20/01/2022
FABIEN ROUSSEL DANS L'ESSONNE A LA RENCONTRE DES HABITANTS
20:12 Publié dans ACTUALITES, ELUS COMMUNISTES, PARTI COMMUNISTE FRANCAIS | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : fabien roussel, essonne | |
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14/01/2022
Fabien Roussel en Essonne le 20 janvier 2022
- 14h30-16h30 : Visite d'une l'AMAP (ferme bio Sapousse - 31D Rue de Grandville à Pussay)
- 17h30-18h30 : Rencontre avec des associations départementales et des organisations syndicales sur le thème du combat contre la pauvreté et la précartité (Centre culturel S.Bechet - 10 Place Henri Barbusse à Grigny)
- 18h30 - 20h00 : Rencontre populaire, Discours de Fabien ROUSSEL sur la pauvreté, la précarité et les inégalités territoriales (Centre culturel S.Bechet - 10 Place Henri Barbusse à Grigny)
Avec le Conseil départemental du Parti communiste français de l’Essonne, nous vous souhaitons une très bonne et heureuse année 2022, avec la santé, c’est si important ; une belle année aussi nourrie par la joie, la fraternité, l’humanité, des moments d’engagement social et politique qui nous permettent d’être utiles pour la défense de nos valeurs et idéaux partagés.
Ensemble nous soutiendrons tous les combats pour la justice sociale, la lutte contre la pauvreté, les services publics, notamment celui, si fragilisé, de la santé, la fraternité, la liberté, le féminisme, l’antiracisme, l’écologie, la paix, le désarmement et la solidarité internationale.Avec nos 1790 adhérent-e-s, nos 90 élu-e-s communistes et républicains, nous serons mobilisé-e-s pour la campagne présidentielle de Fabien ROUSSEL et les campagnes législatives de nos candidat-e-s soutenu-e-s ou présenté-e-s par le Parti communiste lors de cette année électorale à très forts enjeux.
Évidemment, aucun de nos souhaits ne peut se réaliser sans actions collectives, sans luttes, sans débats, tant la domination du capital lamine les vies et met en danger le climat et la biodiversité dans le monde entier. Face à cette domination destructrice, les combats pour toutes les sécurités humaines et les protections sociales doivent prendre une nouvelle ampleur. Les défis sont immenses : sociaux pour pulvériser les inégalités ; sanitaires pour les êtres humains et la biodiversité ; écologiques afin de produire autrement et préserver les ressources naturelles ; climatiques pour la planète et l’ensemble de ses locataires.
Autant de grands enjeux qui font que la prochaine élection présidentielle ne devrait pas être une élection comme les précédentes. Elle va devoir à la fois, permettre de mettre en débat public ces grands défis, et traiter des conditions de l’amélioration de la vie de chacune et de chacun de nos concitoyens.
On assiste à de tristes joutes, entre un président de la République vulgaire et diviseur et une candidate de droite qui reprend la violence des mots de l’ancien président Sarkozy, promettant de nettoyer au « kärcher » les cités populaires, tandis que l’extrême-droite jubile dans l’antihumanisme.
Ce jeu malsain, où tout est fait pour détourner les regards des vrais enjeux, des souffrances populaires, de la situation dramatique des soignants comme des enseignants ou d’autres professions mises en danger. Ce début de campagne électorale, très dangereux, vise à étouffer les forces de gauche et progressistes, ainsi que les organisations syndicales.
Dans un contexte français et international très difficile et dangereux, mais où les idées communistes ont toute leur place, notamment face à l’agressivité et l’inhumanité du capitalisme, nous serons de tous les combats pour un monde plus juste et une société meilleure, pour faire reculer les inégalités et la pauvreté ; et pour que chacun-e ait une place reconnue dans la société, le droit effectif au bonheur et à l’accomplissement personnel.Soyons mobilisés le jeudi 20 janvier avec Fabien ROUSSEL en Essonne et ces sujets seront au cœur des échanges avec lui.
Amadou DEME, secrétaire départemental du PCF
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23/12/2021
CHILI : NOUVEL ACTE D'ESPOIR POUR L'AMERIQUE LATINE
19:23 Publié dans ACTUALITES, PARTI COMMUNISTE FRANCAIS | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : chili, boric | |
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12/12/2021
Le problème de la gauche ce n'est pas le casting, mais le projet
Parti communiste français, extrait de la déclaration du Conseil National du 12 décembre 2021
19:42 Publié dans ACTUALITES, PARTI COMMUNISTE FRANCAIS | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : pcf, conseil national, déclaration | |
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01/12/2021
Le racisme n’est pas une opinion c’est un délit : Inéligibilité !
Pétition. Signez la en cliquant sur cette ligne
La République a toujours été et demeure un combat. La France a progressé et rayonné chaque fois qu’elle a porté haut les valeurs de Liberté, d’Égalité et de Fraternité.
Elle est déshonorée chaque fois qu’en son nom ces valeurs sont trahies, défigurées, salies.
Défigurées par l’indécence des inégalités, la violence des discriminations, trahies par l’arrogance du pouvoir de l’argent, salies par le racisme visant à opposer les victimes de l’injustice sociale.
Le racisme n’est pas une opinion, c’est un délit.
On ne peut accepter qu’une personne condamnée pour racisme puisse être candidate à une élection.
C’est une exigence légitime, la République, qui doit être la garante du respect des droits fondamentaux de la personne et du principe d’égalité, ne peut participer d’une banalisation qui y porte atteinte.
Nous réclamons, dans le prolongement de la loi sur la presse et de la loi Gayssot (qui réprime l’incitation à la haine raciale et la négation des crimes contre l’Humanité), que soit rendue inéligible toute personne condamnée pour racisme.
09:59 Publié dans ACTUALITES, ELUS COMMUNISTES, PARTI COMMUNISTE FRANCAIS, Pétition | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : fabien roussel | |
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22/11/2021
Fabien Roussel, pleins feux sur l’emploi et les salaires
Le candidat communiste à la présidentielle a tenu son premier grand meeting dimanche, place Stalingrad, à Paris. En écho aux préoccupations des 3 000 participants, il a multiplié les propositions pour le pouvoir d’achat et une juste répartition des richesses, à commencer par une augmentation du Smic de 20 % et le triplement de l’ISF.
Disparus de nombreux radars médiatiques à cinq mois de l’élection présidentielle, les salaires, les conditions de travail ou encore l’emploi ont été à l’honneur dimanche sur la place Stalingrad, à Paris, où le candidat communiste à l’Élysée, Fabien Roussel, a tenu son premier grand meeting devant 3 000 personnes. Un rendez-vous démarré littéralement en fanfare avec une troupe de batucada. Dès 11 h 30, alors que la musique bat son plein, Jean-Philippe Juin, chasuble CGT sur le dos, est là avec quelques-uns de ses collègues de la Fonderie du Poitou. « On veut liquider nos emplois, nous, on se bat pour les préserver, on est en dedans », explique le délégué syndical dont le combat porte aussi sur les salaires. « On est payés 1 800 euros net, à la fin du mois c’est de plus en plus difficile. On a demandé une augmentation de 150 euros qu’on n’a pas obtenue mais on estime qu’il faudrait au moins 300 euros par mois supplémentaires pour vivre décemment », poursuit-il.
Les motifs de colère sont nombreux, pointe en écho Fabien Roussel à son arrivée sur la scène du meeting. Alors oui, nous, nous voulons que ça change, maintenant. » Le député du Nord embraye sur sa « première mesure » : « augmenter le Smic de 20 %, pour le porter à 1 500 euros net, 1 800 euros brut, dès le printemps 2022 ».
Les factures qui augmentent
Mais face à la vie chère qui gagne du terrain, il insiste aussi sur l’inscription « dans la loi de l’augmentation de tous les salaires en fonction de l’inflation ». Tandis que la droite et l’extrême droite veulent imposer du matin au soir les thèmes de l’immigration ou de la sécurité, Onur, microentrepreneur dans le Val-de-Marne qui paie cher les conséquences de la crise, s’offusque : « Les gens n’en ont rien à foutre de la couleur, d’où on vient, ils veulent juste pas avoir à se demander à la fin du mois comment ils vont pouvoir manger. La campagne doit porter là-dessus. » « D’ailleurs, s’il y avait une meilleure répartition des richesses, ces questions se poseraient beaucoup moins », lâche l’une de ses camarades.
Cette urgence, Corinne, qui a fait le déplacement depuis Roubaix, dans le Nord, la connaît bien. « On fait attention à tout, la moindre dépense, on doit tout calculer, j’ai même une application dans mon téléphone pour vérifier mon budget », raconte-t-elle. Au chômage, elle s’est engagée avec la CGT pour aider les privés d’emploi à faire valoir leurs droits. Elle redoute pour eux les conséquences de la réforme de l’assurance-chômage, surtout avec les factures qui augmentent. « Moi, je suis mensualisée chez EDF mais j’ai reçu un rappel de 400 euros. Comment je peux faire ? Je suis obligée de négocier un échéancier qui s’ajoutera aux autres », pointe-t-elle, jugeant indispensable de faire baisser la note en jouant sur les taxes, comme son candidat le propose. « À côté, on voit les actionnaires se remplir les poches… Le fossé se creuse. C’est un discours qui peut paraître classique mais c’est la réalité », martèle Corinne.
« Relancer l’espoir de la belle vie »
Un message que Fabien Roussel est lui aussi déterminé à faire passer. « Macron a été le serviteur le plus zélé de la finance. Le président des riches, nous n’en voulons plus », tacle le candidat. « Nous voulons l’abolition de ces privilèges, l’abolition du régime spécial du capital », scande le député du Nord, qui dessine « un objectif simple : éradiquer le chômage » (lire ci contre). En matière de financements, il ne manque pas de ressources et entend non seulement récupérer les « 123 milliards d’euros par an de cadeaux aux entreprises, aux plus riches », mais aussi tripler l’ISF ou encore mettre en place un « impôt Covid exceptionnel » sur « les bénéfices au-delà de 500 000 euros » des multinationales. Nationalisations d’Axa, de la BNP ou de la Société générale sont aussi au programme pour « maîtriser le nerf de la guerre, l’argent », tout comme un nouveau pacte européen qui rompt avec l’austérité et mobilise 6 % du PIB européen par an, soit 900 milliards d’euros. « Rendez l’argent ! », résume-t-il, pointant les nombreux besoins dans les services publics.
D’ailleurs, bas salaire et fin de mois difficile, Arbia ne sait que trop bien de quoi on parle. Venue depuis l’Essonne, cette accompagnante d’élève en situation de handicap (AESH) brave la pluie glacée sur la place Stalingrad. Chaque mois, sa fiche de paie n’aligne que 800 euros. « Ils détruisent tout ce qui nous permet de vivre ensemble, tout ce qui nous rassemble, comme l’éducation. Il y a trop de pression, chacun gère ses problèmes tout seul », déplore-t-elle, tout en souhaitant pour 2022 voir « relancer l’espoir de la belle vie ». C’est pour ça qu’elle est là comme Marcelle, salariée de Carrefour, qui témoigne sur scène et veut qu’on prenne « conscience que les bas salaires ne doivent plus exister dans notre pays ». Ou encore Camille, aide-soignante, qui estime qu’on « doit pouvoir finir les fins de mois » mais aussi travailler dans des conditions décentes. Pour les rémunérations, « l’État donnera l’exemple », s’engage Fabien Roussel, promettant à « celles et ceux qui font vivre nos services publics, qui sont en première ligne, que nous avons applaudis pendant les confinements une augmentation d’au moins 30 % ».
Reste que Corinne est « sidérée que les gens ne se bougent pas plus ». Et que si Hugo, un étudiant qui se dit communiste mais affilié à aucun parti, juge nécessaire « même à 2 % de faire entendre ces questions-là », il se dit « électoralement pessimiste ». C’est aussi ce que Fabien Roussel a tenté de battre en brèche dimanche, pointant « cinq mois imprévisibles, ouverts ». « Rien n’est écrit parce que nos concitoyens se placent encore à distance de ce rendez-vous », a-t-il estimé, appelant à la mobilisation et comptant sur cette « démonstration de force » parisienne pour lui donner de l’élan et percer le mur du silence autour des préoccupations populaires.
19:53 Publié dans ACTUALITES, PARTI COMMUNISTE FRANCAIS | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : fabien roussel, pouvoir d'achat, présidentielles | |
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18/11/2021
FABIEN ROUSSEL EN VISITE AUX ANTILLES
Présidentielle 2022 : Fabien Roussel, bientôt aux Antilles-Guyane, demande un plan d'urgence pour les Outre-mer
Le leader du PCF et candidat à la présidentielle Fabien Roussel demande dans un courrier au Premier ministre un « plan d'urgence pour les territoires d'Outre-mer », très touchés par la pandémie de Covid-19, et où le risque d'un soulèvement populaire est « immense ».
Le candidat à la présidentielle, qui se rendra du 22 au 28 novembre en Guyane, Martinique et Guadeloupe, souligne la situation « extrêmement préoccupante » des territoires ultramarins, « avec des milliers de familles endeuillées et meurtries, tandis que la prolongation de l'état d'urgence sanitaire fragilise chaque jour un peu plus la perspective d'une hypothétique reprise économique ».
« Les besoins sont considérables, en matière de santé publique, bien sûr, mais aussi pour tout ce qui concerne les biens de première nécessité », explique Fabien Roussel, qui « sollicite » l'examen d'un « plan d'urgence pour les territoires d'outre-mer, à l'image de ce qui vient d'être décidé pour Marseille ».
Il a déploré que l'examen de la Mission Outre-mer de la loi de finances 2022, le 9 novembre, ait « suscité incompréhension et colère, chez de nombreux parlementaires mais aussi, plus largement, au sein des populations concernées », en raison selon lui de la majorité qui a bloqué « systématiquement toutes les propositions » d'amendements des députés d'Outre-mer, « de droite et de gauche », « amenant des solutions concrètes et durables, à la hauteur des enjeux et des périls encourus ».
« Après ce premier rendez-vous manqué, le risque est immense d'un soulèvement populaire en Outre-mer, synonyme de blocage économique et institutionnel », prévient-il, rappelant qu'une grève générale illimitée contre l'obligation vaccinale et le pass sanitaire a démarré en Guadeloupe, et que la Martinique « est prête elle aussi à la révolte ». « Tout doit être fait pour répondre aux attentes de la population et éviter ainsi un embrasement général dont personne ne peut mesurer aujourd'hui ni les limites, ni les conséquences », poursuit-il.
12:29 Publié dans ACTUALITES, ELUS COMMUNISTES, PARTI COMMUNISTE FRANCAIS | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : fabien roussel, antilles | |
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