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31/12/2018

BONNE ET HEUREUSE ANNEE 2019

bonne année 2019b.pngLes élus communistes et républicains d'Evry vous souhaitent à vous tous, à vos familles, à vos amis une excellente année 2019.

2019 sera une année de luttes sociales face à des réformes ultra-libérales que le Gouvernement veut accélérer comme la réforme de la retraite qui se traduirait d'après les premières projections par une baisse des pensions de 10 à 30 %, la suppression de dizaines de milliers de postes de fonctionnaires en particulier dans l'enseignement et les hôpitaux, une baisse du pouvoir d'achat en ne valorisant ni salaires, ni pensions, ni allocations, en n'augmentant pas le SMIC et les minimas sociaux. Tout cela n'est pas acceptable.

Le Parti communiste français, ses élus ne s'inscrivent pas dans un mouvement d'opposition, mais de construction pour changer la société, la rendre plus juste et plus égalitaire.

Nos candidats à l'élection des députés au parlement Européen avec Ian Brossat proposeront ainsi une Europe des peuples, plus sociale, plus juste, plus tolérante, plus démocratique, un monde de Paix et de sauvegarde de l'environnement.

Au premier janvier 2019 les villes d'Evry avec près de 55 000 habitants, Courcouronnes près 12 500 habitants ne formeront plus qu'une seule et unique agglomération de 67 500 Evryens-Courcouronnais. Cela peut constituer un atout économique, démocratique et dynamique si cette nouvelle ville permet aux citoyens, aux forces créatives et associatives qui font sa richesse de s'exprimer, d'être entendues et de s'épanouir.

Le Groupe des élus communistes et républicains d'Evry et Courcouronnes pendant cette période transitoire de 2019 avant le renouvellement des équipes municipales en 2020 participera pleinement pour que cette ville nouvelle puisse ainsi tenir pleinement ce rôle de catalyseur des énergies et de la richesse de ses habitants dans leurs diversités dans un cadre de justice sociale et de respect de tous.

Bonne année 2019

Elise Yagmur, Christian Pigaglio, Diego Diaz

26/12/2018

“Il n’y a pas de véritable hausse des salaires" Fabien Roussel

fabien roussel,rtlINVITÉ RTL - Le secrétaire national du Parti communiste français estime que le mouvement des "gilets jaunes" doit se poursuivre tant qu'il y aura encore des injustices en France.

La période des fêtes n'a pas entamé pas la détermination des "gilets jaunes", qui, bien que moins nombreux, ont exprimé leur colère samedi 22 décembre. "Le mouvement n'est pas terminé, car il y a encore beaucoup d'insatisfaction, de colère et d'injustice", fulmine sur RTL Fabien Roussel, secrétaire national du parti communiste français (PCF).

Pour le nouvel homme fort du PCF, la fronde est toujours actuelle, car il n'y a pas "de véritable hausse de salaire". Selon le député du Nord, la hausse de 100 euros de la prime d'activité n'est qu'une "allocation qui sera versée aux couples selon les revenus du foyer", ce qui va générer des "inégalités extrêmes" car des hommes gagnent bien souvent plus que les femmes. 

"Il n'y a pas de véritable hausse du Smic, les retraites ne sont toujours pas indexées sur le coût de la vie et vont rester extrêmement basses (...) Il y a toujours 20 millions d'heures supplémentaires qui ne seront pas payées pour les infirmières", énumère l'élu, selon qui les injustices n'ont jamais été aussi présentes en France.

03/12/2018

PCF : Rencontre avec le Premier ministre

Fabien Roussel premier ministre.jpg

La paix civile et sociale de notre pays est aujourd’hui en jeu. Face à la politique d’injustice sociale et fiscale menée depuis un an et demi, nous avons demandé au Gouvernement de déclarer l’état d’urgence sociale.

L’urgence sociale impose de prendre en compte immédiatement les revendications portées par les « gilets jaunes », que nous avons relayées.

Nous avons ainsi demandé la suspension de l’augmentation des taxes sur l’essence et le diesel, l’augmentation du SMIC, des salaires et des pensions, la restauration des services publics notamment en matière de santé et le rétablissement de l’ISF.

Dès cet après-midi à l’Assemblée Nationale nous nous ferons l’écho de ces demandes légitimes et demanderons la suspension de la discussion budgétaire.

Par ailleurs, nous avons rappelé les propositions que nous portons depuis le début du quinquennat.

Propositions fiscales :
Non cumul en 2019 du CICE et de l’exonération de cotisations sociales patronales (plus de 40 milliards cumulés – Cela permettrait de dégager 20 milliards d’euros de marges de manœuvre).

Propositions sociales :
Revalorisation des prestations sociales (APL, allocations familiales) indexées sur l’inflation.
Annulation de la hausse de CSG, qui doit aller avec le rétablissement des cotisations sociales « assurance chômage » et « maladie ».

Propositions écologiques :
Fléchage intégral des taxes sur le carburant vers la transition écologique.
Élargissement du chèque énergie à 8 millions de personnes et revalorisation du montant du chèque énergie (de 200 euros actuellement à 600 euros) pour les plus modestes (forte hausse prévue des prix de l’électricité et du gaz en 2019).

Propositions institutionnelles :
Retrait du projet de loi constitutionnelle et organisation d’un référendum sur nos institutions

Si le Gouvernement ne décide pas de prendre immédiatement ces mesures, il ne sera pas en mesure de mettre fin à cette révolte pour la dignité.

Malheureusement, nous n’avons pas le sentiment que le Gouvernement prend la mesure de cette urgence sociale et nous n’avons que peu d’espoir d’avoir été entendu sur les mesures que nous lui avons proposées.

Notre motion de censure reste donc d’actualité, dans l’attente des mesures qui seront annoncées mercredi.