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23/02/2013

Non à l’accord du Medef ! Signez la pétition (Appel unitaire)

medef,sécurisation de l'emploi,pétitionL’accord national interprofessionnel (ANI) du 11 janvier, ou « accord emploi », signé par le patronat et certaines organisations syndicales représente un recul social majeur.

 Les soi-disant « nouveaux droits pour les salariés » sont en réalité de portée limitée et comportent nombre de dérogations et de dispositions qui en permettent le contournement. Par contre, les mesures en faveur du patronat portent des coups sévères au droit du travail.

Cet accord s’inscrit dans le droit fil des préconisations, appliquées partout en Europe, de la Troïka (Commission européenne, Banque centrale européenne, Fonds monétaire international) : démantèlement du droit du travail, chantage à l’emploi pour baisser les salaires et les droits sociaux au nom de la compétitivité. Il contribuera ainsi à la spirale dépressive dans laquelle les politiques d’austérité enfoncent l’Union européenne.

L’accord aggrave encore, après les lois Fillon de 2004 et 2008 qu’il faut abroger, la remise en cause de la hiérarchie des normes en permettant de nouveau qu’un accord d’entreprise soit moins favorable que la convention collective et que la loi : en cas de « graves problèmes conjoncturels » de l’entreprise (quelle entreprise ne connaît pas de problème conjoncturels et surtout qui en jugera ?), il ne laisse d’autre choix au salarié que d’accepter la baisse de son salaire et l’augmentation de son temps de travail sous peine de licenciement. L’accord réduit considérablement les droits et les possibilités de contestation et de recours à la justice des salariés et de leurs représentants. Il remet en cause des prérogatives importantes des instances représentatives du personnel et renforce le pouvoir des employeurs, notamment celui d’imposer la « mobilité » des salariés (changement de lieu ou de poste de travail).

Loin de permettre « la sécurisation de l’emploi et des parcours professionnels des salariés » cet accord va, au contraire, aggraver la précarité du travail en libérant le patronat de nombre d’obligations. En dépit des promesses qui avaient été faites par le gouvernement, l’accord ne réduit pas les inégalités professionnelles entre les femmes et les hommes, alors même que la précarité de l’emploi concerne en premier lieu les femmes, prépondérantes dans le temps partiel (80%) et plus souvent touchées par les CDD, le chômage et le sous-emploi. De même, à l’heure où près du quart des actifs de moins de 25 ans est au chômage, ces accords risquent de fragiliser les conditions d’emploi des jeunes. Que ce soit par la faiblesse de leur ancienneté dans l’entreprise, ou bien parce qu’on estimerait qu’un jeune a « toute sa vie devant lui », en l’absence de vraies mesures contre les contrats précaires qui les touchent massivement, les jeunes risquent de payer le prix du chantage à la mobilité et de l’assouplissement des licenciements.

Enfin cet accord est illégitime. Il a été signé par trois confédérations syndicales représentant une minorité de salariés, alors même que les règles de représentativité syndicale sont sur le point de changer. Les parlementaires de droite se disent prêts à voter ses dispositions telles quelles, mais ni le président de la République, ni la majorité de l’Assemblée nationale n’ont été élus pour faire reculer les droits des salariés. Transposer ces reculs sociaux dans la loi représenterait donc un grave déni démocratique.

Nous appelons les salariés-es, et plus largement, tous les citoyen-ne-s à lire ce texte, à l’analyser, à tenir partout des réunions pour en débattre ensemble et faire entendre leurs exigences auprès de leurs élus, tout particulièrement ceux de gauche, pour qu’ils ne votent pas ce texte. L’heure est bien plutôt à la sécurisation des emplois contre les licenciements, pour un travail de qualité, sans précarité, avec des droits sociaux de haut niveau pour les salariés, les chômeurs et les retraités. Nous ferons tout pour que cet accord n’acquière pas force de loi et nous appelons à soutenir toutes les initiatives en ce sens, en particulier les mobilisations syndicales.

Appel soutenu par : Attac, CADAC, CGT Commerce Paris, CGT Hôtels Prestiges et Economiques, CGT-Finances, CNDF, CNT-Solidarité ouvrière Ile-de-France, Convergence de défense et développement des services publics, Convergences & Alternative, Fédération pour une alternative sociale et écologique, Fondation Copernic, FSU, Gauche anticapitaliste, Gauche unitaire, Les Alternatifs, Les efFRONTé-e-s, Marches européennes contre le chômage, Mouvement des jeunes communistes de France, Mouvement national des chômeurs et précaires, Nouveau parti anticapitaliste, Osez le féminisme !, Parti communiste français, Parti communiste des ouvriers de France, Parti de gauche, Réseau féministe « Ruptures », Résistance sociale, République & Socialisme, UNEF, Union syndicale Solidaires...

Signez la pétition !

 

10/09/2012

Non à l’austérité permanente. Refusons le Pacte budgétaire, ouvrons le débat en Europe !

referendum1.jpgLe président de la République veut faire ratifier au plus vite par le Parlement le Traité pour la stabilité, la coordination et la gouvernance (TSCG) de la zone euro, plus connu sous l’intitulé de « Pacte budgétaire », tel qu’il a été signé par Nicolas Sarkozy le 25 mars dernier. Pourtant, les faibles mesures « de croissance » annoncées le 29 mai dernier ne constituent en rien la « renégociation » promise par le candidat François Hollande d’un traité qui « ajoute l’austérité à l’austérité ».

Ce Pacte budgétaire aggrave les politiques néolibérales prônées depuis des années et qui ont mené aux problèmes actuels de la zone euro. Il représente d’abord une absurdité économique. En imposant que le « déficit structurel » d’un État soit inférieur à 0,5 %, il va obliger à des coupes drastiques dans les dépenses publiques. Il va priver la puissance publique de moyens indispensables pour mener des politiques permettant d’engager la transition sociale et écologique. Or nous avons besoin au contraire de développer et de rénover les services publics et la protection sociale pour répondre aux nombreux besoins non satisfaits, réduire les inégalités sociales et réaliser l’égalité entre les femmes et les hommes. Nous avons besoin d’investissements publics considérables pour financer la transition énergétique, réduire les pollutions, assurer la reconversion écologique des modes de production et de consommation, créer des millions d’emplois. L’obligation d’équilibre budgétaire permanent sera un frein majeur pour s’attaquer à la crise sociale et écologique.

Dans une Europe où les clients des uns sont les fournisseurs des autres, cette orientation engagée depuis deux ans amène aujourd’hui la récession généralisée. Les difficultés de PSA et d’autres entreprises découlent directement de l’effondrement de la demande en Europe du Sud. Aujourd’hui le pouvoir d’achat stagne ou régresse, les entreprises et les collectivités locales réduisent leurs investissements : dans ce contexte couper dans les dépenses publiques ne fera qu’aggraver le chômage. Dès 2013, selon une étude du FMI lui-même, ramener le déficit de la France à l’objectif de 3% du PIB affiché par le gouvernement créera automatiquement 300 000 chômeurs de plus. La réduction des recettes fiscales qui en résultera rendra encore plus difficile la réduction des déficits, que l'austérité était censée favoriser, « justifiant » ainsi un nouveau tour de vis, etc.

Économiquement stupide, ce Pacte budgétaire est socialement insupportable car les « programmes d’ajustement structurel » aujourd’hui imposés à la Grèce et aux autres pays en difficulté réduisent les protections, accroissent les inégalités et touchent le plus durement les populations les plus précaires - femmes, jeunes, ouvriers, immigré-es. Loin d’éviter aux pays du Nord de l’Europe de subir le sort de ceux du Sud, ce Pacte entraîne toute l’Union dans une spirale dépressive qui risque de généraliser la pauvreté. Ce serait un recul sans précédent depuis la Seconde Guerre mondiale.

Enfin, ce Pacte budgétaire représente un déni démocratique. Non seulement il prévoit des sanctions quasi automatiques en cas de non-respect, mais il marginalise les Parlements nationaux et européen, et fait de la Commission et de la Cour européenne de justice, organismes non élus, les juges des budgets nationaux. Il installe un fédéralisme autoritaire niant la souveraineté populaire. Il place l’économie en pilotage automatique, soumise à des normes destinées à rassurer des marchés financiers dont la puissance n’est pas remise en cause. Nous ne l’acceptons pas.

Les crises sociale, écologique et financière mondiales s’aggravent. Elles sont lourdes de dangers comme le montre le renforcement des extrêmes droites xénophobes et nationalistes. Ces crises nécessitent une mobilisation de l’Europe, mais d’une Europe fondée sur la solidarité et la démocratie, d’une Europe qui se dégage de l’emprise des marchés financiers. Or le Pacte budgétaire va au contraire renforcer les contradictions internes à la zone euro et pourrait mener à son éclatement. Le refus de la France de ratifier ce traité serait un signal fort envoyé aux autres peuples européens afin d’ouvrir le débat sur la construction d’une autre Europe.

C’est pourquoi, nous, les organisations signataires de ce texte refusons ce Pacte budgétaire qui engage l’avenir. Nous demandons qu’un large débat démocratique ait lieu afin que les citoyen-es puissent s’emparer de ce sujet décisif et se prononcer à son propos. Nous voulons mettre le Président de la République, son gouvernement, les parlementaires devant leurs responsabilités.

Pour créer ce débat démocratique, nous appelons à renforcer les collectifs locaux déjà existants - notamment ceux pour l’audit citoyen de la dette publique -, à en créer de nouveaux le cas échéant ; nous organiserons ensemble une série de débats publics dans toute la France ; nous nous adresserons et inviterons les citoyens à s'adresser à chaque député et sénateur de la majorité parlementaire, et nous organiserons des manifestations dont une grande manifestation unitaire à Paris le dimanche 30 septembre. Un comité d’organisation se met immédiatement en place pour assurer le succès de ces initiatives.

  • Premiers signataires:

Aitec-IPAM, AC !, ANECR, Attac, CADTM, Cedetim-IPAM, CDDSP, CNDF, Les Économistes Atterrés, Fondation Copernic, Front de gauche - Parti communiste français - Parti de gauche - Gauche unitaire - FASE - République et Socialisme - PCOF - Convergence et Alternative - Gauche anticapitaliste, Les Alternatifs, M'PEP, Marches Européennes, NPA, Résistance Sociale, Sud BPCE, Union syndicale Solidaires. Toutes les organisations syndicales, associatives et politiques progressistes qui le souhaitent peuvent rejoindre les premiers signataires. Pour en savoir plus : www.audit-citoyen.org ou contact@audit-citoyen.org.

Le non de la gauche rassemble ses forces

Pour la démocratie, un référendum sur le pacte budgétaire européen

28/07/2012

Pétition pour un référendum sur le nouveau traité européen

referendum.jpgFrançois Hollande s’était engagé à renégocier le traité pour la stabilité, la coordination et la gouvernance (TSCG), appelé aussi pacte budgétaire, signé par N. Sarkozy et A. Merkel. il n’en est rien.

Or ce texte durcit encore les traités de Maastricht et de Lisbonne et prône à la fois l’austérité à perpétuité, et le contrôle des budgets par la Commission de Bruxelles. Pourtant l’expérience montre que cette orientation n’a fait qu’enfoncer les pays européens dans la crise et les peuples dans la souffrance.

 N. Sarkozy battu, son traité ne doit pas être appliqué. il faut aujourd’hui un débat public sur les orientations européennes et un référendum sur le nouveau traité. Seul le peuple souverain peut décider de son avenir.

C’est une question de démocratie.

petitionhop.JPGJe demande au président de la République de convoquer la tenue d’un référendum sur l’approbation ou non de ce traité (TSCG).

Cliquez sur cette ligne pour signer la pétition}}}

29/03/2012

PETITION DE SOUTIEN AUX ENSEIGNANTS DES LP PERRET ET BAUDELAIRE D’EVRY MOBILISES DEPUIS LE 10 FEVRIER POUR LE MAINTIEN DE CONDITIONS D’ETUDES DIGNES POUR LEURS ELEVES

lep.jpgPétition proposées par les enseignants et soutenue par la section du PCF et les élus communistes d’Evry :

Nous soutenons les enseignants mobilisés des LP Auguste Perret et Charles Baudelaire d’Evry qui occupent leurs établissements depuis le 13 février ; ils utilisent tous les moyens en leur possession pour refuser qu’on prenne le plus à ceux qui ont le moins, c’est à dire aux élèves des lycées professionnels.
Nous demandons : le rétablissement des moyens supprimés pour la rentrée 2012, soit environ 72 heures (4 postes) par établissement.
Puisque la direction académique de l’Essonne refuse d’entendre ses personnels et ses élèves nous en appelons à l’arbitrage du ministère.

La pétition en ligne :

http://petitionpublique.fr/PeticaoVer.aspx?pi=P2012N22654

Elle a déjà recueilli plus de 243 signatures en moins de 48 heures parmi lesquelles CGT Educ'action Versailles, CGT Educ'action 91, CGT Educ'action 92, SNFOLC, Francis Chouat (1er adjt au maire d'Evry, 1er vice-pdt PS du Conseil Général de l'Essonne), Christian Pigaglio (conseiller municipal, président du groupe communiste au conseil municipal d'Evry), Diego Diaz (maire adjt communiste d'Evry), Marianne Louis (adjte au maire d'Evry, conseillère régionale IDF, PS), Danielle Valero (maire-adjte d'Evry, EELV), Elise Yagmur (conseillère municipale communiste, Evry, candidate Front de Gauche aux législatives), Francis Couvidat (conseiller municipal Evry, NPA), Marjolaine Rauze (maire de Morsang sur Orge, conseillère générale communiste de Fleury et Morsang), Bruno Piriou (conseiller municipal Corbeil, vice-pdt communiste du Conseil Général), Philippe Camo (conseiller régional communiste), Ulysse Rabate (candidat Front de Gauche aux législatives, 1ère circonscription, Evry-Corbeil).

pétition,lep,perret,baudelaire,evryFRANCE INFO A DIFFUSE UN REPORTAGE SUR LA SITUATION DES LEP BAUDELAIRE ET AUGUSTE QUE VOUS POUVEZ ECOUTER EN CLIQUANT SUR CETTE LIGNE

19:00 Publié dans ACTUALITES, ELUS COMMUNISTES | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : pétition, lep, perret, baudelaire, evry | |  Imprimer |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook | | Pin it!

03/07/2011

Pétition : front uni contre la vie chère

IMG00369-20110619-1031.jpgDes dizaines de milliers de personnes ont déjà signé la pétition proposée par le Parti communiste français contre la vie chère. A Evry les militants communistes ont proposé avec succès cette pétition sur les marchés (photo centre commercial du Mousseau) . En quelques minutes ce sont des dizaines et des dizaines d’Evryens qui en signant se sont exprimés. Cette campagne doit se poursuivre tout l’été.

TEXTE DE LA PETITION

IMG00377-20110619-1047.jpgLa hausse des prix et la baisse du pouvoir d'achat asphyxient les familles alors qu'au même moment les entreprises du CAC 40 enregistrent des bénéfices records. La précarité pour une très grande majorité, toujours plus de profits pour une petite minorité : cette réalité est de plus en plus insupportable chaque jour.

Ensemble nous exigeons :

■D'augmenter les salaires, pas les actionnaires. Une sensible augmentation des salaires, des retraites et des minimas sociaux, avec un salaire minimum porté tout de suite à 1600 euros brut. Une contribution immédiate des grandes fortunes, via un renforcement de l'ISF, pour redonner à l'État les moyens de conserver et créer des emplois utiles dans l'éducation, la santé, la police. La création d'une sécurisation de l'emploi et de la formation.

■De bloquer les prix et les loyers. Bloquer les prix de l'énergie (gaz, électricité, essence) et d'un ensemble de bien de 1ère nécessité. Bloquer les loyers et en limiter le montant à un maximum de 20% des revenus des familles.

■De taxer les profits et la spéculations : Taxer les revenus financiers des entreprises, supprimer les 30 milliards d'exonérations des cotisations patronales, créer un pôle public bancaire.

16/05/2011

PCF : PETITION CONTRE LA VIE CHERE

viechere.jpgLa hausse des prix et la baisse du pouvoir d'achat asphyxient les familles alors qu'au même moment les entreprises du CAC 40 enregistrent des bénéfices records. La précarité pour une très grande majorité, toujours plus de profits pour une petite minorité : cette réalité est de plus en plus insupportable chaque jour.

Ensemble nous exigeons :

  • D'augmenter les salaires, pas les actionnaires. Une sensible augmentation des salaires, des retraites et des minimas sociaux, avec un salaire minimum porté tout de suite à 1600 euros brut. Une contribution immédiate des grandes fortunes, via un renforcement de l'ISF, pour redonner à l'État les moyens de conserver et créer des emplois utiles dans l'éducation, la santé, la police. La création d'une sécurisation de l'emploi et de la formation.
  • De bloquer les prix et les loyers. Bloquer les prix de l'énergie (gaz, électricité, essence) et d'un ensemble de bien de 1ère nécessité. Bloquer les loyers et en limiter le montant à un maximum de 20% des revenus des familles.
  • De taxer les profits et la spéculations : Taxer les revenus financiers des entreprises, supprimer les 30 milliards d'exonérations des cotisations patronales, créer un pôle public bancaire.

SIGNEZ LA PETITION EN CLIQUANT SUR CETTE LIGNE

10:24 Publié dans ACTUALITES, PARTI COMMUNISTE FRANCAIS | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : pétition, vie chère | |  Imprimer |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook | | Pin it!

20/02/2011

PETITION POUR LA GESTION PUBLIQUE DE L'EAU SUR L'AGGLOMERATION D'EVRY

eau,pétition,gestion,pcfLa délégation du service public de l’eau de la communauté d’agglomération d’Evry Centre arrive à son terme.  Les citoyennes et les citoyens vont enfin pouvoir donner leur avis.

Si comme nous vous souhaitez que la gestion de l’eau soit publique, que son prix soit réduit pour les besoins vitaux, que de véritables économies soient programmées, vous pouvez signer cette pétition :

Depuis la création de la ville nouvelle d‘Evry, la gestion de l’eau est privatisée. Elle a été confié à la Société des Eaux de l’Essonne, de la Lyonnaise des eaux, du groupe Suez Environnement dont les résultats net au premier semestre 2010 s‘établissent à + 121 %.

Le tarif au m3 était de 3,78 € en 2010, pratiquement un des plus chers de l’Ile de France (tarifs situés en moyenne à 3,33 €, 2,89 à Paris).
D’ici 2015 les prévisions de hausse dans la région Parisienne sont de plus de 15 %.

« L’eau n’est pas une marchandise, c’est un bien commun de l’humanité, nous exigeons sa gestion publique en régie municipale.
Pour arrêter le gaspillage, pour une tarification sociale, nous souhaitons une gestion transparente sous contrôle des citoyens.

Pour cela, nous demandons que la communauté d’agglomération d’Evry centre diligente une étude indépendante, comparative entre le privé et le public. »

Pétition soutenue par : PARTI COMMUNISTE FRANCAIS –JEUNESSE COMMUNISTE-GROUPE DES ELUS COMMUNISTES DE L'AGGLOMERATION D'EVRY….

13:46 Publié dans ELUS COMMUNISTES, Société | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : eau, pétition, gestion, pcf | |  Imprimer |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook | | Pin it!