31/08/2007
MG BUFFET ET LA GAUCHE
Marie-George Buffet a appelé jeudi à des débats inventifs et audacieux, sans tabou "ni censure", à la fois au sein de la gauche et à l'intérieur du PCF, pour les sauver d'un avenir "incertain" après leur défaite à la présidentielle.
"Pour les hommes et femmes de gauche, pour les communistes, le coup a été dur. Et l'avenir est incertain", a affirmé la secrétaire nationale du PCF dans un discours de rentrée devant quelque 300 militants réunis au Parc de La Courneuve en prélude à la fête de l'Humanité (14 au 16 septembre).
Le numéro un communiste reconnaît que son 1,93% à la présidentielle est "source de profonds questionnements".
"Après les échecs de la gauche et du rassemblement antilibéral, il faut s'engager à la reconstruire", propose-telle, en appelant à des débats. "Chacun mesure que le statu quo n'est possible".
"Nous voulons d'une gauche moderne" et "non soumise", affirme la leader communiste pour qui "courir après la droite et le centre mène droit dans le mur". "Les socialistes doivent donner un coup de barre à gauche", a-t-elle dit jeudi au Parisien.
Mme Buffet a lancé des invitations à tous les leaders de la gauche pour débuter ces débats à la Fête de l'Huma. Le premier secrétaire du PS François Hollande a accepté l'offre, selon le PCF. Olivier Besancenot, qui a appelé à la création d'un nouveau parti anticapitaliste autour de la LCR, est également convié.
Mais "pour peser" dans les débats à gauche, il faut "travailler à reconstruire un avenir à la visée communiste", souligne Mme Buffet. "Le déclin électoral de notre parti peut conduire à la disparition de l'idée même de changement dans notre pays", prévient-elle.
Pour sauver le parti, "il y a beaucoup à inventer, il faut tout mettre sur la table et se confronter" et "surtout ne censurer aucune audace", propose le numéro un communiste. Cette "confrontation" aura lieu dans le cadre du Congrès extraordinaire du PCF prévu les 8 et 9 décembre.
Mais si la leader communiste est ouverte à toutes les idées - tel un changement de nom ou de référence du parti - "à titre personnel" elle se dit "attachée à un parti qui porte une visée communiste et un projet de transformation de la société".
"J'ai le sentiment qu'un chapitre de l'histoire du communisme français s'est terminé. Il ne s'agit pas de refermer le livre, mais d'entamer un nouveau chapitre, c'est-à-dire d'inventer un ciment idéologique et des perspectives d'avenir qui pourraient demain être le socle de nouvelles solidarités de classe", dit-elle.
Mme Buffet, qui a décidé de rester à la tête du PCF jusqu'à son Congrès ordinaire fin 2008, "ne met pas la clé sous la porte", mais prévient que les "problèmes ne peuvent se résoudre d'un coup". Le parti "s'est donné plus d'un an pour prendre ses décisions" avant ce congrès.
Par ailleurs, pour combattre la politique de Nicolas Sarkozy, le numéro un communiste appelle à la réunion "de toute urgence" du "collectif +ripostes+," qui rassemble tous les partis de gauche. Elle propose "une semaine d'action, partout en France" à la rentrée, convergeant "vers un grand rassemblement populaire".
10:45 Publié dans PARTI COMMUNISTE FRANCAIS | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : PCF, fête de l'Huma | |
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22/08/2007
CETTE SEMAINE DANS L'HUMANITE DIMANCHE
- DOSSIER
- Pourquoi les prix flambent Hausse des prix des matières premières agricoles, les consommateurs vont en payer les conséquences.
- SOCIAL
Sogebat. 60 travailleurs polonais font plier leur patron voyou.
Fonction publique. Syndicats se rencontrent pour préparer la riposte.
- POLITIQUE
GaucheFin d’été pour l’opposition
- SOCIÉTÉ
Téléphone Le 12 existe encore… et reste moins cher.
- FORUM DES LECTEURS
« Le comité de soutien de l’hôpital du Pertuis s’est adressé au président de la République pour lui rappeler ses promesses de campagne qui pérennisaient l’existence des hôpitaux de proximité. » Par Michel.
- RÉGIONS
Hep taxi ! L’autobus ne passe pas aujourd’hui
- ÉCONOMIE
La morale des affaires, c’est coup gagnant, coup permis !
- TÉLÉVISION
La nouvelle série : « Brothers and Sisters ».
- SORTIES. CULTURE. LOISIRS
Rentrée littéraire : Nouveautés à découvrir au Village du Livre.
Sergi Lopez dans « La maison » de Manuel Poirier.
Travolta : surprenant dans Hairspray
- FETE DE L’HUMANITÉ
Toute la gauche à La Courneuve.
- MONDE
Entre séparation et ségrégation Ces barrières entre deux peuples qui se dressent un peu partout.
Vénézuela Chavez veut inscrire le pouvoir populaire dans la constituion.
Bushpasse, les républicains restent.
- SPORTS
Osaka : La France, petit pays de l’Athlétisme ?
- VIE QUOTIDIENNE
Photos Numérisez vos souvenirs de vacances.
- HISTOIRE
Albert Londres(3),visite Biribi, les bagnes militaires.
- Réflexions de Gérard Duménil, économiste : L’urgence d’un nouveau compromis social.
14:45 Publié dans MEDIAS | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : Humanité Dimanche, Sarkozy, prix | |
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19/08/2007
Jeudi noir sur la planète financière

Il régnait hier un sérieux parfum de krach boursier d’un bout à l’autre de la planète. Les mouvements de baisse constatés ces derniers jours se sont encore amplifiés. Dans la foulée de Wall Street, qui a rechuté lourdement (plus de 1,5 %) mercredi à la suite des rumeurs de faillite du numéro un états-unien de l’immobilier, CountryWide Financial, toutes les places financières asiatiques ont affiché des décrochages spectaculaires :
- 2 % à Tokyo, qui a atteint son plus bas niveau depuis novembre 2006, - 2,14 % à Shanghai, - 3,3 % à Hong Kong et jusqu’à - 6,94 % à Séoul. À Manille, où l’indice local s’est écroulé de 6,01 %, les observateurs font carrément état de scènes de panique. La tempête s’est poursuivie ensuite sur les places européennes quelques heures plus tard. Paris a ainsi chuté de 3,26 %, revenant à son niveau du 1er janvier dernier. Et Wall Street ouvrait à son tour en forte baisse hier après-midi…
la crainte d’une contraction du crédit
Plusieurs explications immédiates aux raisons de ce nouvel et brutal accès de fièvre : les gros investisseurs, banques, hedge fund (grands fonds spéculatifs) touchés par la crise des subprimes, prêts hypothécaires à risques aux États-Unis (voir ci-
dessous) se sont mis à vendre massivement leurs autres titres pour se renflouer. De plus, la montée en flèche de créances douteuses détenues par l’ensemble des acteurs, y compris les plus « respectables » des établissements bancaires, fait craindre aux opérateurs une inéluctable contraction du crédit. Les banques refusant dans un climat de suspicion généralisé sur la qualité des avoirs des uns et des autres de se risquer à prêter de l’argent pour financer le moindre investissement nouveau. Le groupe de prêts immobiliers australien RAMS a ainsi contribué à alimenter un brusque effondrement de la Bourse de Sydney en étant contraint de reconnaître qu’il était incapable de se refinancer la bagatelle de 5 milliards de dollars de dettes à la suite du resserrement du crédit aux États-Unis.
350 milliards d’euros injectés sur les places boursières
Jusqu’où ira l’écroulement du château de cartes financier sur des marchés de plus en plus imbriqués ? L’ampleur du phénomène et l’incapacité des grands argentiers à le contenir en dépit des sommes astronomiques - plus de 350 milliards d’euros ont été injectés, au total, en quatre jours sur les places boursières - alimente de plus en plus de fébrilité dans le monde politique. Christine Lagarde, la ministre française de l’économie, a ainsi décidé hier d’interrompre précipitamment ses vacances. Nicolas Sarkozy est lui aussi monté au créneau, en reprenant à son compte l’antienne de la « bonne santé des fondamentaux de l’économie ». Il s’est dit ainsi convaincu que « ces mouvements de marché ne sauraient affecter durablement la croissance de nos économies, qui est robuste ».
Le chef de l’État s’est adressé également à Angela Merkel, afin que la France et l’Allemagne demandent ensemble une réunion en octobre du G7 (les sept pays les plus riches de la planète) en vue d’instaurer des « mécanismes de transparence sur les marchés ». On relèvera que la proposition déjà avancée par la chancelière lors du sommet d’Heiligendamm en juin avait été alors rapidement enterrée face à l’obstruction de George W. Bush et de Tony Blair. Le bouillant président français ne voulant sans doute pas gâcher ses retrouvailles avec ses amis américain et britannique, s’était alors fait d’une discrétion totale sur le sujet.
Quoi qu’il en soit, ces gestes divers cachent mal la responsabilité de dirigeants qui ont, tous, encouragé dans la dernière période, au nom de la réforme ou de la « modernisation de l’économie », la financiarisation qui débouche sur la crise d’aujourd’hui. L’autorisation d’utiliser des produits financiers toujours plus sophistiqués dans l’espoir de satisfaire les appétits décuplés des détenteurs de titres est à l’origine de la contamination qui, tel un cancer généralisé, touche toute la sphère financière sans qu’on puisse isoler in fine les cellules malignes qui minent tout l’organisme.
l’éclatement de la bulle immobilière
Les CDO (collateralised debt obligations, obligations sur dette collatéralisées) font partie de ces nouveaux OVNI qu’ont introduits les logisticiens du marché pour satisfaire les appétits des gros opérateurs. Ce sont eux qui, en bonne partie, ont permis la transformation des créances initialement fort juteuses des sociétés octroyant des crédits immobiliers à risque en titres financiers au rendement mirobolant (12 %, 15 %, voire 20 % et plus). Des banques, des grandes sociétés ont acquis, de cette manière, des morceaux considérables de la dette des familles modestes états-uniennes cherchant à accéder à la propriété. De la même façon, elles ont pillé d’autres acteurs économiques, tributaires, eux, selon des logiques spéculatives analogues, des fameux LBO (leverage buy out ou acquisitions par emprunts).
Jusqu’à l’éclatement des enflures spéculatives et en particulier de la bulle immobilière qui rend aujourd’hui des millions d’ex-accédants à la propriété états-uniens insolvables et avec les répercussions maintenant prévisibles sur la croissance et l’économie réelle…
Bruno Odent, l'Humanité
11:15 Publié dans ACTUALITES | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : krach, bourse, crise | |
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10/08/2007
Chute d'Yvan: Le PC exige "la fin des rafles"
Le Parti communiste français a vivement réagi après la chute d'un jeune tchétchène de douze ans jeudi du 4e étage d'un immeuble, alors qu'il tentait de fuir la police avec son père, venue l'interpeller avec sa famille pour procéder à leur expulsion.
"Quel est donc le crime si odieux qui conduit un enfant, par peur, à fuir au péril de sa vie, à la seule évocation de l'arrivée de la police ? Il ne s'agit pas d'un fait divers à propos d'une victime de la misère, il s'agit d'un enfant qui a sauté par la fenêtre du quatrième étage, alors qu'il croyait trouver protection en France", déclare le parti communiste dans un communiqué avant d'en appeler à la lucidité de Nicolas Sarkozy. "le chef de l'Etat serait bien inspiré de retrouver la lucidité et l'humanité indispensable à tout homme d'Etat."
Le parti communiste met directement en cause la fermeté de la politique d'immigration du gouvernement Fillon: "Il s'agit bien là d'un pouvoir nommé terreur, qui a poussé un enfant à commettre une geste désespéré." "Le Parti communiste français exige que cesse ces rafles qui plongent dans la terreur des familles entières", conclu le commmuniqué.
12:36 Publié dans PARTI COMMUNISTE FRANCAIS | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : expulsion, droit de l'enfant, immigration | |
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09/08/2007
CETTE SEMAINE DANS L'HUMANITE DIMANCHE
NUMERO DOUBLE du 9 au 22 Août 2007
- ÉDITORIAL par Patrick Le Hyaric.
Une riposte populaire pour le pouvoir d’achat.
- SOCIAL
Duralex. Ils ont cassé l’incassable !
IBM. Le stress pourrit la vie de 4000 salariés.
- POLITIQUE
Les talons d’Achille de Sarkozy
- SOCIÉTÉ
Alain Doustalet ne part pas pour s’opposer à ce que d’autres partent.
- DOSSIER
- CHE GUEVARA Pourquoi ce révolutionnaire reste toujours d’actualité.
- FORUM DES LECTEURS
« Il y a un an, au Liban, l’armée israélienne détruisait la ville de Cana. N’oublions pas que les Libanais ont toujours besoin de notre aide. ! » Par Séverine. Pontoise (Val-d’Oise)
- RÉGIONS
Être là où les jeunes sont !
- ÉCONOMIE
Les ménages endettés de Californie vont-ils avoir la peau des LBO ?
- TÉLÉVISION
Tout ce qui vous attend à la rentrée.
- SORTIES. CULTURE. LOISIRS
Chabrol . Entretien avec l’homme qui déconstipe le bourgeois.
Caramel : premier long métrage de Nadine Labaki
- FETE DE L’HUMANITÉ
West Side Story : par l’Orchestre philarmonique de Radio-France.
- MONDE
Afghanistan-Iran Changement de cap américain ?
Lybie La gauche exige la transparence.
- SPORTS
Football : interview de Guy Roux.
- VIE QUOTIDIENNE
Logement Etre ou ne pas être caution ?
- HISTOIRE
Albert Londres (2), Les forçats de Cayenne.
- Réflexions de François Morel : un petit brin de nostalgie.
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07/08/2007
Les Flots bleus
Editorial par Maurice Ulrich (l'Humanité)
On peut concevoir, sans trop d’imagination, que le président de la République française ne soit pas amené à passer ses vacances avec Franck Dubosq en string au camping des Flots bleus. « Cécilia c’est moi, j’arrive avec les amis, fais péter le pastaga. » Quoique… Ça aurait sans doute du panache. La fonction n’implique pas non plus de les passer exclusivement en compagnie de philosophes (des vrais), ou de moines bénédictins.
Nicolas Sarkozy a donc choisi de les passer aux États-Unis dans la station ultrachic, dit-on, de Wolfeboro, au bord du lac de Winnipesaukee. Selon certaines photos il y ferait, par exemple, du jet-ski. La villa, très luxueuse dit-on, huit chambres et douze salles de bains - pourquoi douze, allez savoir ? -, lui aurait été prêtée par un ami, Mike Appe, un ancien dirigeant de haut vol de la firme de Bill Gates, Microsoft. Louée, ce serait environ 30 000 dollars la semaine. Pas vraiment le genre gîte rural. Le président a la chance d’avoir de sacrés amis.
Un coup, on lui prête un yacht de quelques dizaines de mètres, maintenant une villa. C’est étonnant des prêts comme ça, de la part de milliardaires. Cette familiarité au fond. C’est singulier pour un président de la République d’accepter de tels prêts, de plusieurs milliers de dollars. On espère que le président ne se sent en rien tenu, voire redevable.
Cela ferait problème tout de même si l’on considérait que de tels prêts ne sont pas loin des cadeaux. Mais d’abord, la question, ce serait plutôt : pourquoi ? Pourquoi le président de la République française affiche-t-il avec autant d’ostentation son goût d’un luxe tapageur, en nouveau riche ou en gagnant de la Star Ac qui s’achète une Ferrari rouge ?
On sent, à n’en pas douter, qu’il en avait envie mais Nicolas Sarkozy est un homme trop habile pour qu’il n’en mesure pas les effets.
À peine élu, en se rendant au Fouquet’s, il donnait le « la ». Il ne s’agit pas de vacances, si ce n’est pour ses enfants, mais d’idéologie. Le président veut en finir - c’est cela aussi la rupture - avec une certaine pensée française tendant à l’égalité, ou du moins à réduire les inégalités, il veut que l’on cesse, comme l’a dit Christine Lagarde, la ministre de l’Économie devant l’Assemblée, « d’opposer les riches et les pauvres ». Ce que disent en toute clarté le Fouquet’s, le Paloma et Wolfeboro, comme aussi le choix des États-Unis, c’est ceci : il est juste et bien que les riches soient riches. Le monde est inégalitaire mais c’est l’ordre des choses. On peut s’indigner, on peut mettre en rapport cette ostentation comme le coût de cette villa avec celui des vacances de millions de salariés, mais il reste à comprendre comment un tel message, aussi gros qu’un gros nez au milieu de la figure, peut être délivré sans vergogne et avec un succès certain au regard des sondages.
Pour combien de temps ? La confrontation des Français avec le réel, en termes de pouvoir d’achat et de salaires, de précarité est une chose. Mais la gauche, toute la gauche, est confrontée aujourd’hui à l’impérieuse nécessité de reconstruire une vraie pensée politique qui ne se contente pas de brandir des fétiches ou de dériver vers les mêmes terrains qui furent choisis par le candidat, aujourd’hui par le président. Il faut redire qu’un pays, avant de choyer ses riches, a besoin de services publics,
de routes, de ponts qui ne s’écroulent pas, d’hôpitaux, de fonction publique, de trains, d’une éducation nationale revalorisée, que tout cela n’est pas un coût mais la richesse de tous et des socles pour la croissance.
Qui veut opposer les pauvres aux riches si ce n’est ceux qui pensent qu’il n’y a aucun lien entre la pauvreté des uns et la richesse des autres et qu’il y aura donc toujours des pauvres, et eux, les riches ?
Par Maurice Ulrich
14:25 Publié dans ACTUALITES | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : Sarkozy, vacances, richesse | |
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03/08/2007
CETTE SEMAINE DANS L'HUMANITE DIMANCHE
AU SOMMAIRE du jeudi 2 Août 2007
- ÉDITORIAL par Patrick Le Hyaric.
Europe : le choix des peuples.
- SOCIAL
Dagris : les salariés français en appellent aux Etats africains.
A Marseille, Gaudin fait son Sarkozy
- POLITIQUE
La contre-révolution de juillet 2007.
La nuit du 4 août, l’Assemblée nationale a « détruit entièrement le régime féodal ».
- SOCIÉTÉ
sport : Que vaut le haut niveau ?
Famille recomposée : le test délicat des vacances.
- FORUM DES LECTEURS
« L’ancien champion de golf Arnold Palmer vient d’indiquer que le dopage est largement pratiqué dans ce sport. ! » Par Jean-Luc. Nimes (Gard)
- RÉGIONS
Au festival de Lorient, adoptez la celtattitude !
- ÉCONOMIE
Le capitalisme ne tient qu’à un fil, mais qui va le couper ?.
- TÉLÉVISION
La fiction jeunesse française a le vent en poupe.
- SORTIES. CULTURE. LOISIRS
Cinéma : Ratatouille. Un vent de folie souffle en cuisine.
Théâtre : Arsenic Un contrepoison efficace à l’extrême droite. _Hommages à Michel Serrault et Ingmar Bergman.
- FETE DE L’HUMANITÉ
La Rumeur : « La Fête de l’Huma est un carrefour des forces progressistes de ce pays ».
- MONDE
Chili : Les enjeux de la grève des mineurs de cuivre.
Chine Usine du monde, la Chine rêve d’être son laboratoire..
- SPORTS
Athlétisme : Ladji Doucouré dans les starting-blocks.
- VIE QUOTIDIENNE
Bons plans pour une colocation
- HISTOIRE
Albert Londres (1), l’homme qui fit tomber le bagne !
- Disparition Antonioni : l’homme qui ne se regardait pas.
18:54 Publié dans MEDIAS | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : Humanité Dimanche | |
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