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17/04/2010

Le PCF s’élève contre la condamnation de Leyla Zana

leyla-zana.jpgLe Parti communiste français s’élève contre la nouvelle condamnation à trois ans de prison de Leyla Zana qui, depuis des années, lutte opiniatrement pour que soient reconnus en Turquie les droits démocratiques et la liberté d’expression du peuple kurde.

La décision de la Cour pénale de Diyarbakir confirme les mesures arbitraires prises par les autorités judiciaires et politiques de Turquie et qui ont abouti, ces derniers mois, à l’interdiction de partis légaux et des jugements arbitraires entraînant une recrudescence de la répression à l’encontre du peuple kurde.

Le PCF manifeste à nouveau sa solidarité avec le peuple kurde et sa détermination pour que soit rapportée cette mesure particulièrement intolérable à l’égard de Leyla Zana.

Parti communiste français

Paris, le 15 avril 2010.

11:38 Publié dans PARTI COMMUNISTE FRANCAIS | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : leyla zana | |  Imprimer |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook | | Pin it!

16/04/2010

CETTE SEMAINE DANS L'HUMANITE DIMANCHE

Á LA UNE DE VOTRE HEBDOMADAIRE

TRAVAILLEURS SANS-PAPIERS
Ce que leur combat a changé.
Le récit de 2 ans de lutte.
Avec des paroles de grévistes et l’analyse de Raymond Chauveau, coordinateur du mouvement pour la CGT.

RETRAITES
Ces 100 milliards d’euros que Sarkozy veut mettre sur le dos des salariés.
L’analyse de l’économiste, Catherine Mills.

EMPLOIS
La politique peut-elle sauver l’industrie ?
Entretien avec Jean-Marie Harribey, coprésident d’ATTAC France.

CONGRÈS DE LA JC
« Permettre aux jeunes de faire de la politique autrement. »
Les enjeux du Congrès par Pierric Anoot, secrétaire général du mouvement.

LES « FILLES » DE LEJABY
Elles ont 25 ans de maison, elles détiennent un savoirfaire unique, et leur patron les jette.
Reportage chez des dentellières en colère

CINÉMA : LA CENSURE EN IRAN
Pour montrer la réalité sociale de leur pays, les cinéastes iraniens tournent à leurs risques et périls. Explications.

ÉTATS-UNIS
Les oubliés de la réforme de la santé d’Obama.

RENCONTRE AVEC JULIE GAYET
« Le travail, mieux vaut encore en rire ».
À l’occasion de la sortie de 8 Fois debout, la comédienne sur la « valeur travail » , sur les « sans » et sur ses projets de productrice engagée.

LA COURSE À PIED
Après quoi courent 44% des Français ?
Les secrets d’une pratique sportive de masse.

IL ÉTAIT UNE FOIS… EN 1980
La mort de Jean-Paul Sartre.
Qu’est-ce que le philosophe a à nous dire aujourd’hui ?

RÉFLEXIONS DE MICHEL FERHER ET D’ÉRIC FASSIN
Sociologue et philosophe, ils dressent le bilan de la politique sur l’immigration du gouvernement.


18:43 Publié dans MEDIAS | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : humanité dimanche | |  Imprimer |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook | | Pin it!

15/04/2010

APPEL NATIONAL SUR LES RETRAITES

retraite2.jpgFaire entendre les exigences citoyennes sur les retraites

Le gouvernement français s’apprête à engager une nouvelle réforme qui risque de porter un coup fatal au système de retraite par répartition en jurant une fois de plus que c’est pour le sauver. Le bilan des réformes menées depuis 1993 est déjà catastrophique car toutes les dispositions prises (calcul sur les 25 meilleures années, indexation sur les prix et non plus sur les salaires des actifs, allongement de la durée de cotisation sous peine de décote...) ont déjà fait baisser le niveau des pensions d’environ 20 %. Elles ont aggravé les inégalités déjà fortes entre les pensions des hommes et des femmes. Le Conseil d’orientation des retraites (COR) prévoit que le taux de remplacement moyen - niveau de la retraite par rapport au salaire, passerait de 72 % en 2007 à 59 % en 2050. Cette dégradation continuera donc de frapper les actuels retraités et touchera également les générations suivantes.

Malgré ce bilan désastreux, le gouvernement veut aller encore plus loin en supprimant l’âge légal de départ à la retraite à 60 ans en le portant à 62, voire 65 ou 67 ans, comme le demande le Medef, et en remettant en cause le calcul sur les six derniers mois d’activité des retraites du secteur public. Jumelées avec un nouvel allongement de la durée de cotisation pour obtenir une retraite à taux plein, ces mesures condamneraient à la pauvreté la plupart des futurs retraités, surtout les femmes et tous ceux et celles qui ont connu et connaîtront des périodes de chômage et de précarité importantes. Ce sont les salarié-es les plus jeunes qui subiraient les effets cumulés de ces orientations au moment de partir à la retraite.

Le gouvernement et le patronat persistent à vouloir durcir les conditions de départ en retraite alors même que les entreprises continuent de se débarrasser des salariés âgés avant qu’ils aient acquis la totalité de leurs droits. Exiger que les salariés travaillent et cotisent plus longtemps, alors que l’âge moyen de cessation d’activité est de 59 ans, ne vise qu’à baisser le niveau des pensions. De plus, cette logique remet en cause la solidarité intergénérationnelle. Il n’y a aucun sens à augmenter l’âge de la retraite alors que le chômage de masse sévit pour les jeunes. Au lieu de voir dans la retraite par répartition une transmission perpétuelle et solidaire de la prise en charge d’une génération par la suivante, le gouvernement et le patronat, afin d’attiser la division, la stigmatisent comme un fardeau pour la seule génération à venir.

Le danger ne s’arrête pas là. Le COR dessine les contours d’une réforme pour remplacer notre système par un autre « par points » ou « par comptes notionnels ». Dans les deux cas, il s’agirait de ne plus avoir à assurer un taux de remplacement du salaire défini à l’avance et de faire de la variation du niveau des pensions le moyen d’équilibre financier des régimes. Cela aggraverait encore la baisse du niveau des pensions et contraindrait les salariés, particulièrement les salarié-es pauvres et effectuant les travaux pénibles, à travailler toujours plus longtemps.

La vraie raison des mesures qui s’annoncent n’est pas liée à la démographie. La crise financière a provoqué une récession et donc une flambée des déficits publics. Les États continuent benoîtement à financer leurs déficits en empruntant sur ces mêmes marchés financiers qui ont provoqué la crise. Réduire ces déficits pourrait se faire par une taxation du capital. Mais les spéculateurs refusent évidemment cette solution, demandent que les États donnent des gages et exigent une réduction des dépenses publiques.

Une alternative à cette régression sociale existe pourtant. A moins de décréter la paupérisation des retraité-es, il est normal de couvrir les besoins sociaux liés à l’augmentation de leur part dans la population par un accroissement des prélèvements sur la richesse produite. Les déficits des caisses de retraite sont essentiellement dus au refus obstiné de le faire. Pourtant, le besoin supplémentaire de financement nécessaire aux retraites est réalisable puisqu’il a été chiffré en 2007 par le COR entre 1 et 2 points de PIB jusqu’en 2050, à comparer avec la chute de la part de la masse salariale de 8 points au cours des dernières décennies et avec l’explosion correspondante des dividendes, qui sont passés de 3,2 % du PIB en 1982 à 8,5 % en 2007. Il est donc juste d’augmenter la part des salaires et des pensions dans la richesse produite en s’attaquant aux profits. Le financement des retraites est possible à condition d’en finir avec l’actuel partage éhonté de la richesse au bénéfice des revenus financiers. C’est ce partage qui constitue le tabou à faire sauter, et non l’âge de départ. Il s’agit là d’un choix politique de justice et de solidarité.

La question des retraites pose celle de la société dans laquelle nous voulons vivre. Nous ne pouvons accepter la paupérisation programmée des futurs retraité-es, l’idéologie absurde du « travailler toujours plus » et la destruction des solidarités sociales. Nous souhaitons contribuer à une vaste mobilisation citoyenne (réunions publiques, appels locaux…) pour stopper cet engrenage.

09:26 Publié dans ACTUALITES | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : retraites, pétition, appel | |  Imprimer |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook | | Pin it!

14/04/2010

Pologne : questions sur un crash, vérités sur un Président

pologne crash.jpgPar José Fort, journaliste

Le crash de l’avion du président polonais, Lech Kaczynski, près de l’aéroport militaire de Smolensk, à 420 kilomètres de Moscou, a entraîné la mort du premier personnage de l’Etat et la disparition d’une grande partie de ce que les médias qualifient généralement d’ « élite » du pays : les chefs de l’armée, de la banque nationale, de partis politiques, des députés… L’émotion reste intense à Varsovie et dans tout le pays. Pourtant, quelques jours après ce drame, le temps n’est-il pas venu de poser quelques questions ?

 

Pourquoi ce voyage pour célébrer l’exécution de plusieurs milliers d’officiers polonais par la police de Staline accusés – à tort ou à raison ? - de collaborer avec les nazis alors que quelques jours plus tôt le Premier ministre polonais, Donald Tusk avait participé à une cérémonie officielle en présence de Vladimir Poutine sur les lieux de la tragédie ?

 

Le président Kaczynski avait refusé de les rejoindre préférant organiser sa propre cérémonie sans la présence des officiels russes.

 

La symbolique est très forte : le président et ses amis sont morts près du lieu où ils souhaitaient se recueillir.

 

Pourquoi le crash ? Les aiguilleurs du ciel russes avaient à plusieurs reprises conseillé aux pilotes de l’avion présidentiel de se détourner vers Minsk ou Moscou, la météo sur Smolensk étant exécrables. Or, l’étude des boîtes noires de l’appareil semble indiquer que les pilotes ont été sommés par le président polonais et les militaires d’atterrir coûte que coûte. Comment expliquer cet entêtement ?

 

Officiellement, il s’agirait de la volonté d’arriver à l’heure pour la cérémonie. Officieusement, le président polonais ne voulait pas rencontrer les hauts dignitaires russes.

 

La mort du président polonais et l’émotion qu’elle provoque ne doit pas gommer la vérité sur ce personnage rétrograde, réactionnaire, intégriste catholique et homophobe militant.

 

Alors qu’il était maire de Varsovie, il a fait réprimer à plusieurs reprises des manifestations homosexuelles. Il s’était déclaré en faveur de la peine de mort et s’opposait à la légalisation de l’avortement.

 

Cet ancien conseiller de Lech Walesa au syndicat Solidarité prônait une politique ultra libérale et clairement pro-américaine. Il s’était aligné sur George Bush notamment dans sa guerre en Irak.

 

Enfin, cet anticommuniste militant avait institué la loi dite de « lustration » visant tous ceux ayant collaboré de près ou de loin aux gouvernements dits «  communistes ». Il avait voulu, notamment, abolir les retraites des anciens brigadistes en Espagne républicaine.

 

Lech Kaczynski est mort. Tristesse pour sa famille.

13:57 Publié dans Point de vue | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : pologne, crash, kaczynski | |  Imprimer |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook | | Pin it!

09/04/2010

Déclaration des vice-présidents communistes délégués aux transports des Régions

vendredi 9 avril 2010

train3.JPGLes cheminots en lutte pour le maintien et le développement du service public

En responsabilité dans les Conseils Régionaux pour l’organisation des transports régionaux de voyageurs, nous constatons quotidiennement la dégradation des conditions de transport des usagers (trains annulés, retards fréquents...), malgré les moyens financiers importants consacrés par les Régions dans ce domaine.

Comme nous le soulignons maintenant depuis plusieurs années, les causes de cette dégradation sont dues au manque de moyens humains et matériels de la SNCF.

Cette entreprise publique dont l’actionnaire unique est l’Etat a supprimé depuis 2002 près de 20 000 emplois de cheminots et envisage d’en supprimer plus de 7000 d’ici 2012. Ces réductions drastiques d’emploi, les réorganisations sans fin au sein de la SNCF se font au nom de la libéralisation du secteur des transports voulue et conduite à marche forcée par Le Président de la République et son gouvernement.

Cette politique a été sévèrement condamnée par nos concitoyens lors des élections régionales des 14 et 21 mars derniers, le message doit être entendu. Le secrétaire d’Etat aux transports D Bussereau doit prendre ses responsabilités afin que le Président de la SNCF sorte de son entêtement et ouvre sans tarder de véritables négociations avec les organisations syndicales de cheminots.

Les vice-présidents communistes invitent les usagers du transport, les citoyens qui sont attachés à la défense et à la promotion des services publics à se mobiliser pour exiger du gouvernement qu’il cesse cette politique conduisant à la casse du fret ferroviaire, à la dégradation du service public de transport de voyageurs, à la suppression massive d’emplois de cheminots.

Luc Bourduge, Région Auvergne, Jean-paul Pinaud, Région Bourgogne, Gérard Lahellec, Région Bretagne, Jean-Michel Bodin ,Région Centre, Pierre Mathieu, Région Champagne-Ardenne,  Patrick Hatzig, Région Lorraine, Charles Marziani, Région Midi-Pyrénées, Pierre Mouraret, Région Basse-Normandie,  Noël Levillain, Région Haute-Normandie, Gilles Bontemps, Région Pays de Loire, Daniel Beurdeley, Région Picardie

20:34 Publié dans ELUS COMMUNISTES | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : transport, sncf, régions, pcf | |  Imprimer |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook | | Pin it!

CETTE SEMAINE DANS L'HUMANITE DIMANCHE

Á LA UNE DE VOTRE HEBDOMADAIRE

RETRAITE À 60 ANS
Le 12 avril, la bataille commence : analyse des enjeux et décryptage de la propagande gouvernementale.

VIVÉO
Les informaticiens du leader français du progiciel bancaire découvrent un bug dans le capitalisme.

HÔPITAUX DE PARIS
Pour justifier les 4000 suppressions d’emplois d’ici à 2012, l’État sort un rapport à charge. Décryptage.

POLITIQUE
Quand la droite sort de Gaulle du trou où elle l’avait enterré.

EXPERTISE
Comment est-on entré dans une « démocratie de l’abstention » ?
Par Céline Braconnier, maître de conférences en sciences-politiques.

VIOLENCES À TREMBLAY-EN-FRANCE
« Tant que les jeunes verront leurs parents travailler dur sans s’en sortir… »
Entretien avec le maire, François Asensi.

MAIN BASSE SUR LE RIZ
Un documentaire, diffusé sur Arte, qui revient sur les émeutes de la faim, la spéculation, les pénuries, la corruption.
Entretien avec le journaliste Jean Crépu qui a remonté la filière pour comprendre.

DISSUASION NUCLÉAIRE
Ce que révèle la nouvelle stratégie nucléaire de Barack Obama.

CINÉMA
Avec Ajami, deux cinéastes israéliens, Scandar Copti et Yaron Shani, montrent comment l’État israélien s’est acharné à détruire l’identité palestinienne. Rencontre.

COUPE DE FRANCE DE FOOTBALL
Rencontre avec les petits poucets de l’US Quévilly qui jouent leur place en finale face au PSG.

IL ÉTAIT UNE FOIS… EN 1960
U2, l’avion espion américain est abattu par les Soviétiques.

RÉFLEXIONS DE L’ÉCRIVAIN CLAUDE RIBBE
Haïti : 10 milliards, le prix d’une mainmise politique ?


10:36 Publié dans MEDIAS | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : humanité dimanche | |  Imprimer |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook | | Pin it!

07/04/2010

FONCTION PUBLIQUE / LETTRE OUVERTE

       laurent036.jpgMonsieur Georges TRON,  Secrétaire d’Etat,

En tant qu’élus de l’Essonne, nous vous transmettons nos félicitations républicaines pour votre nomination au gouvernement. Nous vous jugerons évidemment sur vos actes. Mais déjà disons-le : malgré l’exaspération et la colère que suscite la politique gouvernementale, en témoignent les élections régionales, vous avez indiqué vous situer dans le droit fil de la politique définie par le Président de la République. Ils nous avaient pourtant semblés, lorsque vous n’étiez pas encore en charge ministérielle, vous avoir entendu critiquer certains traits des politiques et des méthodes gouvernementales. Aujourd’hui en charge de la fonction publique, vous allez assumer solidairement les saignées de personnels programmées dans les différentes fonctions publiques, avec comme seule boussole, celle de la Révision Générale des Politiques Publiques.

C’est elle qui est à l’origine des suppressions de postes dans l’Education Nationale, dans les Hôpitaux comme Clémenceau à Champcueil ou Joffre-Dupuytren à Draveil. C’est elle qui restreint comme jamais les moyens publics dont disposent les villes pour faire face à la brutalité sociale qui touche leurs populations, comme par exemple à Grigny. C’est toujours en son nom que vous vous apprêtez à fermer les yeux sur les réformes territoriales dont vous savez que leurs principes recentralisateurs, comptables et anti-démocratiques sont contestés jusque dans les rangs de votre majorité parlementaire.

Monsieur le Secrétaire d’Etat, il est grand temps de mettre un terme aux politiques de suppressions de postes et de réduction de moyens dans la fonction publique afin que ses personnels assurent la plénitude de leurs missions et prennent en compte les besoins de la population et des usagers, ainsi que l’évolution des techniques et l’unicité de notre territoire.

 Vous remerciant par avance de l’attention que vous porterez à notre demande, nous vous prions d’agréer, Monsieur le Secrétaire d’Etat, l’expression de nos salutations respectueuses.

 Marjolaine RAUZE, Philippe CAMO, Jean FLEGEO, Maire de Morsang-sur-Orge Conseiller Régional Maire de Saulx-les-Chartreux, Conseillère Générale d’Ile-de-France

Bruno PIRIOU, Claude VAZQUEZ, Bernard VERA, Conseiller Général Maire de Grigny Sénateur Maire de Briis-sous-Forges, Conseiller Général

17:51 Publié dans ELUS COMMUNISTES | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : fonction publique, élus pcf, tron | |  Imprimer |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook | | Pin it!