17/11/2010
SARKOZY : IGNORANT ET MEPRISANT
Marie-George Buffet, ex-secrétaire nationale du PCF, députée de la Seine-St Denis :
Nicolas Sarkozy a "un profond mépris, voire une ignorance des problèmes et des colères des hommes et des femmes qui vivent sur notre territoire". "Quand il parle de dépendance, on a l'impression qu'il y a déjà les assurances avec les rapaces prêts à se faire de l'argent", "ça fait frémir".
"On a entendu un président dire on continue dans les réformes régressives" donc "n'attendez rien" du gouvernement mais "attendez tout du mouvement social!". La gauche, "trop divisée", a la "responsablité de travailler à un projet alternatif pour battre Nicolas Sarkozy".
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15/11/2010
Une nouvelle fin de non recevoir aux attentes populaires
L’annonce du gouvernement Fillon vient de tomber. La surprise est qu’il n’y en a pas, sauf quelques mauvaises, comme l’arrivée des « aboyeurs » de l’UMP et de l’Elysée, Frédéric Lefevre, Pierre Lellouche ou Thierry Mariani , probablement récompensés pour les outrances répétées. Pour le reste, rien, à part le revenant Alain Juppé. On prend les mêmes et on recommence. Il s’agit d’un gouvernement UMP de combat, resserré autour de son chef en vue des échéances de 2012.
L’ouverture, autrefois portée aux nues par le Chef de l’État, a définitivement vécu. Quant aux centristes, on va sans nul doute assister, avec les départs de Jean-Louis Borloo et Hervé Morin, à la tentative de les recycler en opposants de pacotille, histoire de faire oublier leurs soutiens zélés à toutes les réformes sarkozystes.
Le pays est prévenu. C’est une nouvelle fin de non recevoir aux attentes populaires. La mise en scène de ce faux remaniement signe une nouvelle fois le mépris dans lequel Nicolas Sarkozy tient nos concitoyens. Il n’y a aucune illusion à se faire. C’est un gouvernement affaibli et agressif. A ce pouvoir décidément sourd, qui n’a que faire du quotidien des Français, la mobilisation sociale du 23 novembre qui se prépare devra servir très vite de rappel utile.
Pierre Laurent, secrétaire nationale du PCF,
14 novembre 2010.
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13/11/2010
Coconsensus, André Chassaigne
Portrait publié par le journal Libération
André Chassaigne. Chaleureux et bosseur, le député auvergnat PCF défie Mélenchon pour la candidature Front de Gauche en 2012.
C’est un beau gaillard. Un mètre quatre-vingt-dix et plus de cent kilos à la pesée. En boxe, il serait chez les poids lourds. En politique, il vient de passer de la catégorie des légers - dont personne ne connaît le nom - à celle des moyens - à qui les médias entrouvrent quelques portes. Député du Puy-de-Dôme, le communiste André Chassaigne, 60 ans, est sur les rangs pour 2012, «candidat à la candidature» du Front de gauche, cette alliance qui regroupe le PCF et le Parti de gauche de Jean-Luc Mélenchon. «Dédé» - son surnom en Auvergne - s’est déclaré en septembre, en pleine Fête de l’Humanité. On l’a affublé du titre de «missile antiMélenchon», lancé par la direction de son parti pour concurrencer l’ex-socialiste, omniprésent dans les médias, et rassurer des camarades soucieux de voir l’un des leurs défendre la marque PCF. «Je ne suis pas le candidat de la direction», se défend Chassaigne. Et de «lutte» avec Mélenchon, il n’est officiellement pas question. Un «besoin d’illustrer la pluralité du Front de gauche», justifie-t-il un brin langue de bois.
André Chassaigne s’est déjà fait remarquer. Au printemps 2008, en plein débat sur les OGM à l’Assemblée nationale, il réussit à faire passer un amendement, le «252», qui interdit les cultures OGM dans les zones de produits de qualité. Puis, au moment du vote, il fait annuler le texte grâce à une motion de procédure. «A ce moment-là, je me suis dit : "Ce type a du talent", quelqu’un qui ne renonce pas, dit de lui Jean Lassalle, député Modem des Pyrénées-Atlantiques avec qui il s’est lié d’amitié. C’est une espèce politique en voie de disparition. Comme les ours, il faudrait en réintroduire des comme lui dans certaines régions.» Mais sa notoriété est encore faible à côté de Mélenchon.«Je suis un peu un artisan face à une PME», plaisante-t-il. Sans le soutien des «copains députés», il aurait «déjà jeté l’éponge».
Pour rattraper le retard, André Chassaigne multiplie les déplacements. Comme en cette journée de fin d’octobre où il enchaîne l’inauguration d’une gendarmerie dans sa circonscription de Thiers-Ambert, une rencontre avec des militants et, dans le Cantal, des dédicaces de son livre, dans lequel il retrace son «cheminement» de communiste écolo.
Avec sa moustache grise, fournie, sa coupe de cheveux en brosse et ses gros sourcils, l’Auvergnat joue à fond la carte du «sympa». Sourires, humour, un côté «gros ours bien léché» jamais à cours d’anecdotes. Ce fils d’ouvrier, né à la «clinique Michelin» de Clermont-Ferrand, tutoie n’importe qui avec son accent du Forez et ses «an» appuyés. «Il met tout le monde dans sa poche, cherche le consensus», explique Marie-Pierre Vieu, son éditrice et responsable PCF. Son enthousiasme - communicatif - déborde. Ses bras tombant le long du corps lui donnent un air balourd, vite effacé par des gestes rapides, parfois brouillons. Une sorte d’hyperactivité que trahit un tic à l’épaule gauche. «Il se disperse», sourit Corinne, sa collaboratrice depuis treize ans. «C’est un gourmand, poursuit Marie-Pierre Vieu. Il est au mental ce qu’il est au physique : curieux, qui aime la nouveauté. Et un bosseur acharné qui a le sens du collectif.»
Le fief d’André Chassaigne, c’est Saint-Amant-Roche-Savine. Un petit village de 500 habitants entre Clermont-Ferrand et Saint-Etienne. Dans le coin, on tombe sur des Chassaigne depuis le XVIIe siècle. Lui a débarqué à 22 ans avec sa femme, comme lui professeure d’histoire-géographie et de lettres dans un collège dont il est devenu principal. Avant, il a connu les cités Michelin de Clermont avec ses trois frères et sa sœur, l’école publique. «Quand j’avais 9 ans, confie-t-il, un directeur d’école a lancé à mon père : "Bernard et Alain [ses frères, ndlr], vous en ferez quelque chose, le gros vous n’en ferez rien."» Au changement d’établissement, «j’ai bossé, bossé, bossé», jusqu’à réussir le concours de l’Ecole normale à 16 ans. Puis entrer aux Jeunesses communistes.
Ses parents votaient PCF sans avoir la carte. Lui la prend, «subjugué» dans son enfance par un militant handicapé qui vendaitL’Huma Dimanche. Il obtient son premier mandat de conseiller municipal à 27 ans. Six ans plus tard, il devient maire du village, poste qu’il vient de quitter, remplacé par… son fils de 31 ans, éducateur spécialisé et dernier de ses trois enfants. «Je n’étais pas trop pour», glisse-t-il gêné.
Grand-père de trois petites-filles, André Chassaigne a connu tous les mandats locaux avant de décrocher celui de député. Il fut le seul communiste à gagner, en 2002, une circonscription jugée imprenable. En 2007, il double ses voix, rafle plus de 60 %. Même succès aux dernières régionales : 14 % en Auvergne, meilleur score national du Front de gauche. «C’est une personnalité qui dépasse le cadre des partis, décrypte Georges Chometon, ancien président UDF du conseil général du Puy-de-Dôme. Il est collé au terrain, a des amitiés partout. Il aime les gens et ils le ressentent.» «Il prend des voix à tout le monde, ajoute l’Auvergnat Brice Hortefeux. Mais il le fait avec une réelle chaleur qui n’est pas que de l’habileté.»«Je travaille sans sectarisme mais je ne mets pas mon drapeau dans la poche», se défend Chassaigne. «C’est un grand séducteur», ajoute Jean Lassalle. Et un vrai malin. «Il joue au naïf : c’est sa manière de désamorcer les choses», dit Marie-Pierre Vieu.
Chassaigne croit aussi en sa méthode. Une présence permanente sur le terrain, des «conseils de circonscription», un programme pour les régionales construit «par le bas». «Il faut que les gens s’approprient la politique, se défend-t-il. Qu’elle soit une construction collective et ne soit pas une affaire de spécialistes.» Pendant ses rencontres, il note tout ce que lui racontent, ici des cheminots CGT, là des agriculteurs. «Je travaille à l’ancienne», sourit-il dans son petit bureau qui lui sert de permanence à la mairie de son village. Dans le renfoncement d’un mur, il compile dossiers, rapports et articles de presse. «Il ne faut pas aller auprès des gens pour faire avaliser les théories d’une élite intellectuelle, ajoute-t-il. Il faut les faire parler, qu’ils avancent des propositions.» Et que le politique«ne craigne pas de dire qu’il ne sait pas tout». Démago ? Langue de bois ?«C’est comme ça qu’on luttera contre l’abstention», se défend Chassaigne qui veut transposer sa pédagogie politique au plan national. Certains le mettent déjà en garde contre la tentation de troquer par facilité sa «pratique populaire» contre du populisme. Comme lorsqu’il joue au type de la campagne qui fait la morale aux«Parisiens». «J’ai voulu surfer là-dessus, je me suis fait remettre à ma place et à juste raison, concède-t-il. Mais il faut que je sorte de cette image de "type sympa auquel on n’a pas grand-chose à reprocher".»Et profiter de cette candidature pour se tailler un profil de ministrable agricole. Se faire une place chez les poids lourds politiques de 2012.
Photo E-mosaïque
En 8 dates, 2 juillet 1950 Naissance à Clermont-Ferrand, 1966 Adhère aux Jeunesses communistes, 1977 Conseiller municipal, 1983 Elu maire, 2002 Député PCF du Puy-de-Dôme, 2007 Réélu député, Août 2008 Pour une terre commune (Arcane 17), Septembre 2010 Candidat à la candidature Front de gauche pour la présidentielle.
09:51 Publié dans ACTUALITES | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : andré chassaigne, pcf, présidentielle |
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12/11/2010
SAHARA OCCIDENTAL : LE DROIT INTERNATIONAL DOIT ETRE RESPECTE
Le Parti communiste français (PCF) a affirmé que la France et l’Union européenne se doivent de prendre des initiatives « urgentes » pour permettre l’application des résolutions des Nations unies prévoyant l’autodétermination du Sahara occidental.
Le PCF a réagi, dans un communiqué rendu public, à l’assaut des forces militaires marocaines contre le camp abritant quelque 25.000 Sahraouis lundi passé près d’El-Ayoun occupée.
Tout en exprimant son « émotion » et son « indignation », il a affirmé que cette attaque est d’autant « plus condamnable qu’elle intervient au moment où des discussions sur le statut futur du Sahara occidental, entre le Front Polisario et le Maroc, étaient engagées sous l’égide de l’ONU« .
« Dans ce contexte grave, qui exige, depuis près de 20 ans, la tenue d’un référendum d’autodétermination, il est consternant de voir cependant que la France et ses partenaires européens n’ont émis aucune protestation alors que deux parlementaires européens, Jean-Paul Lecoq (PCF) et Willy Meyer (Gauche-Unie d’Espagne) ont été empêchés de se rendre au Sahara occidental pour constater les faits et prendre la mesure des évènements », a relevé le PCF.
Selon lui, « la France et l’UE doivent agir pour une solution politique respectant le droit à l’autodétermination du peuple sahraoui, dans l’intérêt de l’ensemble des peuples de la région ».
L’assaut donné tôt lundi par les forces d’occupation marocaines contre un campement de Sahraouis près d’El Ayoun a fait 19 morts et plus de 700 blessés parmi les civils, selon un bilan provisoire du ministère sahraoui de l’Information. Interpellé mardi par le député communiste Lecoq, le ministre des Affaires étrangères, Bernard Kouchner, avait qualifié de « très graves » les heurts intervenus suite à l’assaut. « Il y a un problème d’urgence parce qu’à El-Ayoun les chocs ont été violents, les incidents très graves », a-t-il déclaré lors d’une séance de questions à l’Assemblée nationale française.
11:10 Publié dans ACTUALITES | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : sahara occidental, droit, pcf |
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11/11/2010
PROMULGUER N'EST PAS GAGNER !
Le président de la République vient de promulguer sa loi portant réforme des retraites, quelques heures seulement après avoir obtenu le feu vert du Conseil constitutionnel.
La précipitation avec laquelle Nicolas Sarkozy a agi n’est pas une preuve de force, loin de là.
La promulgation n’en change pas la nature : cette réforme reste particulièrement injuste et inefficace. Supportée à 85% par les salariés, elles obligera nos concitoyennes et concitoyens et particulièrement les femmes, à travailler jusqu’à 67 ans pour percevoir une retraite dont le financement n’est nullement assuré puisque, déjà, un prochain rendez vous est annoncé pour 2013.
Promulguer n’est pas gagner. Avec sa majorité, le Président de la République est passé en force mais il a perdu la bataille de l’opinion publique. Les français restent majoritairement opposés à cette réforme dont les seuls gagnants sont les plus fortunés et les marchés. La mise à contribution des revenus financiers et des "petits protégés" du MEDEF peut garantir le droit à la retraite pour toutes et tous dès 60 ans à taux plein. Les trépignements du président de la République n’y changeront rien.
Roland Muzeau, Porte Parole des député(e)s communistes, républicains, citoyens.
Paris le 10 Novembre 2010
17:44 Publié dans ELUS COMMUNISTES | Lien permanent | Commentaires (0) |
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10/11/2010
JAPPY : ECHANGES ET LUTTE
A l’appel du PCF, mille personnes s’étaient donnés rendez-vous lundi 8 novembre au Gymnase Japy, dans le 11ème arrondissement de Paris. Une soirée de lutte et d’échanges autour des propositions alternatives portées par le PCF qui témoignait de la combattivité intacte des militants présents.
Deux jours après la huitième mobilisation nationale contre la réforme des retraites, le moment était d’importance. Il s’agissait aussi de faire le point sur le débat à gauche, les prochaines échéances politiques et sociales, pointer l’importance du développement du Font de Gauche et du PCF et de tracer des perspectives politiques face à une droite toujours aussi déterminée à multiplier les mauvais coups.
«La bataille des retraites n’est pas terminée. Le vote de la loi ne tourne pas la page. Ce combat est plus que jamais devant nous », a lancé Pierre Laurent, secrétaire national du PCF, aux plus de mille participants au meeting du PCF organisé lundi soir, au gymnase Japy, à Paris, aux côtés de Marie-George Buffet et d’André Chassaigne, député du Puy-de-Dôme, et candidat à l’investiture du Front de gauche à la présidentielle de 2012. La gauche saura-t-elle se « montrer à la hauteur » de la « puissance de l’exigence populaire qui vient de gagner le pays » ? « Je le dis aux responsables du PS et d’Europe Écologie, si la gauche arrive au pouvoir, elle aura la responsabilité principale de répondre à la question : qui doit payer ? Le capital ou les salariés ?
Eh bien, si la réponse, c’est encore les salariés, ce sera sans nous », a prévenu Pierre Laurent, en invitant à « bousculer le débat cadenassé » des échéances de 2012. « Relancer un projet de transformation sociale » Pour déjouer « le piège » d’une « compétition présidentielle organisée pour brouiller les cartes », la force du Front de gauche devra reposer sur un « programme partagé », sur une force « collective » et non sur « une femme ou un homme providentiel ». « Nous avons lancé le Front de gauche pour cela, pour qu’une démarche ouverte à toutes celles et tous ceux qui veulent relancer un projet de transformation sociale à la hauteur se développe au cœur même de la gauche, jusqu’à transformer toute son ambition politique et sociale », a poursuivi Pierre Laurent, qui a formulé « quatre propositions » pour « passer à la vitesse supérieure » dans l’élaboration du « programme partagé » (voir l’encadré ci-dessous). « Le temps du dialogue vrai et de la co-construction » Une démarche partagée par André Chassaigne qui a invité à « faire de la politique sous la Ve République comme si nous étions déjà sous la VIe République ». En clair : en prenant « le temps du dialogue vrai et de la co-construction des décisions » avec les citoyens. « Nous ne serons pas déçus du voyage », promet le député. Récusant les tentatives de division et les manœuvres visant à « appauvrir le Front de gauche » et à « discréditer sa famille politique » en essayant de faire croire que sa candidature ne serait là que « pour gêner celle de Jean-Luc Mélenchon » ou pour « amuser la galerie », André Chassaigne s’appuie sur son expérience de terrain de co-élaboration démocratique, qui lui a valu de récolter 14 % à la tête de la liste du Front de gauche aux régionales en Auvergne (20 % dans le Puy-de-Dôme). Car, comme l’a souligné Marie-George Buffet, « les militants de gauche, les communistes n’ont pas le temps de jouer perso ou de jouer petit ». Pour elle, la seule compétition qui vaille est celle qui se joue sur le terrain de « l’efficacité des propositions » : « Notre peuple attend de nous que nous nous mettions au boulot. Sachons marier idées révolutionnaires et union pour le changement », a lancé la députée de Seine-Saint-Denis.
09:48 Publié dans ACTUALITES | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : jappy, pierre laurent, pcf |
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09/11/2010
ENSEMBLE SAUVONS MUMIA
M. Abu-Jamal est devenu le symbole international, la «Voix des Sans-Voix», de cette lutte contre la peine capitale et les abus aux droits de l’homme. Il y a plus de 20.000 condamnés en attente d’exécution dans le monde, dont plus de 3.000 dans les couloirs de la mort aux États-Unis.
Le procès de M. Abu-Jamal, qui s’est tenu en 1982, a été entaché de racisme; il s’est déroulé à Philadelphie dans un climat de corruption policière et de discrimination raciale. Amnesty International, lauréat du Prix Nobel de la Paix, a établi « que maints aspects de ce dossier mettent en évidence la violation des droits constitutionnels élémentaires de l’accusé, seuls garants d’un jugement équitable selon le droit international. L’ouverture d’un nouveau procès pour Mumia Abu-Jamal serait dans l’intérêt même de la justice. Un procès qui devra être conforme aux normes internationales de justice et qui exclut toute sentence de mort »
Monsieur Abu-Jamal, journaliste et auteur afro-américain connu dans le monde entier, est dans le couloir de la mort en Pennsylvanie depuis presque trente ans.
13:31 Publié dans ACTUALITES | Lien permanent | Commentaires (0) |
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