dessine ce projet, c’est la mainmise de l’État sur l’avenir du territoire francilien.

 

11:25 Publié dans ACTUALITES | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : grand paris, députés, pcf, projet | |  Imprimer |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook | | Pin it!