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28/11/2014

CONSEIL MUNICIPAL, SCHEMA REGIONAL DE COOPERATION INTERCOMMUNAL : DECLARATION DES ELUS COMMUNISTES

evrycm.jpgL'article 11 de la loi de Modernisation de l'Action Publique et d'Affirmation des Métropoles (MAPAM) du 27 janvier 2014 impose qu'un SRCI (schéma Régional de Coopération Intercommunal ) soit mis en place dans 4 départements (dont l'Essonne) avant le 31 décembre 2015.

L'avis que doit rendre le conseil municipal d'Evry constitue l'une des premières étapes de la concertation précédant l'adoption définitive de ce schéma.

Il se situe dans un contexte où le financement de toutes les collectivités est fortement réduit pour priviléger une aide massive et sans contrepartie accordée aux entreprises contre la création virtuelle d'emplois, qui se traduit en réalité par une explosion des inégalités dans notre pays avec un enrichissement des privilégiés.

L’Association des Maires de France (AMF) a alerté le gouvernement sur l’impact négatif considérable de la baisse des dotations de l’Etat sur l’investissement local, l’emploi et les services de proximité dans les territoires (baisse cumulée de 28 milliards d’euros de 2014 à 2017).

Plus de 13 000 communes ont déjà voté des motions de soutien à l'action menée par l'AMF pour s'opposer à cette baisses aux conséquences dramatiques pour les habitants, l'emploi et les services publics.

Aujourd'hui le conseil municipal doit se prononcer sur le principe de ce schéma. Nous considérons que ce qui est essentiel c'est de défendre avant tout l'intérêt des habitants. Les habitants ont besoin d'un service public de qualité et de proximité toujours plus efficace, de plus de démocratie, de meilleurs transports, de logements, d'une offre d'emplois de qualité, d'une réponse toujours plus pertinente aux besoins culturels et éducatifs.

Un Contrat de Développement Territorial réalisé à partir de la réalité locale doit être la base de la future agglomération. Une charte d'aménagement, d'économie réelle, de l'emploi et de formation, de développement «  soutenable  » et «  durable  » et de solidarité territoriale et financière  ;

  • Des règles de gouvernance partagées au service de coopération des territoires  ;
  • Des mécanismes simples et justes d'intégration fiscale et de solidarité financière.

Pour nous une «  intercommunalité de projet  » s'appuyant sur des communes fortes c'est la garantie d'une démocratie locale effective et vivante.

L'intercommunalité doit impérativement prendre en compte la richesse d'intervention et de réflexion citoyenne des habitants de toutes nos communes à l'image de l'engagement des Evryens dans nos nos conseils de quartier, de nos associations, de nos conseils comme ceux des jeunes, des sages et d'autres, etcLe fonctionnement du Conseil Consultatif des Services Publics Intercommunaux, obligatoire, doit être soutenu et développé.

evry,conseil municipal,shéma de coopérationNous proposons aussi la création d'un conseil économique et social à l'échelle de cette future agglomération composé des représentants sociaux, d'experts, d'élus.

Nous proposons que tous les élus municipaux, communautaires ou non communautaires soient associés à l'activité de l'agglomération dans des commissions ou des groupes de travail spécifiques ou thématiques.

La création de la future agglomération au préalable doit être réfléchie à partir d'un diagnostic partagé faisant ressortir les niveaux qualitatifs et quantitatifs d'équipements, les montants d'endettement, le dynamisme fiscal, les indicateurs sociaux, l'activité, les projets et les perspectives économiques de chaque territoire.

Critiques mais aussi constructifs les élus communistes et républicains d'Evry après cette première étape de concertation attendent des propositions et des réponses à nos demandes.

C'est dans cet esprit que les élus communistes voteront pour l'avis ici présenté.

26/11/2014

JUSTICE ET SOLIDARITE

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JUSTICE

L’Association des maires de France vient d’alerter à nouveau le gouvernement sur l’impact considérable de la baisse des dotations de l’Etat sur l’investissement local, l’emploi et les services de proximité dans les territoires (baisse cumulée de 28 milliards d’euros de 2014 à 2017)

Elle estime que ce prélèvement est incohérent , arbitraire, disproportionné , insupportable.

Cette contribution aura un impact considérable sur le niveau de service rendu aux habitants et les investissements publics  et sera pénalisant pour l’emploi parce que les investissements publics locaux (37 milliards pour le seul bloc communal) qui vont fortement baisser dès 2015. Cela représente déjà une perte de dizaine de milliers d’emplois, dans le BTP par exemple.

Nous partageons cette analyse de cette association représentant tous les Maires de France en ajoutant que cette mesure est aussi injuste parce qu’elle est justifiée par le gouvernement par un cadeau offert aux entreprises de plus de 60 milliards qui n’a permis ni la baisse du désendettement  de la France, ni la création du moindre emploi nouveau mais par contre permet aux riches d’être de plus en plus riches dans notre pays et aux pauvres malheureusement d’être de plus en plus pauvres.

La ville d’Evry va subir elle dans ce cadre en 2015 une saignée de plus d’un million d’€  aux conséquences pour les habitants,  le service public et l’emploi considérables et désastreuses.

SOLIDARITE

tribune,élus pcf,evryLes élus communistes d’Evry ont décidé de parrainer la syndicaliste Marocaine Wafaa Charaf, emprisonnée pour 2 ans après un jugement inique à Tanger.

Elle symbolise la répression que subissent les Syndicalistes dans le monde, y compris en France. Nous vous appelons tous à témoigner  et à signer la pétition que vous trouverez sur notre blog

Merci à toutes et tous

Le groupe des élus communistes et républicains d’Evry

Elise Yagmur, Christian Pigaglio, Diego Diaz

Tribune oubliée sur le bulletin municipal de Novembre

25/11/2014

Florange : L’inauguration d’un bâtiment ne peut faire office de politique industrielle (PCF)

hollande-florange-new_640x280.jpgLe Président de la République François Hollande s’est rendu dans la vallée de la Fensch (57) pour inaugurer l’Institut de la métallurgie. L’inauguration d’un bâtiment ne peut faire office de politique industrielle.

La sidérurgie a besoin d’une relance de la filière liquide qui est indispensable pour assurer l’avenir et d'une politique de recherche ambitieuse libérée des exigences à courts termes du marché.

La population n’oublie pas que François Hollande a renié sa parole de candidat, en participant à la fermeture du haut fourneau d’Hayange, se soumettant ainsi aux exigences de la multinationale Mittal.

Cette capitulation n’a fait que réduire la capacité productive du pays.

Pourtant le besoin d’acier demeure une exigence moderne et à côté des outils existants, de nouveaux devraient permettre d’y faire face. En effet la proposition de création d’une aciérie électrique à Gandrange suppose un investissement de 120 millions d’euros et 60 millions sont nécessaires pour qu’un haut-fourneau puisse à nouveau couler de la fonte, et faire ainsi de la vallée de la Fensch un véritable site intégré de production.

La sidérurgie est une filière indispensable pour l’avenir de notre pays. Notre pays dispose des capacités nécessaires pour mettre en œuvre une nouvelle politique industrielle.

Cela nécessite d’abord de se libérer des dominations financières et d’appeler à une nouvelle conception de la production intégrant les dimensions sociales, écologiques et démocratiques.

hollande,florange,pcfLe PCF soutient et porte ces perspectives de réindustrialisation comme une exigence à la fois régionale et nationale, dans l’intérêt du développement économique et de l’extension des services publics. La politique actuelle tourne le dos à ces exigences.

En se pliant au dogme de la compétitivité du capital, François Hollande abandonne l’industrie.

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24/11/2014

Un gel des salaires serait un coup de poignard contre le monde du travail et une véritable déclaration de guerre

macron1.jpgAlors que l'INSEE vient de publier son dernier "portrait social" de la France qui livre, par le détail, les ravages provoqués par l'austérité, le gouvernement s'apprête, jeudi prochain, à annoncer de nouvelles mesures anti-sociales. 

Que dit l'INSEE ? Que les dernières années sont marquées par une dégradation du marché du travail, une augmentation de la précarité et une stagnation du revenu salarial. Et que les politiques d'austérité ont amplifié la crise économique et sociale. Alors qu'entre 2002 et 2007, les salaires progressaient  de 0,6 % par an, leur hausse annuelle n'a été que de 0,2 entre 2007 et 2012. Les inégalités salariales ont même cessé de diminuer. 

Que s'apprête à annoncer Emmanuel Macron au nom de la "croissance" et de "la compétitivité des entreprises" ? Le gel des salaires pendant trois ans et une remise en cause des 35 heures. Cette information sera publiée demain dans le journal allemand Der Spiegel.

Voilà donc le résultats des négociations franco-allemandes à quelques jours des recommandations de la Commission de Bruxelles sur le projet de budget 2015 de la France. Si cette information était confirmée, il s'agirait d'une déclaration de guerre contre le monde du travail. C'est très exactement le contraire qu'il faut faire pour redresser le pays et relancer la croissance par l'augmentations des salaires. Le gel des salaires serait une très grave erreur économiquement, une provocation socialement et, politiquement, une nouvelle étape dans un processus nourrissant l'écœurement et la désespérance, la droite et le FN.

On entend déjà les encouragements du patronat. Raison de plus pour, comme le propose le PCF, de réussir, du 1er au 5 décembre, la semaine de mobilisation contre le MEDEFet la politique d'austérité gouvernementale.

macron,gouvernement,mesures,pcfOn devine aussi la désolation de femmes et d'hommes de gauche devant ce nouveau coup de poignard. Seul un mouvement permanent de riposte contre l'austérité et de rassemblement à gauche pour en sortir est de nature à modifier le rapport des forces jusqu'à faire reculer Hollande et le gouvernement Valls et imposer une politique de gauche.

Olivier Dartigolles, porte-parole du PCF

23/11/2014

Barrages hydroélectriques : les vannes de la libéralisation sont ouvertes !

barrage1.jpg

Le projet de loi relatif à la transition énergétique, examiné la semaine dernière  en urgence à l’Assemblée nationale, et sous la contrainte du temps programmé, aura tout de même donné lieu à une clarification sur les conceptions fondamentales que chacun porte sur notre futur système énergétique. Malheureusement, les fondements de la maîtrise publique du secteur, acquise par le travail acharné du ministre communiste Marcel Paul, avec la loi du 8 avril 1946 sur la nationalisation de l'électricité et du gaz, continuent d’être attaqués sans relâche. 

Pour ne prendre qu’un exemple, les articles 28 et 29 consacrés aux concessions hydrauliques, et dont les députés communistes et du Front de Gauche ont défendu la suppression, vont permettre l’ouverture à la concurrence de l’exploitation de ces concessions, autrement dit la privatisation des barrages. L’article 29 crée ainsi une nouvelle catégorie de société d’économie mixte (SEM) qui aurait la charge de l’exploitation des nouvelles concessions. Mais ces SEM, originellement prévues avec une part majoritaire du public et une part minoritaire du privé, verraient leur part publique réduite à 34 % du capital. Cela signifie que l’investissement privé pourra monter à 66 %... une privatisation qui ne veut pas dire son nom !

 Cette perspective d’attribuer à d’autres opérateurs l’exploitation d’ouvrages jusqu’alors concédés à EDF nourrit naturellement de nombreuses interrogations et inquiétudes.

 Le premier problème concerne la hausse des tarifs, puisque une redevance importante sera imposée aux nouveaux exploitants, ce qui conduira mécaniquement et inévitablement à une hausse des prix.

 Le deuxième problème a trait à la continuité de l’approvisionnement du réseau électrique, soumis à la bonne volonté des nouveaux exploitants. Pour des raisons de rentabilité, un exploitant pourra s’abstenir de fournir de l’électricité, même en cas d’urgence consécutive à des aléas climatiques, s’il estime qu’il pourra gagner plus d’argent à une autre échéance.

  Le troisième problème concerne les garanties accordées à tous les acteurs de l’eau. Chacun sait qu’un barrage ne sert pas uniquement à la production électrique mais aussi à d’autres usages (pêche, tourisme, irrigation, activités sportives…). Qu’est-ce qui empêchera demain un exploitant privé d’accompagner ces usages d’une compensation financière ?
  Le quatrième problème est celui des inévitables destructions d’emplois. Les inquiétudes sont grandes quant à l’avenir du personnel des exploitants actuels.

  L’histoire des privatisations dans notre pays montre bien que, dans les faits, on commence par une petite ouverture pour arriver progressivement, par sédimentation, à la libéralisation totale. Et nous savons par expérience ce que donne la privatisation : l’intérêt général disparaît au profit d’intérêts privés, d’intérêts financiers.

Une véritable loi de transition énergétique devrait au contraire s’attacher à réorienter la politique de l’énergie vers des logiques de long terme, qui ne peuvent être mises en œuvre que par la maîtrise publique, et non pas par la recherche d’intérêts financiers, nécessairement de court terme. Ainsi, pour la production hydroélectrique, d’autres solutions auraient pu être trouvées, comme la prolongation des concessions pendant quatre-vingt-dix ans.


Avenir des concessions hydroélectriques... par andrechassaigne

19/11/2014

Stop au racket ! Renationalisons les autoroutes : spectaculaire action du PCF et des élus communistes

pcfautoroute.jpg

pcfautoroute1.jpgCe matin au peage de Chamant (A1) de nombreux élus du PCF dont Pierre Laurent, André Chassaige Président des députés Front de Gauche, Eliane Assassi présidente des sénateurs communistes étaient présents pour la renationalisation des autoroutes.

COMMUNIQUE

Les usagers des autoroutes ne sont pas là pour satisfaire aux appétits financiers du CAC 40 ! En 2005, les concessions d'autoroutes ont été totalement privatisées par un gouvernement de droite pour financer, déjà, le remboursement de la dette publique. Ce sont les groupes Eiffage, Vinci et consorts, qui ont racheté ces concessions.

Depuis, les péages n'ont eu de cesse d'augmenter. Sur 100 euros de péages versés, ce sont entre 20 et 24 euros qui vont directement dans les poches des actionnaires. Et le gouvernement voudrait encore que les concessions soient prolongées !

La cour des comptes et l'autorité de la concurrence n'ont de cesse de déplorer ce choix. Les parlementaires communistes et du front de gauche également, et depuis de nombreuses années. Ils ont déposé à l'Assemblée nationale et au Sénat une proposition de loi demandant la renationalisation des concessions d'autoroutes.

Le gouvernement est pour l'instant défavorable à cette proposition de loi. Lors de la discussion de cette proposition de loi au sénat le 19 juin dernier, et alors que les sénateurs socialistes, écologistes, radicaux de gauche et communistes étaient majoritaires au sénat, cette proposition de loi n'a pas été votée. Manquaient les voix des sénateurs socialistes et radicaux de gauche. Pourquoi ce refus ? Au nom de l'austérité, bien sûr, et de la dette.

pcfautoroute2.jpgCertes, il faudrait dans un premier temps financer ce rachat. Cet investissement selon plusieurs études serait vite rentabilisé. Mais après ? Vaut-il mieux que l'argent des péages aille dans les poches des actionnaires ou serve à financer la transition écologique, pour améliorer les transports pour tous ? Pour nous, c'est clair l'urgence écologique et sociale impose notre choix. Si le gouvernement est capable de donner 50 milliard pour satisfaire les exigences du Medef, il doit être capable d'investir pour les autoroutes.

On nous dit maintenant qu'il faut taxer ces sociétés d'autoroutes, mais ce n'est pas la solution. La solution, c'est que les autoroutes dont la construction a été financée en grande partie par les contribuables revienne à l’État et donc au peuple.

Une telle solution permettrait également de faire baisser des péages honteusement élevés. Tellement élevés qu'ils ont permis depuis la privatisation de réaliser 15 milliards de dividendes pour ces sociétés. Alors que l'on demande tous les sacrifices aux ménages, pour récupérer trois sous, il est temps que la finance paye son tribut, elle en a les moyens !

18/11/2014

ASSEMBLEE DEPARTEMENTALE DES ELUS COMMUNISTES ET REPUBLICAINS DE L'ESSONNE : REFLEXION, PROPOSITIONS ET ACTIONS

aderc.jpgPrès de 40 militants, élus de villes et villages de l'Essonne ont participé à l'assemblée départementale de l'association départementale des élus communistes et républicains de l'Essonne (ADECR) pour préparer le congrès national de l'Association Nationale des Elus Communistes et Républicains (ANECR) qui doit avoir lieu les 5, 6 et 7 décembre à Vitry-sur-Seine.

aderc1.jpgSous les présidences de Claude Vazquez, conseiller général, de Laurence Auffret Deme, maire adjointe de Saulx-les-Chartreux et la participation de Philippe Camo, conseiller régional un large débat a permis à plusieurs dizaines de participants de s'exprimer largement sur la situation générale et celle des collectivités.

Tous ont souligné leur désapprobation de la politique très libérale menée par le gouvernement actuel et à l'écoute exclusive du MEDEF,  qui le jour même jouant la surenchère venait de demander scandaleusement la suppression de l'ISF, l'impôt de la Solidarité sur la grande fortune.

Les mesures économiques antisociales ont été jugé très dangereuses, particulièrement celles touchant les collectivités locales qui avec la baisse des dotations de plus de 30 milliards sur 3 ans, sera dramatique pour les populations avec des services supprimés, des suppressions d'emplois massifs dans la fonction publique,  ainsi que la diminution demandée de près de 25 % des investissements qui sera catastrophique pour les besoins de la population, mais aussi pour les entreprises privées qui travaillent pour les collectivités et estiment déjà à plusieurs dizaines de milliers les emplois qui sont ou vont être supprimés.

L'Assemblée Départementale a lancé un appel à tous les élus pour qu'ils participent à une manifestation au congrès des maires, Porte de Versailles le jeudi 27 novembre à 13h30 à l'occasion de la venue du premier ministre Manuel Valls. Rappelons que l'Union Nationale des Maires a proposé une motion dénonçant cette baisse de dotation déjà votée par 20 000 communes.

Une large discussion sur la création des intercommunalités gigantesques a révélé un large accord des élus présents sur les dangers pour les populations, pour la démocratie de ces mégapoles. Les Maires de Morsang sur Orge et de Grigny, Marjolaine Rauze et Philippe Rio sont intervenus dans ce sens et également pour demander aux élus d'intervenir largement dans tous les conseils municipaux (sans exception) où ce point doit être mis à l'ordre du jour.

Cette Assemblée Départementale démontre la grande capacité des élus communistes et Républicains d'être à l'écoute et à l'offensive avec les populations.

Diego Diaz, Président du groupe a représenté les élus communistes et républicains d'Evry.