04/10/2009
CORBEIL, UNE DROLE D'ELECTION
Au deuxième tour des municipales, le candidat UMP Betcher, présenté par Serge Dassault a gagné de 27 voix face au candidat communiste Michel Nouaille qui a mené une liste de rassemblement de la gauche et des écologistes à l'issue d'une campagne d'un anti communisme hystérique (voir tract).
Tout laisse penser que cette élection, comme la précédente sera annulée face à un nombre d'éléments importants laissant planer le doute sur la régularité et la sincérité de ce scrutin et le très faible écart existant entre les deux listes.
Le résultat complet est le suivant : 21 057 inscrits, 10 674 votants, blancs et nuls : 321, liste Betcher UMP : 5 190 (50,13 %), liste Michel Nouaille, rassemblement de la gauche : 5163 (49,86 %).
La section du PCF d'Evry, les élus communistes de l'agglomération d'Evry, tiennent à saluer la campagne menée avec un courage exemplaire par Michel Nouaille et l'ensemble de son équipe face à une droite haineuse et dangereuse y compris pour les libertés démocratiques fondamentales et républicaines.
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02/10/2009
POSTE : NON MASSIF A LA PRIVATISATION
Participation record et NON massif à la consultation citoyenne initiée par 62 organisations syndicales, associatives et politiques pour s’opposer à la privatisation de la Poste à Evry et sa région.
Près de 200 personnes se sont ainsi exprimées à l’occasion de la fête des associations, autant à l’agora d’Evry (en moins de deux heures, soit un vote toute les 40 secondes), plusieurs centaines ont également votées devant la poste principale (voir photo) et le marché de Courcouronnes. Les premiers résultats sont nets, confirmant le sondage CSA/l’Humanité posant la même question, 99 % des personnes qui ont voté se sont déclarés contre.
Ce refus est d’autant plus fort que beaucoup ont exprimés ainsi également un refus total sur la politique menée par le gouvernement en matière de politique économique et sociale.
Samedi 03 octobre ce vote organisé par la municipalité d’Evry dans 8 bureaux de vote a donné les résultats suivants : 1167 votants, 1120 NON, 44 OUI, 3 blancs et nuls.
Une délégation d’élus composée du maire, Manuel Valls, et de Claudette Chaduteau conseillère municipale communiste a rendu également visite aux postiers pour apporter le plein soutien de la municipalité d’Evry.
A Lisses et Courcouronnes se sont les associations membres du collectif qui ont organisé ce vote contre la volonté des maires UMP.
Pour toute l'Essonne le résultat définitif est le suivant : 46 441 votants, 97% se sont exprimés pour le NON à la privatisation de La Poste.
Sur toute la France ce sont près de 2 millions de votants qui ont été recensés.
17:43 Publié dans ACTUALITES | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : poste, réfrendum, privatisation, evry, lisses, courcouronnes | | Imprimer | del.icio.us | | Digg | Facebook | |
27/09/2009
CORBEIL A GAUCHE TOUTE …
23:11 Publié dans ACTUALITES | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : michel nouaille, pcf, ps, ump, corbeil-essonnes | | Imprimer | del.icio.us | | Digg | Facebook | |
19/09/2009
Fête de L'Humanité : 40% d'adhésions en plus pour le PCF par rapport à 2008
"Alors que Marie-George Buffet, secrétaire nationale du Parti communiste français lançait un appel à toute la gauche pour débattre d'un projet à gauche, 1.450 nouvelles adhésions au PCF ont été réalisées, dont 56% de jeunes de moins de 25 ans", annonce le Parti dans un communiqué. "C'est 40% de plus que lors de la dernière fête de l'Humanité", précise-t-il.
Depuis janvier, le PCF dit avoir enregistré 5.000 nouvelles adhésions et assure qu'à la fin de l'année, "il aura réalisé près de 40% d'adhésions en plus par rapport à 2008".
"Avec ses 135.000 adhérents, le Parti communiste français confirme qu'il est la troisième force politique de France, derrière l'UMP et le Parti socialiste", conclut-il.
La Fête de L'Huma 2009 a battu des records d'affluence avec 600.000 personnes recensées sur trois jours, 20% de plus qu'en 2008.
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15/09/2009
Record d’affluence, record de débats, record de fraternité
Dès vendredi en fin d’après-midi, il apparaissait clairement que la Fête de l’Huma 2009 serait une grande cuvée. Une foule joyeuse et juvénile se massait aux portes d’entrée, les navettes étaient vite débordées, beaucoup redécouvraient les charmes de la marche à pied pour arriver à temps au concert de Manu Chao. Le chanteur rebelle n’était pas pour rien dans ce démarrage en trombe de la Fête, mais les badges, les conversations, les emportements des jeunes envahisseurs du parc de La Courneuve témoignaient d’une certitude : on a beau de pas être sérieux quand on a dix-sept ans, on ne vient pas écouter Manu Chao à la Fête de l’Huma sans être habité d’une certaine colère contre l’ordre établi. Le dimanche soir, les premiers comptes étaient éloquents : quelque six cent mille personnes, en hausse sensible par rapport aux dernières années, toutes pourtant couronnées de succès.
Dans les stands des fédérations départementales du PCF, les militants font le même constat, éprouvent la même satisfaction : ils ont dû affréter plus de bus. L’ambiance est chaleureuse, les conversations animées. On parle le plus souvent politique. Les mêmes thèmes rebondissent de table en table, de groupe en groupe : la violence de la politique de la droite, les restructurations, les vagues de licenciements… « On a le sentiment de faire de la résistance, mais pas de se battre pour des avancées », constate une infirmière après avoir apposé sa signature sur la pétition contre la privatisation de La Poste devant le stand des communistes de Champigny, dans le Val-de-Marne.
La mobilisation contre le projet du gouvernement fut un des traits marquants de la Fête. Des urnes sont installées dans toutes les allées. On se presse pour signer. Ainsi est lancée la journée de votation du 3 octobre, que préparent dans toute la France élus de gauche, syndicats, associations de défense des services publics. Colère sociale, esprit de résistance, besoin d’unité pour empêcher les mauvais coups, la Fête de l’Huma avait la couleur des luttes, rouge comme le tee-shirt vedette porté par des milliers de visiteurs contre la grippe cApitaliste. Colère et solidarité avec les travailleurs en lutte, avec les Continental et notamment les six salariés condamnés, avec les ouvriers de Molex qui refusent la liquidation du site par un groupe américain. « Quand les patrons sont des sauvages, les salariés ne sont pas des anges » peut-on lire sur le fronton d’un stand. La Fête de l’Huma fut le carrefour et la caisse de résonance des conflits sociaux, exceptionnelle occasion de réfléchir ensemble, de tirer les leçons des expériences. Toute la matinée de dimanche, le colloque organisé à l’agora a rassemblé des centaines de salariés. La veille, le syndicaliste Élie Domota, qui préside le Liynnaj Kont Pwofitasyon (LKP) de Guadeloupe y reçut en accueil enthousiaste. Au forum social, les débats ont fait salle comble, notamment celui auquel participait Bernard Thibault.
Aucun journal autre que celui fondé par Jean Jaurès - dont on célébrait le 150e anniversaire de la naissance - n’a la capacité - ni sans doute la volonté - de rassembler des centaines de milliers de citoyens - et de faire se rencontrer et se confronter des responsables politiques d’opinions différentes - c’est vrai au sein des forces de gauche - mais aussi opposées. Il y avait ce week-end à La Courneuve Jean-Luc Mélenchon, le leader du Parti du gauche, allié du PCF au sein du Front de gauche., Martine Aubry, accompagnée de Claude Bartolone, qui rencontra Marie-George Buffet et Pierre Laurent. Mais la tâche est plus délicate quand il s’agit de débattre avec des représentants de la droite. Dimanche, en fin d’après-midi, un débat contradictoire avec la participation du ministre du Budget, Éric Woerth, a provoqué un bruyant tohu-bohu de la part d’une petite partie de l’assistance d’une agora archicomble. Le ministre UMP fut copieusement sifflé… La veille Frédéric Mitterrand qui visitait la Fête, entouré d’une foule de journalistes, avait été accueilli par des lazzis lancés par les mêmes.
Si ces incidents ont pu faire le miel de caméras, fête politique, fête du débat politique, l’édition 2009 de la Fête de l’Humanité aura battu tous les records d’affluence aux forums organisés le long des allées. On débat partout, à quelques dizaines au fond des stands, à plusieurs centaines, voire à plus de mille à l’agora. Une question domine : comment ouvrir une perspective à gauche pour donner du poids aux luttes sociales et à la résistance à la politique de Nicolas Sarkozy ? Cette perspective fait bigrement défaut aux militants. « Avant, on savait pour quel projet on se battait, le programme commun (1972 NDLR) avait des défauts, mais on savait quoi dire », s’inquiète un ouvrier tourneur de Moselle. La campagne des européennes avec la création du Front de gauche a redonné du tonus aux militants. Dans le stand de la Seine-Maritime, Jacky Hénin, réélu au Parlement européen, est chaudement applaudi quand il appelle à la mobilisation pour les prochaines élections régionales « avec un Front de gauche qu’il faut élargir ». Mais quelques dizaines de mètres plus loin dans la même allée, un élu régional de Lorraine souhaite la reconduction d’une liste commune avec le PS dès le premier tour. « Nous avons un bilan positif au sein de l’exécutif régional », plaide-t-il.
Une exigence d’unité a parcouru cette Fête, chacun est convaincu qu’il faut barrer la route à la droite dans les régions, dont 20 sur 22 sont détenues par des coalitions de gauche. Mais le débat porte sur les contours du rassemblement au premier tour du scrutin. Plusieurs rencontres publiques ont lieu, à l’agora entre tous les partis de gauche et des responsables syndicaux et associatifs, au stand du Parti de gauche entre les responsables des formations du Front de gauche. Les communistes, ont répété Marie-George Buffet et Pierre Laurent, veulent poursuivre et élargir le Front de gauche et proposent un vaste débat d’idées sur le projet, sous la forme d’ateliers sur les questions clés d’une politique de gauche. Pour cet échange, on ne saurait exclure aucune force à gauche. En novembre, le PCF tirera les conclusions de ce travail. Et quels que soient les contours du rassemblement au premier tour, toute la gauche fera front face à la droite au second tour, Et Marie-George Buffet de souhaiter que les conditions soient réalisées pour que les exécutifs régionaux soient composés d’élus de gauche dans toutes ses composantes. De son côté, Jean-Luc Mélenchon est favorable à un débat en atelier entre les seules composantes du Front de gauche puis à un éventuel accord avec le PS. Les discussions de l’automne seront déterminantes pour la stratégie électorale, mais chacun, du PCF au PG, est convaincu de la nécessaire pérennité de la politique de front de gauche.
Jean-Paul Piérot pour l'Humanité, photos et vidéos exclusives E-Mosaïque
09:38 Publié dans ACTUALITES | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : fête de l'huma, 2009 | | Imprimer | del.icio.us | | Digg | Facebook | |
14/09/2009
AVANT CORBEIL, CARCASSONNE, LA GAUCHE RASSEMBLEE GAGNE !
"SANS LES COMMUNISTES NOUS NE SERIONS PAS LA CE SOIR" A DECLARE LE NOUVEAU MAIRE DE CARCASSONNE. A MEDITER AU MEME MOMENT OU A CORBEIL POUR BATTRE LA LISTE DE RASSEMBLEMENT DE LA GAUCHE MENEE PAR MICHEL NOUAILLE, LE PARTI SOCIALISTE FAIT LE GRAND ECART APRES AVOIR TENTE DE FUSIONNER AVEC LE MODEM, IL N'A PAS HESITE A S'ALLIER AVEC UNE PARTIE DE L'UMP DONT UN MAIRE ADJOINT RESPONSABLE DE LA SUPPRESSION DU CENTRE DE SANTE. LA LISTE DU PS EST MENE PAR LE SECRETAIRE FEDERAL DU PS DE L'ESSONNE.
L'article suivant a été publié par le Midi Libre.
« 26 ans après. » Les trois mots ne cessent de revenir dans le discours de Jean-Claude Pérez. 26 ans que la gauche attendait de revenir à la tête de la mairie de Carcassonne, depuis la première élection du gaulliste Raymond Chesa. Sur le balcon de sa permanence, hier soir, le député de Carcassonne savoure la victoire, indiscutable, « que toute une génération attendait ». Après un 1er tour achevé avec six points d’avance, Jean-Claude Pérez a bouclé le 2nd tour avec 54,03 %, contre 45,67 % pour Gérard Larrat. Colossale avance de huit points traduite dans les bureaux de vote carcassonnais, 18 mois après une municipale où les deux hommes n’étaient, au final, séparés que de 56 voix.
Là où, en mars 2008, Gérard Larrat avait emporté l’avantage dans 22 bureaux sur 38, Jean-Claude
Pérez s’est imposé, hier, dans 29 bureaux. Une victoire reconnue par Gérard Larrat, bien avant l’officialisation des résultats. Avec 8 467 voix, il ne parvient pas à égaler son score... du 1er tour de 2008.
La preuve par les chiffres que ces abstentionnistes tant sollicités lors de l’entre-deux tours n’ont pas répondu à l’appel. Dans sa réaction, le maire sortant assurera avoir « sorti la ville de l’immobilisme ». Mais n’oubliera pas de pointer « l’opposition qui s’est imposée même dans mon camp, dans le but de me faire chuter. On comprend que ma tâche était très difficile ». Une tâche impossible, face à un raz-de-marée obtenu dans un second tour où l’abstention aura donc encore largement pris sa place. Plus de 11 000 des 30 441 électeurs carcassonnais ont boudé les urnes, avec un taux de 36,7 % d’abstention (42,31 % au 1er tour).
Au soir de sa victoire, tout à sa joie de confirmer le vote du 1er tour, Jean-Claude Pérez soulignait le chemin parcouru depuis mars 2008, et insistait sur la légitimité du recours intenté : « Quand on vole une élection, la démocratie est bafouée. Il est inacceptable qu’en République, on vole la victoire à l’équipe qui avait gagné. »
Une équipe une dernière fois saluée par la tête de liste, avec, à ses côtés, Henry Garino, et ses 26 ans dans l’opposition : « Sans les communistes, nous ne serions pas là ce soir. » Des alliés de toujours vantés, et une ouverture aux vertus rappelées, avec, à ses côtés, le président de la CCI René Escourrou ou l’ancienne adjointe de Raymond Chesa Janine Vincent. De quoi l’autoriser à célébrer la « réconciliation des Carcassonnais ».
Hélène Mandroux, maire de Montpellier, a réagi hier soir à la victoire de Jean-Claude Perez : « Cette victoire est une formidable bouffée d'air frais pour notre région et notre pays. C'est la victoire de la conviction et de la force de l'engagement, qui prouve bien que c'est réunie que la gauche peut l'emporter. J'avais tenu personnellement à soutenir Jean-Claude Perez durant sa campagne de proximité, et j'ai encore pu constater le formidable espoir qu'il incarnait déjà pour les Carcassonnais. »
10:21 Publié dans ACTUALITES | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : carcassonne, ps, pcf, corbeil | | Imprimer | del.icio.us | | Digg | Facebook | |
12/09/2009
Buffet (PCF): "ouvrons grand les portes et les fenêtres" pour un "projet"
Marie-George Buffet, secrétaire nationale du PCF, a déclaré vendredi qu'il fallait ouvrir "grand les portes et les fenêtres" pour discuter d'un "projet" à gauche et ainsi trouver des "majorités" lors des prochaines élections.
Le Front de gauche -constitué avec le Parti de gauche de Jean-Luc Mélenchon pour les européennes- "ne doit pas être cantonné à une frontière", a-t-elle affirmé, lors d'une conférence de presse sur le stand du PCF de la Fête de L'Huma à La Courneuve (Seine-Sainte-Denis) où étaient distribués des T-shirts "Stoppons la grippe capitAliste" (avec un A majuscule).
"Ouvrons grand les portes et les fenêtres (...) et on verra jusqu'où le jardin ira", a-t-elle poursuivi, appelant au "débat sur le projet" qui doit "vivre au coeur du mouvement social et des luttes". "L'objectif est de viser des majorités à gauche", notamment aux régionales pour lesquelles le PCF proposera une "offre politique nationale" le 24 octobre.
Mme Buffet qui arborait un autocollant "privatiser La Poste, faut être timbré", accueillera samedi la plupart des responsables de gauche dont M. Mélenchon, Cécile Duflot (Verts), Arlette Laguiller ou Nathalie Arthaud (LO). Martine Aubry (PS) sera reçue dimanche matin tandis qu'Olivier Besancenot (NPA) est, lui, attendu samedi après-midi dans les allées.
Mme Buffet a mis en avant les "sept ateliers thématiques" proposés par le PCF en octobre, auxquels sont notamment conviés les socialistes.
"On ne peut pas exclure une force de gauche a priori", a-t-elle répondu aux critiques de M. Mélenchon (ex-PS) qui refuse sur son blog toute "plate-forme partagée avec le PS".
"On n'est pas dans un bras-de-fer avec Marie-George", a assuré vendredi M. Mélenchon sur le stand de son Parti de gauche, entre deux dédicaces de son nouveau livre "l'autre gauche" (édition Bruno Leprince).
Soulignant que le Front de gauche "est un acquis", l'eurodéputé qui a choisi de dormir dans un camping-car sur le site de la Fête, a affirmé que "l'axe stratégique, c'est le PCF. Je ne lâcherai pas ça".
Mais selon M. Mélenchon qui s'est prononcé, avec le NPA, pour des listes indépendantes du PS au premier tour des régionales, "le PCF est destabilisé par ceux qui veulent des listes autonomes et ceux qui n'en veulent pas".
Olivier Dartigolles, porte-parole du PCF, a assuré qu'il n'y aurait "pas de mano a mano PCF-Parti de gauche" à la Fête de L'Huma, déplorant une "dramatisation excessive". Pierre Laurent, coordinateur national du Parti, a noté une certaine "fébrilité" de M. Mélenchon, tout en se disant "extrêmement confiant sur la dynamique" du Front de gauche.
La Fête de L'Huma se poursuit jusqu'à dimanche, avec de nombreux débats et concerts, dont le très attendu Manu Chao vendredi soir.
10:39 Publié dans ACTUALITES | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : buffet, huma, fête, gauche | | Imprimer | del.icio.us | | Digg | Facebook | |