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Film diffusé par le Parti Communiste Français par la Télévision Publique dans le cadre des "libres expressions" des Partis Politiques et des Syndicats.
Pour la deuxième année consécutive, le gouvernement n’augmentera pas l’indice salarial des fonctionnaires.
Du fait de l’inflation, cette décision aura pour effet de baisser le pouvoir d’achat des agents de l’État. Depuis 2000, d’après la CGT, le décrochage de la valeur du point d’indice représente une perte annuelle de 184 à 350 euros selon les catégories d’agents.
Voilà la réalité de l’action de la droite en matière de salaire : appauvrir ceux qui servent le bien public !
Les discours gouvernementaux lénifiants sur le pouvoir d’achat contredisent les faits, le pouvoir d’achat des Français reste exsangue.
Moins de fonctionnaires moins payés, c’est moins de service public.
Cette politique qui ne connait qu’une seule opération mathématique - la soustraction - doit être arrêtée au plus tôt car c’est la société tout entière qu’elle met en danger.
Le Président de la République a rendu ses arbitrages sur la fiscalité du patrimoine. Obligé de mettre fin à l'injuste bouclier fiscal, il en profite pour enlever le peu de dents qu'il reste à l'impôt sur les grandes fortunes : taux d'imposition maximum réduit de 1,8% à 0,5, et exonération de 300.000 contribuables.
Mais ce numéro de funambule est vain. Les mesures annoncées par Nicolas Sarkozy reviennent à résoudre la quadrature du cercle ! Comment satisfaire les voraces appétits de la bande du Fouquet's tout en continuant de donner à l'Etat les moyens d'exister. Impossible sinon continuer par exemple , comme c'est le cas, de faire payer aux Français les plus modestes les taxes injustes que sont la TVA ou la TIPP sur les produits pétrolier et poursuivre le dogme de la RGPP.
La politique fiscale de l'UMP va continuer à appauvrir l'Etat. Au final, les conséquences sont déjà connues : c'est moins de profs, de policiers, d'infirmières, et donc une société française qui s'affaiblit.
Le PCF fait 4 propositions sur l'ISF : un accroissement du prélèvement sur les fortunes financières ;
une élévation du taux sommital de 1,80 % à 2,5 % ; l’assujettissement des équipements professionnels avec une modulation pour en encourager un usage favorable à la création d’emplois et pénalisant la croissance financière ; une exonération des contribuables qui sont entrés depuis dix ans dans le champ d’application de l’ISF par l’unique effet de la flambée de l’immobilier
Le secrétaire national du PCF Pierre Laurent s'est prononcé à titre personnel, au cours de la réunion du conseil national, en faveur de la candidature de Jean-Luc Mélenchon, si un accord global sur le programme, la nature de la campagne et les candidatures aux élections législatives était conclu avec les partenaires du Front de gauche. "Je pense que la candidature de Jean-Luc Mélenchon peut être envisagée par notre parti, dans le cadre d'un accord avec nos partenaires", a-t-il dit.
Appréciant cette prise de position franche, le député communiste du Puy-de-Dôme, André Chassaigne, qui brigue aussi la candidature au titre du Front de gauche, a estimé qu’il n’y avait pas d’obligation à ce que le candidat soit membre du PCF ou qu’il ne le soit pas. Portant une appréciation « extrêmement positive » sur le Front de gauche qui « redonne envie de se battre » et qui « élargit le rassemblement », il a souhaité un débat « en toute transparence » pour désigner le candidat. Deux autres responsables communistes, André Gerin et Emmanuel Dang Tran, se sont portés candidats pour ne porter que les couleurs communistes. Plusieurs interventions ont fait part d’inquiétudes sur la pratique du co-président du Parti de gauche et l’espérance de renouvellement que porte le Front de gauche.
La procédure doit aboutir lors d'une conférence nationale du PCF début juin qui proposera un choix au vote de tous les militants du PCF.
Les responsables communistes ont apprécié le résultat du Front de gauche aux élections cantonales, mais ils ont jugé que « le fossé entre les attentes et les réponses apportées par les politiques mises en œuvre ne cesse de s’accroître » et s’exprime à la fois par l’abstention et les tentations populistes. Faire grandir un « front contre la vie chère pour changer la vie du peuple français », mobiliser contre la pacte d’austérité pour l’euro, ancrer une « démarche populaire et citoyenne au plus près des populations et des territoires », « ouvrir un chemin concret d’alternative » loin du spectacle présidentiel qui transformerait les électeurs en supporters, sont autant de thèmes que les responsables communistes veulent développer.
A l’appel de la Coordination nationale des comités de défense des hôpitaux qui regroupe une centaine d’associations, de syndicats, de Partis plusieurs milliers de personnes ont manifesté dans plusieurs dizaines de villes de France.
A Paris, c’est Place de la Bastille qu’a eu lieu ce rassemblement. Plusieurs personnalités sont intervenues à cette occasion, dont le professeur Grimaldi pour dénoncer la situation catastrophique des hôpitaux engendrée par la politique gouvernementale et appliquée par les Agences Régionales de la Santé.
Les usagers sont particulièrement pénalisés, et le personnel hospitalier sous perfusion avec la suppression en 2 ans de plus de 20000 emplois.
Les représentants des hôpitaux de l’Essonne étaient venus en nombre à l’exemple de celui de Dupuytren dont la délégation était nombreuse et remarquée.
Les syndiqués CGT étaient très nombreux et majoritaires. Le Parti communiste français avec ces militants, dont Pierre Laurent était très présent, le PS et les Verts pratiquement absents bien que membres de la coordination.
Ces rassemblements augurent d’un mouvement qui va prendre de l’ampleur prenant en compte l’envergure du démantèlement du système de santé au profits des grands groupes privés et au détriment des malades et du personnel hospitalier.
Alors que de tous les observateurs présents à ce rassemblement le PCF était sans contexte le Parti le plus présent et le plus actif à ce rassemblement, avec également de nombreux militants du Parti de Gauche et du NPA et que la présence du PS était quasi inexistante l’AFP n’a rien vu et a juste remarqué la présence, on ne sait où, du socialiste Jean Paul Huchon et par contre n’a pas constaté la présence de Pierre Laurent secrétaire nationale du PCF.
En matière d’informations cela s’appelle de la partialité et cela semble devenir une règle à l'égard du Parti communiste français, de ses militants, de ses dirigeants, de ses élus au moment même où Marine Le Pen de son côté constate de son aveu même au contraire une attitude de plus en favorable des médias à son propos et à celui des idées du Front National.
Après les faux voeux de Sarkozy pour le 1er avril, le Parti communiste lance des "poisons d'avril" à l'effigie de Nicolas Sarkozy et Marine Le Pen pour "sensibiliser sur le danger que représentent la montée du Front national et la banalisation de leurs idées par la majorité présidentielle".
Sur le site http://lapeurchangedecamp.tumblr.com/, ces poissons d'avril, rebaptisés "poisons d'avril" avec la tête de Nicolas Sarkozy ou Marine Le Pen sur un corps plein d'arêtes sont présentés sous différentes postures.
Dans un communiqué le PCF indique : "La progression du Front National est lourde de danger. Il faut lui faire barrage. Deuxième force de gauche (aux cantonales), le Parti Communiste Français et ses partenaires du Front de gauche se portent en première ligne pour combattre les idées xénophobes et réactionnaires portées par le Front national".
Il "invite tous les humanistes, toutes les personnes qui ne veulent plus de cette politique réactionnaire, à coller les poisons d'avril partout où bon leur semble".
Colère et détermination des postiers de Bondoufle venus nombreux sur fond de la chanson « on ne lâche rien » diffusée en boucle, au rassemblement organisé par l’intersyndicale au pied de la mairie et de la cathédrale d’Evry, avant de se rendre en cortège à la préfecture.
Le matin même 75 % des 300 postiers du centre de tri postal de Bondoufle avait cessé le travail pour s’opposer à la direction de la Poste qui veut supprimer cet établissement.
Pendant ce rassemblement les différents partis politiques (le PCF, le PS, le PG, le NPA) se sont exprimés pour soutenir cette action.
La représentante de la forte délégation du Parti communiste français et des élus communiste a dénoncé la remise en cause du service public, les atteintes aux droits des salariés, le non respect de l’avis du référendum populaire où 2 millions de français s’étaient exprimées pour une poste publique, au service de la nation.
Le Maire d’Evry a indiqué que son conseil municipal avait voté à l’unanimité une motion demandant l’annulation de la fermeture du centre de tri de Bondoufle.
De nombreux salariés ont témoigné de la souffrance que cette fermeture engendrait, de la dégradation du service public, des conséquences économiques sur la région que cela allait entraînait.
Rappelons qu’en 2010 la Poste en voie de démantèlement et de privatisation a annoncé 550 millions d’€ de bénéfice net au prix de 11 700 emplois supprimés et d’une dégradation générale du service public constatée quotidiennement par les usagers à Evry, à Bondoufle et dans tout le pays.