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31/10/2010

Hausse de l'électricité : "scandaleux" juge le PCF

edf.JPGLe PCF a dénoncé  la hausse de l'électricité "scandaleuse" qui portera "sur six mois à plus de 6%", et jugé que "le porte-monnaie des Français n'est pas aussi extensible que celui des actionnaires" et "affairistes de tout poil spécialistes du renouvelable".

"Le porte-monnaie des Français n'est pas aussi extensible que celui des actionnaires et des affairistes de tout poil spécialistes du renouvelable qui eux continueront d'empocher les plus values", écrit le Parti communiste français dans un communiqué.

Pour les communistes, "la France a besoin d'une grande filière industrielle énergétique".

Avec cette nouvelle hausse des tarifs de l'électricité, "il s'agit, nous dit-on, de financer le coûteux développement de l'énergie solaire. Cela portera la hausse des tarifs sur six mois à plus de six pour cent, soit une des plus fortes depuis près de 30 ans, c'est scandaleux !", lance le PCF.

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26/10/2010

CONTRIBUTION AU DEBAT GRAND PARIS EVRY – 21 10 2010

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Victime du sous investissement massif de l’Etat, datant de plusieurs décennies, le réseau de transport francilien est aujourd’hui largement saturé et dégradé. Cette situation qui affecte la qualité du transport en commun public, résulte de choix politiques incompatibles avec une réponse adaptée aux nécessités d’aménagement du territoire. Aménagement prenant en compte les besoins de transports collectifs publics et les exigences sociales, économiques et environnementales.

Les usagers des lignes RER B, C et D en Essonne, sont quotidiennement victimes de retards de trafics, d’incidents récurrents sur le réseau, du nombre de rames insuffisant. Les agents SNCF et RATP sont victimes dans leur activité de baisses constantes de moyens matériels et financiers, de pénurie de personnel, d’une attaque sans précédent de leur statut et de leurs conditions de travail.

Le démantèlement du service public de transport de voyageurs en Ile de France, datant de l’ordonnance de 1959, répond aussi à la volonté de l’Europe libérale, par le règlement sur les Obligations de Service Public (OSP), à la volonté de l’Europe libérale d’ouverture à la concurrence inscrite dans le Traité de Lisbonne.

La question du transport public et de son financement est donc une question cruciale qu’il s’agit d’appréhender en dépassant toute prétention localiste.

Les communistes essonniens et leurs élus portent la volonté de travailler à une nécessaire cohérence globale du maillage allant du local au régional. Il s’agit de concilier la réalisation de nouveaux réseaux en proche et moyenne couronne de Paris avec les améliorations qualitatives et quantitatives indispensables aux réseaux existants en grande Couronne.

Le Grand Paris voulu par N. Sarkozy relève d’une logique politique ségrégative. Avec ce projet reliant par métro automatique 9 pôles d’excellence réputés et définis par le Gouvernement, et lui seul, à fort potentiel de développement urbain et économique, l’Etat centralisateur s’arroge les pleins pouvoirs, pour les déléguer à un EPIC ne disposant d’aucune légitimité démocratique.

En outre, la loi donne à la Société Grand Paris des pouvoirs exorbitants en matière d’urbanisme : privilège d’expropriation, droit d’aménagement, mise en conformité obligatoire des PLU, mise en comptabilité de facto du Schéma Directeur Régional, etc.

Cette logique nous la combattons dans ses dimensions territoriales, démocratiques, sociales, économiques et environnementales.

En cohérence avec le SDRIF nous voulons travailler avec les populations à un meilleur projet pour les franciliens en organisant l’articulation de ce grand huit avec le projet Arc Express dans l’objectif de désenclaver des territoires aujourd’hui peu ou pas desservis par les transports en commun qui combinent le plus souvent cette inégalité territoriale avec des difficultés sociales majeures.

Cette inégalité territoriale, économique et sociale, les communistes essonniens et leurs élus n’acceptent pas davantage qu’elle soit envenimée en grande banlieue. Les un million deux cent mille essonniens ont besoin de transport en commun public de qualité sur l’ensemble du département.

La réponse à ces besoins n’en passe évidemment pas par le tracé du Grand Huit sur le plateau de Saclay.

C’est, là aussi, un projet que nous rejetons en ce qu’il favorise l’étalement urbain alors que son utilité n’est absolument pas avéré. Si N. Sarkozy a affirmé qu’il s’engageait personnellement en faveur de ce projet, emblématique du Grand Paris du gouvernement, c’est que cette Opération d’Intérêt National (OIN) s’inscrit dans une conception libérale du développement scientifique, technologique et industriel. Pilotée par l’Etat et les grands groupes industriels, fondée sur la mise en concurrence des chercheurs et non plus la coopération s’appuyant sur le partage des coûts et des connaissances, une telle concentration d’activité se fera aussi au détriment des autres territoires.

Pour autant, en matière de transport en commun sur le plateau de Saclay déjà fortement délaissé, nous jugeons nécessaire de travailler au développement d’une liaison de Transport en Commun en Site Propre (TCSP) pouvant relier la gare de Massy. Ce projet, de type tramways ou tram bus, s’inspirerait du projet initié par le STIF concernant la liaison Sénart-Corbeil-Evry. Dans le même esprit nous sommes favorables au prolongement du tramway Villejuif/Juvisy jusqu’à EVRY comme la réalisation du tram train St Quentin / Evry. Cette diversité d’approche permet d’encourager un maillage approprié du territoire essonnien.

Cet exemple tant à démontrer que le conflit avec le gouvernement est fondé sur une vision opposée de l’aménagement de notre département et de sa desserte par transport en commun public. Il porte aussi sur la question du financement des réseaux et leur maîtrise publique. Le gouvernement envisage un financement fondé essentiellement sur trois types de recettes :

- la valorisation foncière liée aux projets d’aménagements autour des gares, c'est-à-dire un financement spéculatif,

- les recettes apportées par les gares conçues comme des prestataires de service, c'est-à-dire le produit d’une privatisation des gares,

- la redevance domaniale payée par le ou les futurs exploitants du réseau pour lesquels il n’est pas dit s’ils seront forcément publics.

A ce jour, l’Etat n’apporterait en propre que 4 milliards d’euros sur un projet estimé entre 21 et 23 milliards.

Les communistes essonniens et leurs élus proposent que le plan de mobilisation pour les transports de la région, soit 18 milliards d’euros, soit consacré pour partie au financement d’Arc-Express et à l’amélioration des réseaux existants. Améliorations portant tant sur la mise en œuvre d’infrastructures nouvelles pour les lignes B, D et C en Essonne que par la mise en œuvre du schéma directeur du matériel roulant proposé par le STIF.

En outre, les Conseillers Régionaux du groupe Front de gauche, PCF, GU et AC, revendiquent que l’Etat reverse à la Région les 1,7 milliards d’euros qu’il doit depuis 10 ans au titre du FARIF, et que soit porté à 2,6 % le Versement Transport payé par les entreprises, soit 800 millions d’euros, ce qui financerait la tarification unique promise par la région Ile de France, soit le Pass Navigo à 56 euros toutes zones. 

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Les communistes Essonniens et leurs élus :

  • Prennent acte de la volonté de l'Etat de s'impliquer dans la conduite d'un projet ambitieux pour la région-capitale, et notamment d'un projet de transports publics devant répondre aux défis d'une métropole active et solidaire à l'aune des enjeux environnementaux de «l'après-Kyoto»,

  • Estiment que la voie choisie par l'Etat en la matière s'écarte des objectifs affichés, en venant chapeauter – voire concurrencer - les efforts développés depuis de longues années par les collectivités territoriales pour tenter de répondre de façon cohérente aux besoins de développement des transports publics, en lien avec une maîtrise de l'aménagement, à l'échelle de la région-métropole,

  • Expriment un avis réservé sur la nature même du projet de Grand Huit, tant d'un point de vue technique que de ses modalités de réalisation (organisation de la maîtrise d'ouvrage, mode de financement, prérogatives de la SGP exorbitantes du droit commun...),

  • Suggèrent que l'Etat agisse désormais en partenariat éclairé avec les instances en charge des compétences transport-habitat-aménagement au niveau local et régional, et leurs outils (Etablissement Public Foncier Ile-de-France, Syndicat Paris Métropole, etc.)

  • Proposent que la SGP instituée par la loi soit mise au service d’un projet utilement concerté- ce qui suppose que son fonctionnement soit démocratisé et que son financement ne vienne pas concurrencer, mais abonder le « Plan de Mobilisation pour les Transports de la Région, celui-ci devant nécessairement s’élargir et s’étoffer afin de mieux répondre, dans l’esprit de SDRIF, aux besoins des Franciliens présents et futurs,

  • Demandent dans ce cadre à l’ensemble des pouvoirs publics de mieux prendre en considération les besoins de maillage en transport en commun de l’Essonne.

 Philippe CAMO, Secrétaire départemental de l’Essonne du PCF, Conseiller Régional

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25/10/2010

Le casseur est à l’Élysée

pcfgueules.gifJ’en appelle à la responsabilité de l’ensemble des acteurs », a osé déclarer Nicolas Sarkozy. Comme si lui-même en faisait montre !

Que dire d’un président qui, au mépris de la souveraineté populaire qui fonde la République, tente de passer en force pour briser le droit à la retraite des salariés ?

Que penser d’un chef d’État qui fait truquer les chiffres des manifestants ou des grévistes à la SNCF ? Comment qualifier un Premier ministre qui prétend contre toute réalité que « le mouvement social pla­fonne » et qu’il « n’y a jamais eu plus d’un million de personnes dans les rues » ?

Comment prendre au sérieux les bonimenteurs UMP qui préten­dent qu’il n’y a pas de problème d’approvisionnement en carburant quand des centaines de milliers de Français galèrent pour faire un plein ?

Ce pouvoir a élevé la fausse nouvelle au rang d’industrie, la seule qui se développe sous son règne. Plus, il fait de la provocation à la violence un recours face à la puissance du mouvement de protestation.

Là, il dépê­che des hordes de CRS contre les salariés des raffineries. Ici, il fait don­ner la matraque et les lacrymogènes contre les lycéens qui pacifiquement manifestaient sur les Champs-Élysées. Partout, par sa fermeture aux préoccupations sociales, il fait naître de tristes vocations et donne du grain à moudre aux casseurs.

pcfgueule.jpgNe cherchez pas ces derniers dans les rangs des manifestants, vous n’en trouverez pas. Les salariés en grève démontrent un sang-froid que pourraient leur envier les snipers de l’UMP, tandis que les syndicats veillent à repousser hors des cortèges ceux qui veulent en découdre. C’est d’ailleurs la préoccupation constante des lycéens en lutte. Si, ici ou là, des élèves – exaspérés par l’absence d’écoute gouvernementale – se laissent entraîner par des groupes vio­lents et sans doute par des provocateurs dépêchés par des officines coutumières du fait, ils sont une minorité qui ne peut cacher l’immense foule résolue et combative qui arpente les pavés.

La cote de popularité de Sarkozy plonge vers des abysses et même ses commanditaires du Medef s’inquiètent d’une dégradation de l’économie. Mme Parisot, qui a mis le feu aux poudres en réclamant cette contre-réforme, souhaite désormais que « le climat s’apaise le plus vite possi­ble »…Dans la comédie de la dramatisation, de grands médias jouent de piètres rôles, décrivant un pays en proie à la « guérilla urbaine ». La vieille ficelle de la peur est agitée. C’est toujours le recours ultime de la droite.

L’honnêteté dans le traitement de l’information devrait conduire à constater que l’unité syndicale donne toujours le ton, que personne ne cède aux sirènes du conflit de générations qu’actionne Rama Yade et qu’au contraire salariés et jeunes se retrouvent puissamment solidaires. À chaque étape, le mouvement est décidé démocratiquement à la base. Ses formes s’adaptent au temps long imposé par le pouvoir et adoptent une plasticité nouvelle. Le temps passant et le pouvoir s’enfermant dans l’autoritarisme, la critique s’aiguise et se précise. Souvent, le rejet va au-delà du texte porté par Éric Woerth.

Cette mobilisation va avoir des suites. Dans la rue. Et dans les urnes.

 

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24/10/2010

LIER L'ECOLOGIE ET LE SOCIAL

chasagne.jpgAndré Chassaigne, député PCF du Puy-de-Dôme, revient, dans un ouvrage, sur « sa prise de conscience progressive sur les questions environnementales ».

Il était la veille dans le sud de la France. Sur le chemin du retour vers le Puy-de-Dôme, André Chassaigne, député PCF et candidat à la candidature du Front de gauche (FG) à la présidentielle, a fait étape à Saint-Flour pour dédicacer son ouvrage Pour une terre commune, à la librairie du faubourg (*).

Sa candidature ? « Je suis attaché au Front de gauche et ma démarche se place dans le souci qu'il se développe et s'installe durablement dans le paysage politique ».

« Je me situe, bien sûr, dans la dynamique Front de gauche et quoi qu'il en soit, je souhaite qu'il y ait, au final, un candidat unique. Au sein du FG, il y a plusieurs composantes et donc plusieurs candidats possibles », insiste le parlementaire.

André Chassaigne l'assure : il ne se place pas « en terme de concurrence » avec Jean-Luc Mélenchon, mais « de complémentarité pour essayer aussi d'orienter ce que sera la politique du FG dans un sens qui [lui] semble le sens juste ».

Le député auvergnat a été découvert par le grand public en 2008, en déposant un amendement au projet de loi sur les OGM. Un des chapitres de Pour une terre commune revient justement sur « cette bagarre » qu'il a conduite.

« J'ai eu une prise de conscience progressive sur les questions environnementales. Et cela à partir de mon travail à l'Assemblée où, depuis 2002, j'ai pris en charge, parmi les députés communistes, ces questions et les sujets agricoles et d'aménagement du territoire. »

Dans son livre, qu'il définit comme « un ouvrage de fond », où il formule différentes propositions, il remet notamment en cause le productivisme et plaide pour de « nouveaux modes de production ». « J'essaie d'expliquer qu'il faut qu'on change nos modes de vie mais qu'avant - car ce n'est pas la solution de culpabiliser le citoyen - il faut d'abord changer le mode de production et tout le système qui fait qu'on pousse à la consommation et qu'on est en train de pourrir la planète. »

Capitalisme vert

André Chassaigne assure aussi, entre autres, qu'il « faut qu'on se pose la question d'une nouvelle croissance », pointe du doigt « l'hypocrisie du Grenelle de l'environnement », affirme que « le capitalisme vert est un outil mis en place par le capitalisme pour continuer à augmenter ses profits », et consacre une partie aux « biens communs de l'humanité »

« Chaque fois, poursuit-il, j'essaie de faire le lien entre le social et l'écologie, parce que les premières victimes des atteintes portées à la planète sont les plus modestes ».

Sébastien Besse, article publié dans La Montagne

09:46 Publié dans ACTUALITES | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : andré chassaigne, écologie, pcf | |  Imprimer |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook | | Pin it!

21/10/2010

RETRAITES : MANIFESTATION A EVRY

manifevry2110.jpgA l‘appel des organisations syndicales CGT – CFDT – FO – CFTC – UNSA – CFE-CGC – SOLIDAIRES – FSU, UNEF, UNL et confédération étudiante de l’Essonne plusieurs centaines de personnes ont participé à une manifestation départementale à Evry.

Après un rassemblement devant la mairie d’Evry, le cortège très coloré et animé s’est rendue à la préfecture.

Des participants de plusieurs dizaines d’entreprises ont défilé dans les rue de la ville. Les lycéens étaient également présents en particulier ceux de Georges Brassens d’Evry.manifevry2110a.jpg

De nombreux militants et élus communistes avec leurs écharpes trocolores avaient tenu à accompagner les manifestants dont Philippe Camo, conseiller régional, et secrétaire départemental du PCF, Nicolas Trecourt secrétaire de la section du PCF d’Evry.

D'autres manifestations sont déjà programmées à l'appel de tous les syndicats.

 

15:56 Publié dans ACTUALITES | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : syndicats, retraites, lycéens, evry | |  Imprimer |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook | | Pin it!

20/10/2010

RETRAITES / MOBILISATION DU PCF


Retaites - Manifestation 19/10 : Suspension de la réforme !
envoyé par CN-PCF. - L'actualité du moment en vidéo.

Pierre Laurent, Secrétaire national du PCF, accompagné d’élu-e-s et militant-e-s communistes ont participé à la mobilisation contre la réforme des retraites, mardi 19 octobre 2010.

Le PCF appelle à la plus large mobilisation, derrière les syndicats, partout en France.

Citoyen-ne-s, salarié-e-s, jeunes, élu-e-s et militant-e-s doivent se retrouver, toujours plus nombreux dans les rues pour faire échouer le projet gouvernemental contre la réforme des retraites imposée par le gouvernement.

Parti communiste français,

Paris, le 18 octobre 2010.

09:29 Publié dans ACTUALITES | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : pcf, pierre laurent, retraites | |  Imprimer |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook | | Pin it!

19/10/2010

Violences : force doit rester au débat et à la démocratie

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DECLARATION DE PIERRE LAURENT SECRETAIRE NATIONAL DU PCF

Au nom du PCF, je veux dire toute mon inquiétude devant les scènes de violence auxquelles on assiste depuis ce matin dans plusieurs villes de France.

Elles ne peuvent que desservir l’imposant mouvement populaire que connait notre pays contre la réforme  Depuis plusieurs jours, le gouvernement multiplie les provocations policières et joue délibérément la carte de l’exaspération, de la tension et du pourrissement du conflit. Raison de plus pour avoir du sang froid pour deux.

La violence n’est pas le bon chemin, même si Nicolas Sarkozy et son gouvernement, par leur refus d’entendre le mouvement populaire, en portent la responsabilité.

La présence policière devant les établissements, qui sert de prétexte à des débordements, doit être levée. Les violences doivent cesser. Elles ne profitent qu’au gouvernement qui cherche à instrumentaliser le conflit dans le but de diviser le mouvement social.

J’appelle les salarié-e-s, les élu-e-s, les parents d’élèves, les jeunes à s’unir et à travailler main dans la main pour empêcher tous nouveaux affrontements.

Force doit rester au débat et à la démocratie. C’est uni et rassemblé que le mouvement est devenu majoritaire dans le pays, c’est uni et rassemblé qu’il triomphera.

Paris, le 18 octobre 2010.

20:12 Publié dans PARTI COMMUNISTE FRANCAIS | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : violence, pcf, pierre laurent | |  Imprimer |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook | | Pin it!