14/03/2015
Wafae Charaf : Prisonnière je le suis mais libre malgré les chaines !
S'il vous plait, ne m'interrogez pas
Est-ce une vérité ?
Est-ce un rêve ?
Interrogez-moi...oui...interrogez-moi
Je suis liberté éternelle absolue
Je suis la patrie libre
Je suis une femme révolutionnaire
Je suis une jeune rebelle
Je suis une jeune militante...J'ai abandonné ma famille et mes camarades
Je suis derrière les barreaux des cellules de la réaction
Ma voix..Résistance.
Ma voix...Révolution
Mon amour...Résistance.
Mon militantisme...continu
Emprisonnée, opprimée, réprimée et j'ai souffert
Je me suis rebellé et je me rebellerai...J'ai milité et je militerai
Je réfléchi et je dis
S'il vous plait, avez-vous vu une détenue se consoler elle-même ?
Je renouvelle confiance en moi
Mon sourire augmente d'avantage mon espoir
Mon amour est celui d'une patrie libre
Mon amour est celui de la femme libre
Prisonnière je le suis mais libre malgré les chaines
18:02 Publié dans ELUS COMMUNISTES, International | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : wafaa charaf, poème | | Imprimer | del.icio.us | | Digg | Facebook | |
13/03/2015
Pierre Laurent veut donner de la force à la "nouvelle gauche"
Le secrétaire national du Parti communiste français a appelé ce jeudi les Français à "donner plus de force" à cette "nouvelle gauche qui est en train d'émerger", regroupant communistes, écologistes et frondeurs, lors des élections départementales.
"J'invite les français à donner de la force, à travers nos candidatures aux départementales, à cette nouvelle gauche qui est en train d'émerger", a déclaré Pierre Laurent ce jeudi matin sur France Info. Le secrétaire national du PCF veut construire une grande alliance avec les écologistes. "Il y a beaucoup de candidatures qui sont communes aux élections départementales. Sur la loi Macron il y a eu une convergence concrète", a-t-il assuré, comme "sur le soutien au nouveau gouvernement grec. Lire à ce sujet : Front de gauche et EELV font binômes communs.
Pierre Laurent invite au rassemblement, y compris avec les frondeurs du PS: "la Force que j'invite à construire et que d'autres maintenant à gauche invitent à construire veut aller au gouvernement, mais pour faire une autre politique. Ce n'est pas un débat entre ceux qui veulent (...) ou ne veulent par y aller. C'est un débat sur le cap qui doit être celui d'un vrai gouvernement de gauche".
« Une convergence de fond »
En toile de fond, outre les frondeurs, il y aussi une dynamique politique au sein d’EELV. Cécile Duflot a lancé dans Libération un appel au rassemblement d’une nouvelle gauche, souhaitant "une force politique avec un grand "P". Une force culturelle, sociale et civique. Pas un nouveau parti, ni une addition d’étiquettes. Il nous faut mobiliser tous ceux qui disent "la politique ne nous intéresse pas" mais veulent changer de monde".
Jean-Luc Mélenchon sur son billet de blog publié ce jeudi note avec elle une "convergence de fond". "Au plan idéologique et pratique : donner à la question de la survie de l’écosystème le rôle central. Celui d’organisateur de la vision du monde et du programme politique. C’est lui qui doit replacer la question du partage des richesses dans une nouvelle logique où la notion de richesse est elle aussi interpellée. C’est exactement ce que proclament, sous une forme concentrées, les thèses sur l’écosocialisme que nous défendons par monts et par vaux depuis la rédaction du manifeste de 2012. "
Cette dynamique qui peut se retrouver dans les urnes fait peur au premier secrétaire du PS Jean-Christophe Cambadélis qui a déploré a qualifié de "suicide politique en direct" ces binômes Front de gauche-EELV.
"Ca ne m'intéresse plus, les dirigeants socialistes qui passent leur temps à parler de défaite, de suicide, d'enterrement, on a envie d'une gauche qui change de cap, et ces forces la commencent à se rassembler", a réagi à ce propos Pierre Laurent.
Il appelle "les forces qui ont commencé à travailler un peu partout ensemble dans le pays, les nôtres, celles des écologistes, des frondeurs, doivent continuer à travailler ensemble parce que ce changement de politique, il est plus incontournable que jamais". "J'invite à se rassembler dans ce sens positif là", a-t-il conclu.
Pierre Laurent : « Il va falloir changer de... par FranceInfo
09:34 Publié dans ACTUALITES, ACTUes-Vidéos, PARTI COMMUNISTE FRANCAIS, Vidéo | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : pierre laurent, gauche | | Imprimer | del.icio.us | | Digg | Facebook | |
09/03/2015
Libres d’être comme elles le souhaitent
La chronique de Barbara Romagnan dans l'Humanité « Derrière la prescription ou la proscription d’un vêtement, il y a aussi l’assignation à une certaine identité, à une place à laquelle on devrait se tenir.»
Autour du voile se posent des questions d’ordres très différents sur le plan des principes, mais qui sont souvent mêlées dans les débats. Par exemple, ce qui interdit à un agent public de porter le voile dans l’exercice de ses fonctions, c’est le principe de la neutralité de l’État. Bien comprise, la laïcité permet d’accepter à la fois que les religions n’interviennent pas dans la sphère politique mais que les manifestations de croyance religieuse soient libres dans l’espace civil, notamment sur la voie publique, autrement dit dans la rue.
On invoque souvent aussi l’émancipation des femmes comme argument contre le voile. Porter un voile, cacher son corps, ce serait une marque de soumission de la femme à l’homme – à son mari, à son père, à son frère… J’avais spontanément tendance à le penser également. Sans être totalement revenue sur cette idée, je vois les choses un peu différemment aujourd’hui. Jusqu’où montrer son corps est-il une manifestation de liberté ?
Le port de vêtements moulants, courts ou transparents est-il toujours un signe de liberté ou parfois de soumission aux souhaits de certains hommes, ou à certains codes vestimentaires ?
Imposer à une femme de porter le voile, c’est certes porter atteinte à sa liberté, mais lui interdire de le faire, cela me gêne aussi. Pourquoi serait-on obligée de montrer ses cheveux ?
Qui peut décider ce qu’une femme doit ou peut donner à voir à tous dans la rue ?
Derrière la prescription ou la proscription d’un vêtement, il y a aussi l’assignation à une certaine identité, à une place à laquelle on devrait se tenir.
Il me semble qu’on défend mieux les femmes en défendant leur liberté de s’habiller comme elles le souhaitent, qu’en les obligeant à enlever un voile. Une étudiante française, musulmane, mère de deux enfants, m’a dit porter un foulard parce que c’est une des dimensions de sa façon de vivre sa croyance. Mais ce foulard, elle le porte pour elle pas contre les autres, elle le porte sur elle, elle ne le jette à la figure de personne.
Elle m’a dit aussi apprécier son foulard qui lui épargnait des regards trop appuyés ou des commentaires sur son physique qu’elle avait subi adolescente. Je crois que reconnaître la liberté des femmes suppose de les voir comme des sujets capables de donner le sens de leurs choix, et non comme les objets d’un discours, venu de l’extérieur, qui dirait ce qu’elles doivent faire ou être.
23:24 Publié dans Barbara Romagnan, Point de vue | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : romagnan, voile | | Imprimer | del.icio.us | | Digg | Facebook | |
06/03/2015
RASSEMBLEMENT A CORBEIL CONTRE LE PARTI DE LA HAINE !
La Fédération de l’Essonne du PCF, appelle, toutes celles et ceux, forces politiques, syndicales, associatives, citoyennes-nes, à participer au rassemblement devant la Mairie de Corbeil-Essonnes, le 10 mars à 19h en protestation au meeting organisé par le FN avec la présence de Marion Maréchal-Le Pen.
Ensemble nous exprimerons notre refus de la haine et de la division entre les Français, de tous les racismes, notre opposition à une société de repli, alerter sur le programme du FN marqué par le recul social et le déni démocratique.
Exprimons à l’inverse notre combat contre l’austérité, qui fait son lit, notre désir de mieux vivre ensemble, de fraternité, de Paix et de solidarité. Enfin il faut alerter sur la tromperie qui s'organise contre leurs intérêts, dire aux ouvriers, aux employés, aux salariés de conditions modestes, aux familles populaires qui souffrent durement de la crise et ne supportent plus d'être pris pour des imbéciles par ceux qui ont le pouvoir et l'argent : le FN n'est pas votre nouvel ami, c'est votre meilleur ennemi.
Exprimons aussi notre refus d’une incroyable promotion et banalisation du Front national au mépris du danger que cela fait courir à la démocratie et à l'unité nationale, notamment dans les médias qui participe d’un climat propice à la multiplication des actes antisémites et islamophobes de ces dernières semaines. La banalisation en cours ne concerne pas que la parole raciste. La campagne de Robert Ménard sur le « nouvel ami » que constitue une arme est un irresponsable appel à la violence.
Ensemble contre l’intolérance !
Corbeil-Essonnes, le 06/03/2015
13:45 Publié dans ACTUALITES, PARTI COMMUNISTE FRANCAIS | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : fn, corbeil, manif | | Imprimer | del.icio.us | | Digg | Facebook | |
05/03/2015
NOUVELLE AGRESSION CONTRE UNE JEUNE MILITANTE COMMUNISTE DE 20 ANS A BOBIGNY !
Tôt ce matin, alors qu'elle sortait de chez elle, une jeune militante de 20 ans du PCF de Bobigny a été agressée. Trois hommes cagoulés l'attendaient en bas de son domicile.
Il s'en sont pris à elle physiquement en proférant des menaces directement liées à son engagement militant dans la ville et à la campagne des départementales. Cette agression fait suite à une série d'intimidations dont cette jeune fille est l'objet depuis plusieurs jours maintenant.
Pierre Laurent : "Le PCF ne se soumettra à aucune forme d'intimidation"
"J’exprime toute ma solidarité et tout mon soutien à cette camarade. Je demande que les auteurs de ces agressions soient retrouvés le plus rapidement possible afin que soit mis fin à ces agissements inacceptables.
Cette agression n'est malheureusement pas la première du genre. Le climat politique s'est fortement dégradé depuis un certain temps à Bobigny, instrumentalisé par certains qui entendent instaurer un climat de terreur dans la ville et faire taire toute contestation.
Le PCF ne se soumettra à aucune forme d'intimidation et entend continuer et renforcer sa présence militante sur la ville dans l’intérêt des balbyniens et des balbyniennes. Les pouvoirs publics doivent prendre la mesure de la situation et agir en conséquence afin que les militants du PCF puissent mener sereinement cette campagne électorale et faire valoir un des droits démocratiques les plus élémentaires, celui de l'engagement politique. "
18:08 Publié dans ACTUALITES, PARTI COMMUNISTE FRANCAIS | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : agression, militante pcf, bobigny | | Imprimer | del.icio.us | | Digg | Facebook | |
03/03/2015
Le Front national vide son sac d’ordures
Oui, il existe un « danger » Front national que la gauche – et cette partie de la droite qui ne l’a pas nourri de l’abandon de ses valeurs républicaines – doit reconnaître.
Mais il ne suffit pas de crier au 21 avril pour inciter au vote utile, comme le font certaines écuries médiatiques et politiques qui, du coup, dédouanent les exécutifs, national et locaux, quand c’est leur absence de réponse politique à la crise économique et sociale qui fait le lit de l’empire Le Pen.
Le danger, encore pointé hier par le secrétaire national du PCF, réside autant dans ce que le parti d’extrême droite ne dit pas clairement de ses projets antisociaux que dans ce que ses candidats révèlent, le plus souvent sur des réseaux sociaux utilisés comme déversoir d’une haine débordante.
Que sait-on de la volonté des candidats frontistes de réserver le RSA aux « Français d’abord » ?
Que dit le parti de Marine Le Pen sur la suppression de la clause de compétence générale des départements ?
Des généralités, rabâchées lors de « formations » parisiennes auxquelles sont tenus de participer (sous peine d’être mal vus de la direction nationale) les candidats frontistes aux élections.
Ainsi, au fil des articles de la presse régionale, visibles sur les sites des fédérations FN, les expressions « défense de nos départements » ou « sauvegarde du département » sont servies ad nauseam, alors même que la politique de la collectivité n’est que très rarement expliquée.
Témoin cet article, fin janvier dans la Voix de la Haute-Marne, qui note que le binôme frontiste pour le canton de Chalindrey, Fabienne Millot et Gérard Terrillon, a « bien du mal à s’exprimer » sur les sujets départementaux : « Il va falloir qu’on soit un peu plus informé sur le sujet » ; ou encore : « J’aimerais connaître un peu mieux les tenants et les aboutissants », répondent-ils à propos de projets pourtant connus...
Quant aux propositions déclinables, il leur aura fallu attendre l’édition d’un tract national, hier, rappelant un certain nombre de mesures, dont la « lutte contre le communautarisme dans les structures départementales en charge de la petite enfance » : « interdiction des signes religieux »... « comme le voile à la crèche », « respect de la laïcité », « refus du prosélytisme »... « islamiste ». On avait déjà lu ça quelque part.
Rien de nouveau qui justifie que le Front national se retrouve ainsi au centre du jeu médiatique, préalable plus que conséquence à sa position centrale dans le jeu politique. Pour un parti qui a su élargir son électorat en jouant sur son côté attrape-tout, l’essentiel n’est pas d’ailleurs de clarifier ses positions. Marine Le Pen l’a bien spécifié le week-end dernier devant un parterre de candidats FN : l’enjeu principal de cette élection tient au renforcement de sa présence.
C’est un « concours Lépine de l’abomination »
Lors de la convention Départementales 2015 de son parti, Marine Le Pen a motivé son auditoire, poussant les 7 648 candidats frontistes répartis dans 1 912 cantons à « dépasser la barre des 20 % », un seuil « fracassant » à atteindre pour, dit-elle, « influencer la politique menée dans les départements ».
Quitte pour cela à ne pas être trop regardant sur les profils des candidats. Marine Le Pen l’avoue : « Ça n’a pas été facile, mais nous y sommes arrivés. » Pour boucler ses binômes, le FN de Haute-Loire a recruté six membres d’une même famille. Dans le canton d’Aubière (Puy-de-Dôme), le parti est allé chercher Pascal Bardin, condamné à six mois de prison avec sursis pour avoir tenté d’écraser un piéton en mars 2014 : « J’ai voulu donner une leçon de morale à un bon petit Français, un Guadeloupéen, qui traversait en dehors du passage piéton », se défendait-il sur France 3 Auvergne.
Parmi l’armée de candidats FN qui ne brillent ni par leur finesse ni par leur idéal républicain, combien passeront à l’acte ?
Car les VRP locaux de la marque Le Pen ne font pas dans la dentelle, comme le rappelait le Parti communiste français lors d’une conférence de presse, hier.
C’est un « concours Lépine de l’abomination », lâchait le porte-parole du PCF Olivier Dartigolles, commentant les déclarations insoutenables de candidats frontistes ou assimilés sur les réseaux sociaux.
Un condensé de propos « délictueux, racistes, xénophobes, haineux », dont la mise bout à bout suscite écœurement et indignation.
Certains (dans l’Aude) appellent à des « battues » anti-arabes, rappel des ratonnades des années 1970 et 1980 dans les foyers et campements des ouvriers immigrés.
D’autres, à l’instar de Jean-Christophe Vee, dans l’Yonne, singent le « parler arabe » : « Nike ta mere raciste na din moumouk assedic caf » (sic). Racisme tout court, racisme social et pour finir, homophobie, comme en témoigne ce message sur Facebook de Roger Dohen, candidat dans le canton de Marck (Pas-de-Calais) : « Le mariage = un homme une femme. Ils en veulent toujours plus ses PD » (sic)…
Dans un message vidéo du 27 février, le député européen FN, Gilles Lebreton, avait pourtant mis en garde : « Du militant de base à notre présidente, en passant par nos candidats et nos élus, nous devons tous êtres exemplaires. Nous devons rester calmes, résister aux provocations, toujours privilégier la prise de décisions réfléchies aux coups de gueule. »
Savoureux, a posteriori…
À chaque jour son lot de déclarations scandaleuses
« S’ils sont élus », les candidats frontistes auteurs de ces propos « ne participeront pas aux groupes du Front national », promettait Marine Le Pen lors du 12-13 de France 3, dimanche.
On peut en douter, car à ce jour, seuls Guillaume Jambard, en Gironde (« Travail, famille, patrie »), Alexandre Larionov, dans l’Aveyron (les « Juifs », une « race parasite » qui « merrite » (sic) une « mort cruelle ») et Thierry Brésolin, en Ardèche (« Marine, tu es la réincarnation d’Hitler. Toi, tu vas nettoyer la France ») sont officiellement sous le coup d’une exclusion. Ce qui d’ailleurs ne les empêchera pas de voter, voire de siéger aux côtés des élus FN, comme l’a longtemps fait le conseiller régional du Rhône Alexandre Gabriac (1).
Pour les autres, la commission de discipline du parti d’extrême droite n’est pas près de se réunir. C’est que, malgré cette loi des séries qui voit chaque jour son lot de déclarations scandaleuses, « trop nombreuses pour qu’on avalise leur caractère anecdotique », selon le secrétaire national du PCF, Pierre Laurent, et qui « participe à la multiplication des actes antisémites et islamophobes », Marine Le Pen nie toute escalade. L’héritière de la haine familiale estime que « 99,99 % des candidats font un sans-faute ». La « dédiabolisation » est en marche.
10:33 Publié dans ACTUALITES, PARTI COMMUNISTE FRANCAIS, Société | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : fn, le pen, pcf | | Imprimer | del.icio.us | | Digg | Facebook | |
01/03/2015
Que liberté, égalité, fraternité deviennent réalité
L'éditorial de Patrick le Hyaric dans l'Humanité Dimanche.
"Une République refondée ferait sienne la reconquête des droits au travail et à l’éducation, à la culture, au sport, le droit au logement, à l’énergie, à l’eau ou au transport."
Avec les habitants de sa ville, les associations, le maire de Grigny, dans l’Essonne, notre ami Philippe Rio, a écrit un manifeste pour la République. C’est un cri contre la violence des inégalités qui rongent la société. Un appel pour que la République revienne s’installer dans les quartiers.
Quel sens peuvent bien avoir ces beaux mots de liberté, d’égalité et de fraternité pour des millions de nos concitoyens dont le quotidien est celui du chômage, des discriminations, de la précarité, du mallogement, quand les services publics s’éteignent un à un et que les crédits publics ne parviennent plus à maintenir à flot la vie associative et culturelle ?
19:03 Publié dans ACTUALITES, ELUS COMMUNISTES, PARTI COMMUNISTE FRANCAIS, Société | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : république, grigny, philippe rio, pcf | | Imprimer | del.icio.us | | Digg | Facebook | |