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04/09/2013

RETRAITE : Toujours la même petite rengaine…

retraite4.jpgLes gouvernements passent et quand on parle retraite on entend toujours la même chanson, la musique change mais les paroles restent !

C’est parce que cela coûte trop cher au pays ? Mais En 1960, 13% de la richesse du pays était consacrée aux retraites contre 13,2% aujourd’hui !

C’est parce qu’ il y a moins d’actifs par rapport aux retraités ? Mais en deux siècles la richesse par habitant a été multipliée par 8.

Aujourd’hui un salarié travaille 2 fois moins, et produit 16 fois plus que celui ou celle du début du 19 ème siècle !

N’oublions pas le trop «fameux » On vit plus longtemps !!! Mais c’est le partage de la richesse produite, la baisse du temps de travail et la retraite à 60 ans qui ont permis l’augmentation de l’espérance de vie !

Aujourd’hui, « l’espérance de vie en bonne santé » (c’est-à-dire sans incapacité majeure) diminue. Les plus dures années au travail sont entre 60 et 65 ans. Les meilleures années de la retraite sont entre 60 et 65 ans !

Un recul de l’âge de la retraite a des conséquences néfastes sur cette espérance de vie.

Cela n’empêche pas le gouvernement de vouloir augmenter la durée de cotisation à 43 ans en 2035. Prenons par exemple, un enfant né en 1973. Ses parents font tout pour qu'il fasse des études. Il rentre à 25 ans dans le monde du travail. Rêvons qu’il ait une chance inouïe de ne jamais passer par la case chômage ou stages, eh bien, il ne pourra prendre sa retraite à taux plein qu’à 68 ANS !

En fait, LE problème c’est le partage des richesses ! Chaque année 30 milliards d’exonérations de cotisations pour les patrons, 80 milliards de fraudes fiscales qui échappent à l’Etat, 20 milliards de crédits d’impôts « compétitivité » pour les patrons….

Mais le gouvernement augmente nos cotisations retraites de 0.15 % diminuant d’autant notre pouvoir d’achat et diminuant d’autant les chances de reprise!

Il manquera 22 milliards pour financer nos retraites. Alors, faites vous-même la soustraction et descendez dans la rue faire entendre votre chanson !!!

TRIBUNE PUBLIE DANS LE BULLETIN MUNICIPAL

Groupe des élus Communistes de la Ville d'Evry -D.DIAZ – C.PIGAGLIO – E.YAGMUR

02/09/2013

Université d'été du Pcf : Pierre Laurent : "Ne joignez pas la France à l’escalade guerrière !"

syrie, pcf, chômage, pierre laurent, sondages, intervention militaire, universités d'été, réforme des retraites, karellis, militants communistessyrie, pcf, chômage, pierre laurent, sondages, intervention militaire, universités d'été, réforme des retraites, karellis, militants communistesDans son discours à l’université d’été du PCF, hier, le secrétaire national est revenu sur les enjeux des retraites, de la menace de guerre en Syrie et du rassemblement à gauche.

«Nous voulions une université d’été de mobilisation. Le pari est tenu », a estimé, hier, Pierre Laurent, en conclusion des travaux des participants aux Karellis, en Savoie.

L’occasion, pour le secrétaire national du PCF, de s’attarder sur les sujets brûlants de la rentrée, et en premier lieu la menace d’intervention militaire en Syrie. Si celle-ci « devait se déclencher », ce serait une « lourde faute politique, diplomatique, humanitaire », a-t-il mis en garde, en lançant un « nouvel appel à la raison à François Hollande » : « Écoutez les Français majoritairement hostiles à cette intervention ! Ne joignez pas la France à cette escalade guerrière ! » Le secrétaire national du PCF a réitéré « solennellement » sa demande d’un vote au Parlement : « Mercredi, (…) le Parlement ne doit pas être informé, il doit être saisi du choix et voter. » Pierre Laurent a rappelé les « raisons de (l’)opposition déterminée » des communistes « au choix de la guerre ». « Nous ne croyons en rien que les frappes américaines appuyées par la France en dehors de tout mandat international soient une réponse appropriée pour stopper le massacre et protéger le peuple syrien. (…) Le pays bascule dans une guerre civile où le peuple syrien est sacrifié derrière l’affrontement d’intérêts de puissance, dont la Syrie devient une ligne de front et un point de fixation. (…)

Ce que nous attendons de la France, ce n’est pas qu’elle souffle sur le feu déjà brûlant, c’est qu’elle multiplie les initiatives pour la cessation des hostilités », à travers la « convocation d’un sommet de tous les belligérants » pour un « plan de transition politique et démocratique pour la Syrie ».

Le dirigeant communiste a ensuite abordé la question de la réforme des retraites : « Nous n’acceptons pas que la gauche emboîte le pas à la réforme Fillon-Sarkozy, (…) Pousser les gens à travailler plus longtemps, à les user au travail, c’est préparer un recul de l’espérance de vie. »

 Les parlementaires du Front de gauche se battront donc pour le retour à « la retraite à 60 ans » et une « réforme du financement » qui passe notamment par la « remise à plat de toutes les exonérations de cotisation patronales », une « modulation des cotisations incitative à la création d’emplois » et « une mise à contribution des revenus financiers ».

 Enfin, le secrétaire national du PCF a abordé la question du rassemblement, qui a créé des remous aux dernières estivales du Front de gauche, la semaine précédente. « Si nous voulons imposer les changements nécessaires, seul le chemin du rassemblement à gauche pour de nouveaux choix politiques, le chemin du rassemblement populaire le plus large et le plus actif possible, peut nous y conduire. Rien ne doit nous détourner de cette ambition. (…) Alors, on nous somme de choisir. Le Front de gauche ou le rassemblement de la gauche ?

 Nous, nous voulons tout. (…) Nous avons fait l’un, le Front de gauche, pour pouvoir reconstruire l’autre sur des bases solides, durables, pérennes, (…) voilà le seul débat qui m’intéresse », a souligné Pierre Laurent, déclarant faire « confiance aux communistes pour faire les choix les plus appropriés » aux municipales pour « battre la droite » et faire « réélire des majorités de gauche ».


Universités d'été du PCF, discours de clôture... par ledauphinelib

30/08/2013

Non à une intervention militaire de la France en Syrie

humagerresyrie.jpgPETITION PROPOSEE PAR LE JOURNAL L'HUMANITE

L’utilisation d’armes chimiques, dont ont témoigné de nombreux médecins dans un quartier de Damas le 21 août 2013, a fait franchir à la Syrie un nouveau palier dans l’horreur. Depuis deux ans, la confrontation provoquée par le régime de Bachar Al Assad, qui a refusé d’entendre les revendications populaires de démocratie, affiche un bilan effroyable : 100 000 morts, plusieurs millions de réfugiés, dont un million d’enfants, un pays dévasté, des villes détruites, une population prise en otage par les affrontements internes soutenus par les différents Etats de la région.

pétition,syrie,l'humanitéUne intervention militaire des états-Unis et de leurs alliés, dont la France, ferait courir le risque d’une nouvelle escalade de la violence, d’un embrasement régional favorisant un recours sans limites aux armes de destruction massive, notamment chimiques. Ajouter la guerre à la guerre serait la pire des solutions. Nous exigeons que la France ne participe pas à une intervention militaire en Syrie.

Le conflit en Syrie est devenu une crise géopolitique internationale. Une pression diplomatique vigoureuse doit s’exercer pour obtenir l’arrêt des hostilités et la mise en oeuvre d’une transition démocratique garantissant l’intégrité du pays. Un sommet réunissant sous la responsabilité de l’ONU les parties en conflit et les principales puissances impliquées pourrait tracer les contours d’un règlement politique. Il n’y a pas d’autre voie.

pen1.gifSIGNEZ LA PETITION

16:00 Publié dans ACTUALITES, MEDIAS, Pétition | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : pétition, syrie, l'humanité | |  Imprimer |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook | | Pin it!

29/08/2013

Ensemble, défendons nos retraites ! Signez l'appel !

réforme des retraites, appelLors de la Conférence sociale du 20 juin, François Hollande a annoncé que, dans le cadre de la prochaine réforme des retraites, l’allongement de la durée de cotisation sera « la mesure la plus juste » face à « cette chance formidable qu’est l’allongement de l’espérance de la vie ».

Cette voie n’est pas acceptable. Les réformes de 1993, 2003, 2007 et 2010 ont déjà réduit les droits à pensions de plus de 30 %, en aggravant les inégalités déjà fortes entre les pensions des femmes et celles des hommes. Elles doivent donc être remises en cause.

>>> SIGNEZ L'APPEL !

Refusons les régressions sociales

« On vit plus vieux, il faut donc travailler plus longtemps », tel est l’argument qu’on nous rabâche. Mais on oublie de préciser qu’augmenter la durée de cotisation, c’est en réalité programmer la baisse des pensions. Baisse immédiate pour tous ceux – chaque année plus de la moitié des nouveaux retraités – qui passent directement du chômage, ou de l’inactivité, à la retraite, et qui ne pourront jamais atteindre cette durée. Baisse à venir pour les nouvelles générations entrées plus tard dans la vie professionnelle du fait de l’allongement des études et qui connaissent déjà un chômage massif, aggravé par l’incitation faite aux seniors qui le peuvent de prolonger leur activité. On oublie aussi de rappeler que l’allongement de la durée de cotisation et la décote pénalisent plus fortement les personnes aux carrières courtes, en majorité des femmes.
L’espérance de vie augmente, mais l’espérance de vie en bonne santé, elle, diminue depuis plusieurs années. La souffrance au travail se développe, de nouvelles pathologies apparaissent. Les plus dures années au travail sont entre 60 et 65 ans. Les meilleures années de la retraite sont entre 60 et 65 ans. L’allongement de la durée de cotisation, c’est la double peine. Nous ne pouvons pas l’accepter.
 
L’austérité sans fin est suicidaire

réforme des retraites, appelLe gouvernement justifie cette nouvelle réforme par l’allongement de la durée de vie. Mais le déficit actuel ne doit rien au vieillissement de la population. Il s’explique par la récession qui se creuse en Europe, détruit des millions d’emplois et diminue les cotisations sociales induites par l’emploi. Cette récession provient essentiellement des politiques de réduction des dépenses publiques et de baisse du « coût du travail » menées partout en Europe par les gouvernements en accord avec la Commission. 
Si, comme cela semble être le cas, le gouvernement inscrit la réforme dans le cadre de ces politiques, il ne pourra que retenir des pistes entraînant une nouvelle baisse du niveau des pensions. Ce qui diminuerait encore le pouvoir d’achat des retraités, aggraverait la récession et entraînerait une nouvelle hausse du chômage. Sans qu’au bout du compte les déficits ne soient  réduits !
 
Il est possible de faire autrement

L’augmentation de l’espérance de vie ne date pas d’aujourd’hui. Par le passé, elle s’est accompagnée d’une diminution du temps passé au travail et d’une amélioration du niveau de vie, grâce à un partage de la richesse produite. C’est à nouveau la voie à suivre.
Pour augmenter le volume des cotisations sociales, il faut en finir avec l’austérité, relancer l’emploi par une réduction du temps de travail, une sécurisation de l’emploi, de la formation et du revenu, une augmentation des minima sociaux, une politique audacieuse d’investissement en matière sociale et écologique. Une voie supplémentaire, toujours négligée, pour répondre au besoin de financement des retraites, est la réalisation de l’égalité professionnelle entre les femmes et les hommes, à la fois par l’accroissement du taux d’activité des femmes, la suppression des inégalités salariales et la lutte contre le temps partiel subi. Il s’agit là de choix politiques de justice et de solidarité.
Il y a plus de retraité-es ? A moins de décréter leur paupérisation, il est normal de financer leurs retraites en augmentant leur part dans la richesse produite. Selon le Conseil d’orientation des retraites, il faudrait, à législation inchangée, un point de PIB supplémentaire en 2020 pour équilibrer le système de retraite alors que la part des salaires a chuté d’environ 6 points au cours des dernières décennies en faveur des dividendes.
 
Pour une large mobilisation citoyenne

réforme des retraites, appelLa question des retraites pose celle de la société dans laquelle nous voulons vivre. La retraite à 60 ans par répartition n’est pas un fardeau, elle est une transmission continue et solidaire de la prise en charge d’une génération par la suivante.

C’est pourquoi elle dépend aussi de l’avenir que la société sera capable d’offrir aux jeunes générations. Nous ne pouvons accepter la paupérisation programmée des futurs retraité-es, la destruction des solidarités sociales, l’idéologie absurde du « travailler toujours plus » dans une société productiviste et inégalitaire.

 Cet engrenage favorise l’extrême droite et menace à terme la démocratie. Comme en Europe du Sud et dans bien d’autres pays du monde, la société doit se mettre en mouvement. Pour y contribuer nous organiserons partout des réunions, des initiatives de rue, des ateliers d’éducation populaire et nous soutiendrons les initiatives prises par le mouvement syndical. Nous voulons un système de retraites solidaire.

Pas un trimestre de plus, pas un euro de moins !

Le Collectif Retraites 2013

>>> SIGNEZ L'APPEL !

26/08/2013

Estivales du Front de gauche : les discours de Pierre Laurent et Jean-Luc Mélenchon (audio)

La radio de gauche a mis en ligne les enregistrements audio des discours Pierre Laurent, secrétaire national du PCF et de Jean-Luc Mélenchon, co-président du parti de gauche. Des prises de paroles qui ont eu lieu ce dimanche à Saint-Martin-d’Hères , en clôture des estivales du Front de gauche.

  • Le discours de Pierre Laurent

  • Le discours de Jean-Luc Mélenchon

24/08/2013

Interview Pierre Laurent, secrétaire national du PCF, défend une critique du gouvernement moins frontale que celle de Jean-Luc Mélenchon.

plaurentestivales.jpgPar LILIAN ALEMAGNA
Libération
Cet été, votre parti n’a pas lâché l’exécutif. Sur quoi l’attendez-vous ?

Puisqu’il a décidé de préparer la France de 2025, le gouvernement doit rompre avec deux grandes impasses : sa politique d’austérité qui étouffe l’activité ; le dogme de la compétitivité qui ne sert qu’à renforcer les revenus financiers des actionnaires. Si le gouvernement ne s’y attaque pas, son antidéclinisme ne sera que de belles paroles.

Votre visite à l’Elysée avant vos congés ne vous a pas rassuré ?

Le chef de l’Etat reste sur les mêmes rails. La France n’est pas un bouchon au fil de l’eau qui devrait s’adapter aux grands flots de la mondialisation. Nous sommes un grand pays capable de désarmer la finance, relancer notre économie et les services publics. Ces ambitions restent absentes.

L’été a été rythmé par Manuel Valls

L’été de Manuel Valls a été calamiteux. Que ce soit sur la sécurité, l’islam, la réforme pénale ou le regroupement familial, ses déclarations sont à l’opposé des valeurs de la gauche. Ses propositions sont aussi d’une grande pauvreté. Sur la loi pénale, Christiane Taubira a raison : il faut remettre en cause le tout-prison. C’est un échec qui nourrit la récidive. Et pour développer des peines alternatives, il faut des moyens. Preuve supplémentaire que la politique d’austérité actuelle est un obstacle à une politique de gauche ambitieuse.

Vous êtes loin du ton de Jean-Luc Mélenchon pour qui Valls a été «contaminé» par Le Pen…

Le Front de gauche a un diagnostic partagé sur l’impasse politique gouvernementale et la nécessité de construire une alternative. Mais nous avons des approches différentes sur la manière d’avancer. Pour moi, les maîtres mots doivent être «mobilisation citoyenne», «rassemblement» et «construction». Face aux échecs et au dégoût de la politique qui menace, nous devons aider au rassemblement sur des solutions de gauche. Pour convaincre, nous ne devons pas confondre la colère et la radicalité nécessaire avec la provocation et l’invective.

La rentrée du PCF se fera aussi sur les retraites ?

La gauche doit avoir un autre choix de société que la droite qui s’est attaquée à notre niveau de protection sociale. Jusqu’à ses 25 ans, l’homme doit pouvoir s’éduquer, se former et avoir accès à la culture. Jusqu’à ses 60 ans, chaque individu doit pouvoir bénéficier d’un emploi de qualité, sans temps partiel contraint. Et enfin, chacun doit avoir droit à une retraite, être en bonne santé, avec un autre rythme de vie, pour être utile à la société.

Avec quel argent ?

Allonger la durée de cotisations abaissera le niveau des pensions. Ce serait une nouvelle injustice. Il nous faut trouver de nouvelles ressources, en développant l’emploi, en remettant en cause certaines exonérations de charges sociales et créer une cotisation sur les revenus financiers des entreprises. Ce serait beaucoup moins injuste qu’une augmentation de la CSG.

Le rebond de la croissance ne vous convainc pas ?

Cela reste un chiffre très faible et éphémère. Les fondamentaux de notre économie montrent que nous restons sur une mauvaise pente…

Dans un tel contexte, pourquoi cherchez-vous à faire alliance avec les socialistes aux municipales ?

L’objectif doit rester de faire élire des majorités de gauche en rassemblant communistes, Front de gauche, écologistes, socialistes et forces citoyennes pour empêcher droite et extrême droite de conquérir des villes. Nous savons que ces majorités seront traversées par des débats, c’est pourquoi cette construction d’alliances au premier ou au second tour doit passer par des projets locaux et de la place pour les élus PCF et Front de gauche.

Vos militants ne vont pas devenir schizophrènes à faire campagne avec le PS en mars puis avec Mélenchon aux européennes en mai ?

Il y a des différences d’appréciation au Front de gauche sur les municipales. Sans dramatiser, nous pensons qu’une stratégie d’union dès le premier tour est possible dans une série de communes pour créer des dynamiques. Pas le PG.

A Paris par exemple ?

A la fin de l’été, nous ferons le point. Puis à la Fête de l’Humanité, nous présenterons dix priorités pour la future mandature à Paris.

Vous demanderiez 15 sièges au PS…

S’il y a accord, il doit prendre en compte la progression du Front de gauche à Paris depuis 2008.

Mais cette différence stratégique avec le PG ne risque-t-elle pas d’affaiblir le Front de gauche ?

Nous sommes une construction politique inscrite dans la durée. Elle est traversée de débats, mais la nécessité d’une alternative aux politiques d’austérité est plus forte. Vous le verrez aux européennes. Nous travaillerons à un non massif à l’austérité et à un oui tout aussi massif à une Europe de solidarité.

Pourquoi refuser à Mélenchon la tête de liste en Ile-de-France ?

Nous n’avons pas encore entamé la discussion sur les listes. Nos députés européens sortants ont vocation à être candidats dans les circonscriptions où ils ont été élus en 2009.

Y a-t-il une chance de voir des communistes au gouvernement avant la fin du quinquennat ?

Une entrée dans un gouvernement supposerait une refonte essentielle des objectifs de la politique gouvernementale.

Dans l'Humanité, les "affiches en regard" s'exposent avec Gérard Paris-Clavel

Chaque jour cet été dans l'Humanité, des affiches de graphistes du monde entier et d'époque différentes accompagnent notre vaste série de grands entretiens consacrée à "penser un monde nouveau". Le graphiste social Gérard Paris-Clavel nous explique "l'affiche en regard", série à laquelle il prête son regard avisé.

Penser un monde nouveau, Gérard Paris-Clavel l'a mis en oeuvre tout au long de ses travaux de graphiste social, d'abord avec le collectif Grapus, dont il fut l'un des membres de 1970 à 1989, avec Pierre Bernard, François Miehe, Jean-Paul Bachollet et Alex Jordan, puis actuellement au sein de l'association Ne Pas Plier. C'est dans ce cadre qu'il a travaillé avec l'Apeis (un aperçu ici).

Ses armes à lui pour penser un monde nouveau sont ces très nombreuses images qui peuplent désormais chaque lutte ou manifestation sociale, syndicale, politique, comme "rêve général" et "je lutte des classes".

Du 21 au 31 décembre 2009, il avait déjà mené un feuilleton graphique dans l'Humanité intitulé "le travail de l'image". Il est à nouveau au coeur de notre série "l'affiche en regard", dont un aperçu se trouve ici.

Stéphane Guérard

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