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15/09/2011

TOUS A LA FETE DE L'HUMA LES 16, 17, 18 SEPTEMBRE

fête de l'huma 2011

19:56 Publié dans ACTUALITES, Fête de l'Huma 2011 | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : fête de l'huma 2011 | |  Imprimer |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook | | Pin it!

08/09/2011

FETE DE L'HUMA : AVRIL LAVIGNE, INVITEE SURPRISE !

lavigne1.jpgLe vendredi 16 septembre après la prestation de Gaëtan Roussel, la soirée d'ouverture se clôturera avec la pop acidulée et flashy de la canadienne aux 35 millions d'albums vendus à travers le monde, Avril Lavigne qui remplacera le groupe SUM 41 indisposé.

 De retour en 2011 avec un quatrième album, Goodbye Lullaby, qui comprend le morceau Alice, générique de fin du film de Tim Burton Alice au pays des merveilles, la jeune prodige de 26 ans de la pop canadienne, déjà experte de neuf ans de carrière, se joue toujours des codes adolescents et de la culture rock, guitare au poing, mélancolie dans la voix. Découverte en 2002, les trois singles, efficaces et entêtants, Complicated, Sk8er Boi et I'm With You, de son premier album, Let Go, se classent directement numéro un du top 40 aux États-Unis.

Mondialement célèbre à tout juste 17 ans, Avril Lavigne, reconnaissable à ses yeux bleus maquillés de noir et à ses longs cheveux lisses, portant alors avec nonchalance pantalon baggy et Converses, skate-board aux pieds, réconcilie les adolescents avec des sons électriques, en se démarquant du style plus consensuel des chanteuses pop telles que Britney Spears ou Christina Aguillera.

Poursuivant dans cette veine à la fois rock, et populaire, elle accroît son succès avec ses albums suivants Under My Skin (2004) et The Best Damn Thing (2007), et ses tubes Don't Tell Me, My Happy Ending et Girlfriend.

Quatre ans après son dernier album, Avril Lavigne revient avec un style différent et plus mature. Si deux morceaux électriques et très rythmés, What The Hell et Smile, assurent la transition avec son travail précédent, les ballades de l'album, dont certaines sont pour la première fois accompagnées d'un orchestre, mettent en lumière une chanteuse tout en subtilité et en émotion, dont l'univers cette fois plus sombre est aussi devenu plus profond. « Cette fois, j'ai voulu que ma voix soit l'instrument principal du disque. Cela m'oblige à vraiment tout donner.

J'ai voulu montrer une autre facette que ce que je suis et révéler ce dont je suis capable », déclare-t-elle à propos de l'album Goodbye Lullaby.

Á ce titre, la jeune artiste, auteur ou coauteur de toutes les chansons de l'opus, a tenu à assurer pour la première fois l'entière production de deux morceaux, 4 Real et Goodbye.

Actuellement en tournée en Europe, Avril Lavigne présentera à la Fête de l'Humanité ses nouvelles compositions, sans dénigrer les tubes endiablés et dansants qui ont fait son succès.

Marianne Baribaud


iConcerts - Avril Lavigne - Girlfriend (live) par iConcerts

 

14/08/2011

Fête de l'Humanité : Une étoile sur la scène Zebrock

piettragalla.jpgMarie-Claude Pietragalla, experte 
dans toutes les disciplines de son art, dansera pour la Fête le dimanche 18 septembre avec sa compagnie.

 Marie-Claude Pietragalla et sa compagnie seront sur la scène Zebrock dimanche 18 septembre. Cette danseuse étoile, belle comme une déesse grecque, connaît depuis son plus jeune âge la discipline de la danse classique. Elle entre à neuf ans à l’École de danse de Paris.

À seize ans, elle intègre le Ballet de l’Opéra national de Paris avant d’être sacrée étoile en 1990, à l’issue de la représentation de Don Quichotte, où elle interprète le rôle de Kitri. Curieuse de tout, elle ne se contente pas de l’esthétique académique et se risque volontiers à d’autres styles.

 Elle opère d’audacieux virages du côté de la danse contemporaine en devenant notamment interprète de chorégraphes aussi prestigieux et singuliers que Carolyn Carlson, Mats Ek et William Forsythe… Ce dernier, résolu à torpiller les codes de la danse, initiateur d’un décentrement majeur du ballet classique narratif, avec ces corps à bout de nerfs, ces jambes soumises à des torsions baroques, ne manque pas d’exercer sur elle une influence notoire.

C’est en 1998 que Marie-Claude Pietragalla est nommée à la tête du Ballet national de Marseille, succédant ainsi au créateur de cette institution, Roland Petit, récemment disparu.

"Ce qui m'intéresse, c'est le monde ouvrier dans sa globalité,
les rapports homme-femme, une corporation très soudée."

Elle y régnera cinq ans avant de créer en 2004 la compagnie qui porte son nom. Partisane d’une danse très expressive, souvent d’un romantisme échevelé, Marie-Claude Pietragalla n’hésite pas à s’attaquer à des sujets dramatiques.

courjournal.jpgPar exemple, en 2006, en partenariat pour trois ans avec la région Nord-Pas-de-Calais, elle crée Conditions humaines, un ballet sur la catastrophe de Courrières (voir notre mini-site exclusif consacré à cet événement), qui tua 1 099 mineurs le 10 mars 1906. « Ce qui m’intéresse, déclarait-elle dans un entretien paru sur le Web, c’est le monde ouvrier dans sa globalité, les rapports homme-femme, une corporation très soudée, un collectif très fort. Les témoignages de plusieurs anciens mineurs nous ont amenés vers l’idée de parcours de vie différents, individuels derrière ce groupe solidaire. Le parallèle avec le rapport quotidien au corps dans le travail, chez les mineurs et chez les danseurs, fut immédiat. » La pièce sera présentée à la Maison de l’art et de la communication de Sallaumines pour commémorer cette épouvantable tragédie de la mine.

Pierre Cardin lui commande en 2008 un ballet pour les jeux Olympiques de Pékin. Le thème en est Marco Polo. La même année, elle crée Sade, le théâtre des fous. L’an dernier, elle s’attelle à un solo intitulé la Tentation d’Ève, une pièce qui mêle la danse, le théâtre et la manipulation d’objets.

Marie-Claude Pietragalla s’attache cette fois à la condition féminine à travers les symboles que celle-ci véhicule dans l’inconscient collectif : muse, inspiratrice, créatrice. Cet autoportrait en creux de l’artiste investit l’espace du mythe pour dire les forces qui nous dirigent et tentent de nous manipuler.

Muriel Steinmetz,  l'Humanité

06/08/2011

SAOUD MASSI LA TALENTUEUSE : DE L’URBANISME A LA CHANSON, DE L’ALGERIE A LA FETE DE L’HUMA

soud1.jpgL’artiste algérienne Souad Massi nous donne rendez-vous sur la grande scène de la Fête, le samedi 17 septembre, pour un concert placé sous le signe de la mixité et de la tolérance.

Sa musique est un pont entre les cultures. Et il y a fort à parier qu’un vent de liberté et d’espoir soufflera sur la grande scène grâce à Souad Massi dont les musiques voyageuses résonneront à la Fête, samedi 17 septembre.

Issue d'une modeste famille de mélomanes, elle découvre le Chaâbi, puis le rock américain, le folk, la pop, la country et le fado portugais... Elle apprend la guitare et le solfège. Elle apprécie le flamenco et se produit sur scène au sein du groupe Les Trianas d'Alger à partir de 1989.

Les événements noirs des années 1990 et en particulier le couvre-feu rendant la carrière d'artiste quasiment impossible, Souad suit des études d'urbanisme et devient ingénieure. A partir de 1989, elle se produit sur scène à Alger au sein du groupe hard-rock Atakor , le groupe enregistre une cassette qui rencontre un grand succès. Souad abandonne alors l'urbanisme pour se consacrer à la chanson. Sa première cassette porte son prénom, elle la fait connaître d'un public amateur de musique anglo-saxonne.

Le 10 janvier 1999 (durant le ramadan), Souad est invitée au festival Femmes d'Alger au Cabaret Sauvage à Paris. Remarquée, elle reste en France et signe un contrat avec Island-Mercury (Universal Music). Raoui (Le Conteur) sort en 2001 et est applaudi par la critique. Souad et ses musiciens entament une longue série de concerts dans toute la France.

Ses premiers titres passent sur les ondes de France Inter, elle s'impose comme artiste et on la considère souvent comme une porte-parole de la jeunesse algérienne. Universal lui donne l'occasion d'enregistrer un second album Deb en 2003, dans cette veine, "Dar djedi" est un joyau qu'elle écrivit il y a des années alors que sa famille quitta Alger pour s'installer en Kabylie. Entretemps, l'artiste chante en duo avec Marc Lavoine, Ismael Lo ou encore Florent Pagny et tourne en France et à l'étranger.

 souadfete.jpgEn 2005, Souad met au monde son premier bébé et passe quelques semaines à Tahiti avant de réaliser son troisième album.

Le quatrième album "Ô Houria" est enregistré à Astaffort, dans le studio de Francis Cabrel qui signe un duo avec Souad, et sort le 08 novembre 2010. Il a une coloration Rock, assez forte mais garde les couleurs des racines de Souad avec des ballades.

Souad Massi mêle des styles aussi variés que le folk-rock, le chaâbi, la musique arabo-andalouse à des textes très personnels, souvent empreints de poésie et de nostalgie. Elle chante la plupart du temps en arabe algérien, parfois en français, et quelquefois en anglais et en langue berbère, employant souvent plusieurs langues dans la même chanson.

Infos : Wikipédia et l’Humanité

 

22/07/2011

FETE DE L’HUMA 2011 / ATTENTION : LE 16 SEPTEMBRE A 22 HEURES EXPLOSION !

katie.jpgLa revanche d’une blonde. Sa maison de disques n’avait pas cru en elle. Elle le regrette amèrement. Katie White, furie sur scène, compositrice de talent pulvérise les records  avec son album « We Started Worthing » vendus à plus de 2 millions d’exemplaires. Elle sera à la fête de l’Huma où elle fera exploser à coup sûr la foule.

THE TING TINGS, A L'ECOUTE

tingting.jpgLe duo des Ting Tings est originaire de Islington Mill in Salford à Manchester, formé en 2006 par Jules De Martino et Katie White. La signification de leur nom est celle du caractère chinois qui marque l’écoute. Synthétiques comme Soft Cell, ils ont pourtant un son aigrelet proche des Talking Heads, à cause des guitares pointues.

Emergeant avec grâce et un son très dance, de la ville qui a surtout offert des groupes masculins à l’histoire de la musique, de Joy Division aux James en passant par the Fall ou les Happy Mondays, Kathie et Jules sont déjà quasi des stars, dès la sortie de leur premier album qui a reçu un super buzz des deux côtés de la Manche. Le son est pointu et proche de punk, mais reste accessible : danse pas dico, a-t-on déjà affirmé. Mais aussi, il est féminin, poussé par la voix de Kathie, girl power même.

Profondément anglais et issu des art schools (la pépinière 70’s des Bowie, Roxy Music et Eno), ils moulinent une musique qui cherche le passage vers le sommet des charts, mais sans renier l’esthétique rock du beat primal, comme les Kills. Esprit bohème et son citadin, ils sont avec Santogold, la révélation du printemps 2008 pour la variété des climats mis en place et déployés, le son qui fait bouger le bassin en remplissant la tête de bonnes vibrations : un rock moderne, offensif.

Un vrai bonheur d’écoute qui ne renie aucune de ses influences, mais affiche sa différence, quand on reconnaît un plan de guitare issu déjà entendu chez un groupe new wave, il est aussitôt enrobé dans un beat dance ou si l’on pousse du côté de la piste de dance, c’est un retour de rythmique rock qui resurgit alors. Quant à la voix de Kathie, elle n’a de cesse d’intriguer, autant à l’aise dans les ballades comme Traffic Lights, qu’éructante sur le proto-rap Shut up and Let me Go. Un vrai bonheur !

Publié par Ados.fr


The Ting Tings - Shut up and let me... [live] par Jo_Bidjoba