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08/11/2011

Pauvreté des jeunes : « Indifférence consternante du gouvernement »

depression2.jpgAu lendemain de l'annonce du nouveau plan d'austérité du gouvernement, le Secours catholique publie aujourd'hui son rapport annuel sur l'évolution de la pauvreté en France. Selon l'association, il y a en France de plus en plus de familles dont les revenus sont inférieurs au seuil de pauvreté (954€ par mois) et de plus en plus de demande d'aide alimentaire... Ce constat est d'autant plus accablant que la France est la 5ème puissance économique du Monde.

Le Secours catholique alerte sur le fait que les jeunes (18-25 ans), laissés en marge de la société, représentent la classe d'âge la plus pauvre de France. Non seulement les jeunes cumulent tous les risques et toutes les difficultés, mais ils se trouvent également parmi les premières victimes des mesures de restrictions décidées par le gouvernement : gel des prestations sociales et des dépenses publiques (santé, logement, éducation…) et hausse de la TVA.

Lorsque 42% des jeunes souhaitent pour leur avenir « avant tout trouver un travail », le gouvernement leur répond à coups de chômage et d'emploi précaire. « No future », c'est le message qu'envoient Nicolas Sarkozy et François Fillon aux jeunes, qui continueront d'être pauvres, et cela, dans l'indifférence consternante du gouvernement.

Pour sortir de la précarité et pour un avenir meilleur, la jeunesse a besoin de nouveaux droits pour son autonomie : emploi, logement, éducation, santé, culture… C'est ce que le Front de gauche propose dans son programme « L'humain d'abord ». Le PCF et ses partenaires du Front de gauche invitent à en débattre dans les assemblées citoyennes organisées partout en France.

Le PCF soutient la détermination des jeunes à refuser la précarité en France, en Europe et partout dans le monde. Il sera de toutes les batailles pour qu'ils puissent vivre des dans conditions décentes.

almeida.jpgIsabelle De Almeda
responsable des questions de jeunesse au PCF

Paris, le 8 novembre 2011.

 

23/10/2011

22 OCTOBRE 1941 / LES MARTYRS DE CHATEAUBRIAND

1-copie-8.jpgSoixante-dix ans après l'exécution de Châteaubriand, une commémoration populaire rend hommage sur le site où furent assassinés 27 otages en présence de Bernard Thibault secrétaire général de la CGT et Pierre Laurent secrétaire national du Parti communiste français.

L'HISTOIRE

1941 est une année importante pour la Résistance en France. Les groupes et les réseaux se développent. Particulièrement après l’engagement officiel du Parti communiste dans la lutte provoquée par l’attaque allemande contre l’URSS, les attentats et les sabotages contre l'occupant se multiplient. La réaction de celui-ci est de plus en plus violente. À la suite de l'attentat survenu le 21 août contre l'aspirant Moser, dans le métro à Paris, une ordonnance allemande décrète que tous les Français mis en état d'arrestation seront considérés comme otages et, qu' "en cas d'un nouvel acte, un nombre d'otages correspondant à la gravité de l'acte criminel commis sera fusillé". Si les fusillés de Châteaubriant ne sont pas les premiers otages exécutés, leur massacre est le point de départ des exécutions massives perpétrées à titre de représailles par les Allemands.

À la mi-octobre, des groupes armés, dont les membres sont présentés comme des "terroristes" par les Allemands, programment une série d'opérations à Bordeaux, à Nantes et à Rouen. Ces actions visent à obliger l'occupant à maintenir des troupes sur l'ensemble du territoire en entretenant un climat d'insécurité ainsi qu'à développer la lutte armée. Le 19 octobre, un sabotage provoque le déraillement d'un train sur la ligne Rouen-Le Havre. Le lendemain, vers 8 h 00 du matin, un officier allemand, le lieutenant-colonel Holtz, est abattu à Nantes. Gilbert Brustlein et Guisco Spartaco, deux jeunes Parisiens, rencontrent sur leur chemin, près de la cathédrale, deux officiers, Holtz et le médecin-capitaine Sieger et leur emboîtent le pas. Au moment de tirer, l'arme de Spartaco s'enraye mais le revolver de Brustlein atteint Holtz qui s'effondre.

La réaction de l’occupant est immédiate. À Châteaubriant, des troupes allemandes viennent renforcer la gendarmerie française qui assure la garde du camp de prisonniers de Choisel, dont la population est notamment constituée de détenus politiques arrêtés par le gouvernement du maréchal Pétain. Le jour même, un officier allemand se présente au camp pour y consulter la liste des détenus.

Le lendemain, le général Von Stülpnagel, commandant militaire en France, fait annoncer par voie d'affiche que, "en expiation de ce crime", cinquante otages seront fusillés ainsi que cinquante autres si les coupables ne sont pas arrêtés avant le 23 octobre à minuit.

Une récompense de quinze millions de francs est offerte pour la dénonciation des auteurs de l'attentat.

Le choix des otages est laissé à la discrétion du gouvernement de Vichy. Sur la liste de cent détenus présentée par les Allemands au ministre de l'intérieur Pierre Pucheu, les noms de cinquante personnes sont retenus, essentiellement des communistes.

Tandis que se prépare ainsi l'exécution du premier groupe d'otages, un autre officier, le conseiller d'administration militaire Reimers, est abattu à son tour à Bordeaux par Pierre Rebière. La riposte estla même : cinquante otages fusillés, cinquante en sursis jusqu'à l'arrestation des coupables, offre d'une récompense de quinze millions de francs aux dénonciateurs.

chateaubriand.jpgLe 22 octobre, vingt-sept otages sont fusillés à Châteaubriant. En début d'après-midi, ce mercredi, les Allemands regroupent les otages dans une des baraques du camp de Choisel où ils peuvent écrire une dernière lettre avant d'être conduits à la carrière de la Sablière, à la sortie de la ville, lieu de leur exécution. Celle-ci se déroule en trois salves, à 15 h 50, 16 h 00 et 16 h 10. Tous refusent d'avoir les yeux bandés et les mains liées. Ils meurent en chantant la Marseillaise.

Le même jour, seize otages sont également exécutés à Nantes, au champ de tir du Bèle, et cinq autres au Mont-Valérien.

Le lendemain, les Allemands dispersent les vingt-sept corps dans neuf cimetières des environs. Le dimanche suivant, malgré les interdictions, des fleurs sont déposées à l'emplacement des neuf poteaux par la population de Châteaubriant et de ses alentours.

Dans le discours prononcé par le maréchal Pétain à la radio le soir du 22, nulle condamnation de ces exécutions. Il dénonce au contraire les auteurs d'attentats et enjoint aux Français de se dresser contre eux en les poussant à la délation : "Par l'armistice, nous avons déposé les armes. Nous n'avons plus le droit de les reprendre pour frapper les Allemands dans le dos… Aidez la justice. Je vous jette ce cri d'une voix brisée : ne laissez plus faire de mal à la France."

Le 23 octobre, le secrétariat général à l'information diffuse un communiqué destiné à apaiser les esprits : "Il est établi que les autorités occupantes ne choisissent pas les otages destinés à être exécutés parmi les personnes arrêtées après un attentat, mais parmi les suspects internés dont la culpabilité a été nettement prouvée".

Le 24 octobre, cinquante otages sont fusillés à Souges, près de Bordeaux, à la suite de l'attentat du 21 octobre contre le conseiller militaire Reimers.

Alors que l'autorité allemande pensait faire de la fusillade de Châteaubriant un exemple, elle obtient l'effet inverse. Partout, cette exécution suscite l'indignation et la colère. Elle frappe de manière irréversible la conscience des habitants de la région et l'ensemble de la population française, jouant un rôle important dans la mobilisation des énergies pour combattre l'occupant. Son retentissement est considérable dans le pays comme à l'extérieur.

26/08/2011

Les annonces de François Fillon : mais de qui se moque t’on ?

pcfaffiche2.jpgOu l’austérité, c’est pas Tripoli !

Communiqué de la Jeunesse Communiste

Le premier ministre François Fillon a dévoilé ses nouvelles mesures de rigueur budgétaire. Aux ordres des marchés financiers, il n’a proposé aucune remise en question de sa politique économique. Une fois de plus, le gouvernement préfère ponctionner les travailleurs en s’attaquant à leur porte-monnaie.

Hausse des taxes sur des produits de consommation (tabac, alcool, sodas), prélude à une hausse généralisée la TVA, accompagnée d’une hausse des prélèvements sociaux, déremboursements de certains médicaments… Derrière, les compagnies d’assurances et les mutuelles augmenteront leurs tarifs pour répercuter ces coûts.

Au nom de la lutte contre les déficits, Sarkozy et sa clique font payer l’addition au peuple ! Pour faire passer la pilule, ils annoncent une taxation (temporaire) sur les très hauts revenus à 3%. Cela équivaut à récupérer 200 millions d’euros sur les 2 milliards d’allègements fiscaux accordés aux plus fortunés il y a quelques mois. Nous ne voulons pas la charité, il faut taxer les 80 milliards d’euros de bénéfices distribués cette année par les entreprises du CAC 40.

pcfaffiche.jpgLe message est clair : les nantis se partagent le gâteau et nous font gentiment cadeau de leurs miettes ! Ce nouveau programme traduit l’asservissement volontaire de nos gouvernants aux marchés financiers : ce plan a été fait pour...conserver la note AAA ! Et les agences de notation et les institutions financières internationales demanderont très vite de nouveaux efforts sous prétexte de lutte contre les déficits. Pourtant, cette « dette publique » a justement été creusée pour sauver les banques et les marchés en 2008, et ils veulent aujourd’hui que les peuples payent l’addition. Leurs exigences sont illégitimes ! Il faut répartir autrement les richesses en France : réinstaurer une fiscalité progressive des revenus, taxer les revenus financiers, augmenter les salaires.

Les revenus du travail sont plus taxés que les autres, le niveau de chômage est historiquement élevé, l’évolution des salaires est au point mort... Nous ne voulons pas « rassurer les marchés » mais répondre aux besoins populaires et faire vivre la solidarité !

pcfaffiche1.jpgNous voulons renverser les politiques qui démantèlent l’éducation et la recherche, nous voulons en finir avec la précarité et les bas salaires auxquels les jeunes sont condamnés, nous voulons garantir à chacun l’accès à la santé, aux transports, aux loisirs et à la culture.

Prenons l’argent là où il est ! Mettons fin aux politiques qui ne servent que quelques profiteurs et investissons pour l’avenir et la réponse aux besoins de chacun !

Le 27 septembre pour l’éducation nationale et le 15 octobre dans toute l’Europe : tous dans la rue contre l’austérité et pour nos droits !

02/06/2011

A QUOI SERT JEANNETTE BOUGRAB ?

jeanette.jpgLa situation sociale de la jeunesse est très critique : chômage de masse (près d’un quart des jeunes concernés ! [INSEE]), précarité imposée (le fameux « sas » dont la largeur s’étend sans cesse [enquêtes du CEREQ]), droit à la santé bafoué (15% des étudiants ont renoncé à des soins pour des raisons financières [enquête LMDE mai 2011])….

Face à ce qui devrait être une priorité nationale, que fait madame Jeannette Bougrab, secrétaire d’État à la jeunesse ? Eh bien, elle demande des missions aux philosophes de salon (Luc Ferry en tête) ; elle organise des colloques sur la jeunesse (31 mai) avec des invités aussi pertinents que Luc Ferry (jusqu’à plus soif !), Marc Simoncini (fondateur du site de rencontres Meetic !?), Louis-Christophe Laurent (fondateur de GL Trade, site qui met l’informatique au service de la spéculation…). Et bien sûr, comment oublier ce qui est l’activité principale du secrétariat d’État depuis quatre mois : la fête de la jeunesse (31 mai) et son grand concert au Zénith de Paris !

C’est maintenant clair pour tout le monde : le gouvernement se fout de la jeunesse ! Il casse son avenir – emploi public (RGPP), emploi tout court (via la casse des retraites), éducation (réforme Chatel, LRU, formation des enseignants)… – et Jeannette Bougrab semble avoir pour seule mission de le faire oublier aux jeunes à coups de somni-Ferry (Luc) et de chansons commerciales (Jenifer, M’Pokora…). Décidément, non, Jeannette Bougrab ne sert à rien et il est temps pour les jeunes de France de se mobiliser comme dans le reste de l’Europe pour prendre leur destin en mains.

Mouvement de la Jeunesse Communiste de France

20/05/2011

Copé invente le travail des jeunes à 350€ par mois ! Nous ne le laisserons pas faire !

 
jc.jpgRéaction du MJCF à la proposition du club « Génération France » d’un service civique obligatoire pour les jeunes de 18 à 25 ans rémunéré à 350 € par mois.

Jean-François Copé et son club « Génération France » reprennent une vieille proposition qui traînait dans les tiroirs des possédants : un service civique obligatoire pour les jeunes payé une misère (350 €/mois). Vieille idée défendue déjà il y a cinq ans par un dignitaire de l’armée française ; très vieille idée que Copé prétend avoir reprise à Kennedy. Mais quelle est cette manie de chercher à toute force à imiter les États-Unis : réforme des universités ? sur le « modèle » américain ; réforme des retraites ? sur le « modèle »américain ; réforme de la santé ? sur le « modèle » américain ; réforme de la justice ? sur le « modèle » américain . Tout ça n’est pourtant pas très brillant : les dernières années ont même montré dans tous ces domaines l’ampleur du désastre…

D’importation ou non, cette idée de « service civique obligatoire à 350€/mois » n’est en fait qu’un nouveau moyen de détourner le Code du Travail. Sur fond de quête absolue du « travailler plus pour gagner moins », la droite invente tous les matins des contrats bidons qui assurent les profits les plus ronds aux actionnaires. Copé peut mettre de jolis mots sur cette réalité : cela n’en change pas le contenu ! Il s’agit d’obliger les jeunes à travailler pour trois fois moins que le SMIC – honteusement contourné comme salaire minimum.

Quel beau cadeau aux patrons sur le dos des jeunes ! Ça suffit ! Il y a urgence pour les jeunes de ce pays ! Un jeune sur cinq vit sous le seuil de pauvreté ; un jeune actif sur quatre est au chômage ! Ce n’est pas d’un travail sous-payé et hors Code du travail dont les jeunes ont besoin. C’est d’emplois pérennes et rémunérés dignement. CPE ou « service civique obligatoire » : nous ne nous laisserons pas emprisonner dans les cachots du sous-emploi, nous ne serons pas la génération sacrifiée ! Que Copé et ses amis regardent les jeunes du Portugal, d’Espagne, de Grèce, de Tunisie, d’Égypte et d’ailleurs, face aux assauts de la droite (ou des sociaux-libéraux) et du FMI, les jeunes se lèvent en masse ! Veut-il vraiment que la France s’ajoute à la liste ? Ce genre de provocations pourrait bien y aider...

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26/04/2011

Intervention en Libye : derrière l’« amour de la liberté », une soif de pétrole jusqu’à la guerre !

libye,jeunesse communisteDéclaration du Mouvement de la Jeunesse Communiste de France

Ben Ali et Moubarak étaient des dictateurs féroces qui opprimaient leurs peuples et ça ne posait de problème à personne (bien au contraire !) à l’Élysée, à l’Union européenne, au FMI, à l’ONU ou à la Maison Blanche. En ce moment même, les Saoudiens massacrent à tour de bras à Bahreïn un peuple qui veut vivre libre et souverain et ça ne pose toujours de problème à personne dans les hautes sphères.

L’ancienne ministre des Affaires étrangères proposait le savoir-faire des forces françaises en matière de sécurité pour mater la révolution du peuple tunisien... Aujourd’hui le gouvernement se découvrirait une soudaine passion pour la liberté et le soutien aux révolutions ?

Hélas, c’est une sinistre blague ! Après avoir armé, soutenu, défendu, vanté, caressé, gavé le colonel Kadhafi, les Occidentaux ne voient plus le vieux dictateur comme le bon cheval pour piller les énormes ressources en hydrocarbures (pétrole, gaz) du pays. Kadhafi ne tient plus son pays : l’extraction d’hydrocarbures est malmenée par cette révolution longue et difficile.

Qui veut le pétrole veut au plus vite la fin de la révolution, quelle qu’en soit l’issue. Le plus facile leur semble sans doute d’en finir avec Kadhafi. Comment expliquer autrement qu’il ait fallu attendre si longtemps pour que l’ONU prenne position ? La situation n’est devenue un problème qu’à partir du moment où elle a bloqué l’économie pétrolière durablement...

Après « la guerre préventive », voici venu le temps de la « guerre solidaire ».

On nous rejoue l’interminable et horrible chansonnette de l’impérialisme que connaissait déjà Anatole France : on croit mourir pour la liberté ; on meurt pour les industriels. La chanson du capitalisme tout simplement qui, comme disait Jaurès, porte en lui la guerre comme la nuée porte l’orage. Les frappes ne sont jamais « chirurgicales » ni les dommages « collatéraux ». À la fin, c’est toujours le peuple qui meurt.

Nous réitérons notre pleine solidarité avec l’opposition au régime de Tripoli qui doit garder la pleine maîtrise de ses choix. Celui qui vient d’être fait par la France et ses alliés est le premier pas vers la logique du pire.

Mouvement jeunes communistes de France.

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08/10/2010

La mobilisation des jeunes contre la réforme des retraites s’intensifie !

jc.jpgCommuniqué du MJCF

"Dans de nombreux départements des lycées se sont mis en grève aujourd’hui où tiennent des assemblées générales pour préparer la mobilisation de mardi prochain, suite à l’appel des jeunes communistes et d’autres organisations du collectif « la retraite une affaire de jeunes » à faire du jeudi 7 octobre une journée de mobilisation nationale dans les lycées.

Ils sont plus de milles dans la Somme à s’être mobilisés dès ce matin dans les lycées de Friville, Saint Quentin, Doullens et Flixecourt. En Seine Saint Denis avec les jeunes communistes, ils se sont mobilisés devant le siège de l’UMP pour exprimer leur refus de cette réforme qui sacrifie leur avenir, mais aussi contre les suppressions de postes dans les lycées. Dans le Pas de Calais, se sont 7 lycées où se déroulent des Assemblées Générales, ainsi que dans le Nord, les Bouches du Rhône, la Loire, la Loire Atlantique, la Saine Maritime... Au total, ce sont plus de 55 départements qui se mobilisent aujourd’hui.

Refusant cette réformes des retraites qui aura pour principal conséquence de faire exploser le chômage des jeunes en reculant l’âge de départ à la retraite, les jeunes ont bien conscience que c’est leur avenir qui se joue en ce moment et sont entrain de donner à Sarkozy des raisons d’avoir peur de leur mobilisation.

À n’en pas douter les jeunes seront massivement présent mardi 12 !"

18:46 Publié dans Jeunesse communiste | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : jeunesse communiste, retraite, lycée | |  Imprimer |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook | | Pin it!